Dans le deuxième volet de la trilogie, Apu a 10 ans et il est installé avec sa famille à Bénarès. Sur les escaliers qui dominent le Gange, son père gagne désormais sa vie en lisant des textes sacrés. Devenu un élève brillant, Apu décroche une bourse et part étudier à Calcutta, laissant sa mère déchirée par le chagrin.
Dans un petit village du Bengale, vers 1910, Apu, un garçon de 7 ans, vit pauvrement avec sa famille dans la maison ancestrale. Son père, se réfugiant dans ses ambitions littéraires, laisse sa famille s’enfoncer dans la misère. Apu va alors découvrir le monde, avec ses deuils et ses fêtes, ses drames et ses joies.
Calcutta, 1930. Apu rêve de succès littéraire, mais faute d’argent il doit interrompre ses études et affronter le monde du travail. Un jour son ami Pulu l’emmène au mariage de sa cousine. Suite à l’accès de folie du jeune marié, Apu, venu en tant que simple invité, se voit contraint d’épouser la jeune femme pour lui éviter le déshonneur.
Le Bengale dans les années 20. Biswanbhar Roy, aristocrate et grand propriétaire terrien a passé l’essentiel de sa vie à assouvir sa passion pour les fêtes musicales, les concerts donnés dans le salon de musique de son palais, devant un public d’amis, par des musiciens, des chanteurs, des danseuses.
L'Inde paysanne des années 60. La vie quotidienne d'un couple. Le mari brûle d'une passion non dissimulée pour sa femme. La nourriture vient à manquer, mais Rhada devient le symbole d'une Inde qui se libère, alliant à la fois tradition et modernité.