Guinée-Bissau, 1969. Une guerre violente oppose l’armée coloniale portugaise aux guérilleros du Parti Africain pour l'Indépendance de la Guinée. Nome quitte son village et rejoint le maquis. Après des années, il rentrera en héros, mais la liesse laissera bientôt la place à l’amertume et au cynisme.
Le film se déroule en 1961 et dépeint les débuts de la lutte pour l’indépendance en Angola. On suit un jeune couple au quotidien très heureux dont le mari, qui œuvre pour un réseau de résistance clandestin, est un jour arrêté. Sa femme part alors à sa recherche. Il s'agit du second film de Sarah Maldoror et co-écrit par son mari, leader de la résistance angolaise.
Recruté dans l'armée angolaise, Vitorio est démobilisé après plus de vingt ans de combats. Il a marché sur une mine et a dû être amputé d'une jambe. Seul et démuni, il erre dans les rues de Luanda à la recherche de travail et de sa famille...
Trois folles histoires qui jouent avec les tabous contemporains et abordent les thèmes fétiches d’Abrantes : les rapports de force politiques, économiques, culturels, sexuels et sentimentaux entre le Nord et le Sud
Luanda. Il fait une chaleur torride. Les climatiseurs des immeubles du centre-ville tombent mystérieusement et simultanément tous en panne, se décrochent des murs et s’écrasent sur le sol, provoquant morts et blessés. Matecedo, un gardien d’immeuble et Zezinha, une domestique, sont sommés par le patron de réparer son appareil. Quand ils pénètrent dans le magasin du réparateur à qui ils ont confié le ventilateur, ils découvrent un monde mystérieux, l’occasion de plonger sur un mode magiquement réaliste dans les méandres de la mémoire d’un peuple.