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Ce film merite la note maximum, car meme si le scenario est pauvre et la mise en scene sans imagination, ce film nous aura permis de decouvrir la nouvelle star du cinema d'action (puisque jet li et Jacky Chan ont decidé d'arreter les bons films).
Oui Tony jaa dechire tous, chacun de ses combats degagent une force et une violence que seul Bruce Lee nous avait fait ressentir.
Oui Tony jaa dechire tous, chacun de ses combats degagent une force et une violence que seul Bruce Lee nous avait fait ressentir.
Difficile de juger un film destiné au enfant.
deux possibilité:
_soit on retrouve son âme de bambin et on prend du plaisir a suivre les aventure de Harry (sans trop preter attention au scenario)
_soit on refuse le film en bloque, tellement on est atteré devant tous ces clichés et tous ces personnage qu'on a du mal a aimé tellement ils paraissent faux.
Et il serait temps que J.K rowling admettent que la quete initiatique du héro est ...
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le mélange parfait entre film intimiste et blockbuster.
En plus Shiri a le merite de ne faire aucune concession au niveau de la violence, les americains devraient en prendre de la graine au lieu de nous balancer leur merde puante type armageddon.
En plus Shiri a le merite de ne faire aucune concession au niveau de la violence, les americains devraient en prendre de la graine au lieu de nous balancer leur merde puante type armageddon.
Ben voila, la france a enfin droit à un polar digne de ce nom. J'espère que ce film sonnera le glas de tout ces navets que sont "taxi", "yamakasi", et autre "wasabi". En tout cas Mickael Mann a du souci a se faire.
Le bon côté quand tu vas regardé le film d'un artisan talentueux et nostalgique comme Joe Dante, c'est que tu peux être sûr de retrouver des codes et des motifs d'une autre époque mais toujours agréables, les banlieues pavillonnaires clinquantes où il fait bon vivre, le jeune héros qui accumule les tares mais qui ne manque pas de courage, l'alibi science-fictionnel grotesque mais ludique, avec "Small Soldier" on revient à une idée de ...
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Pas de doute voila quelque chose d'unique, jamais un film n'avait capté avec autant de dextérité le psychisme et le mode de fonctionnement des gamins. La caméra épouse avec virtuosité toute la fougue et la vélocité de cet enfant à la fois cruel et bourré d'empathie. Le film ne repose sur aucun enjeu, voir aucune histoire, c'est une sorte de moment en apesanteur qui en dit beaucoup sur le plan psychologique tout en restant un ...
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Un film comme celui-là ça ne se commente pas, tu vas religieusement à la séance du film et tu prends ta claque enchanteresse, tu rentres dans la salle tu voyages ailleurs, tu sais que le périple était unique, une sorte de moment de grâce qui arrive une fois tous les dix ans, tout est tellement parfait et évident que tu es complètement démuni lorsqu'il s'agit de commenter l'œuvre que tu viens de voir. C'est un peu comme lire un récit ...
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Le film a la petite qualité de son énorme défaut, il reprend les bases laissées vacant par l'épilogue de l'opus précèdent pour sombrer dans le pur fantastique à coup d'exorcisme, démonologie et satanisme, du coup ceux qui avaient su être attentif lors de la scène du dernier étage dans le premier [REC] n'auront aucun mal à anticiper les surprises réservées par cette suite (et elles ne sont pas nombreuses). Sinon le duo de ...
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Entre l'exposition interminable, l'accumulation de personnages accouchant logiquement d'une accumulation de dialogues entre ces personnages, ils ressassent Ad vitam æternam ce que l'on voit déjà à l'écran (la fin du monde c'est pour bientôt), en plus tous ces personnages vous les connaissez déjà par coeur, c'est les même que dans Le Jour D'Après ou Independence Day, les situations, morceaux de bravoure, sacrifice et scènes de suspense, ...
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Un film à l'image de sa photo, très gris, à mi-chemin entre l'espoir et le désespoir. On est en droit de s'ennuyer devant le film compte tenu de la démarche anti-spectaculaire du réal, toutes les séquences recelant un potentiel d'action et de spectacle sont violemment expédiées, le réalisateur préférant se concentrer sur la relation entre le père et le fils et les questions existentielles qui découlent de leurs péripéties (comment ...
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Il nous aura rarement été donné de voir une œuvre aussi ahurissante au cinéma, 15 ans après sa sortie le film reste incomparable, un objet unique et inégalable bien que mainte fois copié. La maitrise et la perfection de tous les aspects cinématographique du film laisse pantois que se soit la partition de l'excellent Howard Shore, mélange d'atmosphère anxiogène et de symphonie bruyante, la photographie signifiante du très demandé ...
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Quand on jette un coup d'œil à l'histoire que nous conte ce film et la durée dudit film, on sait déjà que le réalisateur va prendre son temps pour nous raconter le peu de chose qu'il a à nous dire. Ainsi le film est fait de longs plans cadrés avec un soin maniaque dans un scope chichiteux, pas de doute le réalisateur se regarde filmer et ne s'occupe guère du spectateur qui se fait royalement chier. L'utilisation de la bichromie, ...
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Raimi réalisait déjà le comic-book movie quasi parfait, superbe photographie du surdoué et exigeant Bill Pope, histoire classique et archétypal donc parfaite, production design soigné, Sam Raimi arrive vraiment à adapter la frénésie de son propre style au codes visuels des bande-dessinées de super-héros, de plus la fluidité de sa narration et l'inventivité voir le génie de certaines transitions laisse rêveur. Seul bémol, la ...
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De Niro a bien lu son ouvrage du petit Scorcese illustré et reprend la recette de la fresque urbaine à la lettre, on ne peut que s'indigner devant ce manque d'audace et personnalité de la part de ce grand acteur. Il n'empêche que le film s'appuie sur un récit superbement structuré, que les acteurs débordent de charismes, et que même si l'ombre du célèbre metteur en scène italo-américain déborde sur chaque plan du film, De Niro se ...
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Carpenter en bon maitre de la série B carré et efficace, nous narre cette histoire de voiture maléfique comme du Howard Hawks et c'est pour ça que c'est génial. Refait un film, tu manques vraiment au cinéma d'horreur mec.
L'avantage avec les films de Keaton ou Chaplin c'est qu'ils n'ont aucune chance de vieillir ou d'ennuyer le spectateur puisque c'est dans leur essence spectaculaire que le cinéma (art de forain avant tout) trouve ses racines. Ainsi Le Cadet D'Eau Douce enchaine les morceaux de bravoure comiques sur un tempo soutenu, le jeu outrancier, à la limite du mime, des acteurs fait merveille. Le film n'hésite pas à mettre en scènes des situations ...
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Hahaha comment c'était mauvais ce truc, ce n'est pas parce qu'on fait un polar à Marseille qu'on peut se permettre de faire n'importe quoi en pompant maladroitement Il Était Une Fois En Amérique. C'est fou ce manque total d'ambition et de rigueur, direction d'acteur inexistante, choix de mise en scène paresseux genre gros filtres jaunes pisses pour les jours et bleus Mann pour les nuits, beaucoup de règlement de compte mais sans aucun ...
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C'est emballé de manière assez efficace pour donner au final un film d'action/espionnage correct qui fout même un peu la honte à la franchise ciné de Mission Impossible. C'est pas non plus la panacée, Christian Duguay encombre sa réalisation avec des effets lourdeaux genre flash-back qui dénotent d'un manque de confiance dans son style (pourtant soigné). Le film échoue sur le côté émotionnel mais s'en sort très bien au niveau des ...
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Le film enchaine les scènes d'action impressionnantes filmées sous une multitude d'angle à vitesse variable mais souvent au ralenti, John Woo oblige, le tout monté de manière bien maladroite pour du Woo, un peu comme beaucoup de ses films américains notamment Mission Impossible 2. Donc on ne s'ennuie pas vraiment et on en a pour son argent, mais tout le reste est très pauvre (acting, histoire, narration ... ).
Avec cette affiche de fou, le nom prestigieux de Walter Hill le surdoué de la série B et une histoire ultra-bandante nous contant la confrontation entre une bande de braconnier cajun et la garde nationale de Louisiane, autant dire que le potentiel calorifique était haut et autant dire que la déception n'en est que plus grande. Déjà le film se coltine un aspect Rambo "light" fort désagréable, même ambiance, même photo, même casting de ...
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Le pire du cinéma indépendant américain étiqueté "Sundance". Le film n'a ni début ni fin, essaye de donner l'illusion du réalisme avec comme seul argument un filmage caméra à l'épaule, une image moche, une accumulation de plan censée coller aux personnages en soulignant leurs moindres faits et gestes, des acteurs en mode "je me laisse aller comme à la maison". Évidemment ça ne prend pas, le film ne sonne jamais juste, le moindre ...
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C'est mou, c'est laid, c'est con et c'est bêtement graveleux.
Du divertissement bas de gamme, la recette américaine de Jackie Chan répétée ad nauseam, donc le chinois fait du karaté tout en rendant hommage à Fred Astaire pour ceux qui n'auraient pas compris que les scènes de combats héritées du style Hong Kong sont avant tout affaire de chorégraphie au même tire que les séquences de danse dans les comédies musicales, on affuble le chinois d'un side-kick comique à la mode au state, ici Clive ...
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Ce film c'est un gamin de 15 ans qui vient nous parler de théologie avec ses gros flingues en plastiques. Puérile et vain, en plus d'être mal fichu.
Jamais drôle, terriblement mal joué et écrit n'importe commence à la base d'une idée très mal exploitée (des voleurs qui prennent la place des flics le temps d'une nuit). Un mauvais téléfilm.
Le film est aussi chiant que son titre le laissé craindre. Mais reconnaissons une ambiance moite réussie, un portrait de la Corse qui sonne juste, un excellent morceau de musique, et la dernière séquence de chasse grand moment de cinéma.
Bon le film est assez fun et assumé dans sa connerie pour passer le temps sans trop d'ennui. les scènes d'action bien qu'inventives sont relativement laides, les personnages bien que sexy sont terriblement vides, et l'histoire ne recèle d'aucun moment fort.
Une fable contre la guerre un peu neuneu et malhonnête, avec une histoire pas très bien structurée dans sa manière de conclure sa thèse anti-militariste (car c'est de cela qu'il s'agit).
Avec un sujet horrifique pareille et un mélange des genre quasi-inédit doublé d'un casting au poil, difficile pour le réalisateur de rater son coup. Et pourtant il le rate quasiment, la faute à un rythme laborieux qui peine à enchaine les séquences de frissons ou les conflits, le mélange entre film d'horreur et film de guerre ne prend donc que très peu. Heureusement que le film réserve quelques passages qui relèvent de l'inédit, et ...
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De mon point de vue ce film est une franche réussite mais je serais bien en peine de dire si le réalisateur est un bon technicien qui connait son boulot ou si c'est juste un excellent alchimiste qui maitrise assez l'alcool pour enivrer son spectateur avec de la pellicule. Car pendant tout le film on se trouve plonger dans un état second, quasi comateux, le film nous transporte à son rythme, 2 grammes dans le sang pendant une heure et demie, ...
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Olivier Marshall nous donne déjà toutes les clefs de son univers avec son premier film qui contient absolument toutes les figures imposées du style Marshall, je ne vais pas m'amuser à les énumérer ici, il suffit de regarder ses films et série TV pour comprendre. Même si le type à un réel sens de l'écriture et du cinéma qui permet à l'ensemble de son œuvre de jouir d'une belle cohérence et qualité, il faut reconnaitre que c'est ...
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La note est un peu sévère compte tenu des qualités essentielles du film telles que la conviction des acteurs ou la réalisation parfois inspirée. Mais il n'y a pas moyen, en comparaison de son prédécesseur cette suite n'a rien d'autre à proposer qu'une histoire floue à la conclusion plus que fumeuse, des péripéties débiles, un gore propre, aucune vraie idée intéressante à laquelle s'accrocher. A la fin du métrage persiste la ...
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A première vue Arnaud Desplechin ne fait pas un cinéma qui m'intéresse, c'est donc avec de gros aprioris que je regarde son film "Rois Et Reines". Et après vision, même si j'adhère pas complètement au style et à la narration du gars, je suis ravi d'avoir découvert ce réalisateur car il a vraiment quelque chose d'unique à proposer, comme un vent de fraicheur sur la production dramatique avec trentenaire qu'on se farcis en général. ...
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Un film qui se revendique jeune et con du début à la fin, c'est bourré d'effets décalés qui avaient peut être un impact au milieu des 60's, mais de nos jours le résultat parait complètement vain. C'est pas désagréable pour autant, ça se suit vite fait, les persos sont attachants et le noir et blanc classe. Ça reste infiniment plus conseillable que des trucs genre "Un homme et une femme".
L'exercice du huit-clos est un genre compliqué qui oblige les auteurs à constamment redéfinir leur histoire pour briser la monotonie et l'ennuie. A ce jeu là Eric Valette s'en sort particulièrement bien puisque son histoire est prenante, c'est plutôt bien réalisé avec une vraie implication sur les effets gores et horrifiques, la progression dramatique est maitrisée, le film s'enlise au fur et à mesure dans une sorte de nihilisme ...
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Vu le sujet je suis un peu surpris par le traitement du film puisque je m'attendais à un long-métrage aux relents sociologiques avec une bonne rasade de drame (façon "Truman Show") ou à une comédie décomplexée et trash dans la ligné des Farrely. Mais c'est très vite oublier l'homme derriere la caméra, le solide Ron Howard, qui nous offre donc une comédie romantique efficace et bien interprétée, qui vole finalement pas très haut ...
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