Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Monde
par Florence Colombani
Parce qu'il a une confiance indéfectible dans la spécificité de son histoire, et dans sa capacité à la raconter, Kim Jee-woon laisse d'innombrables fantômes de grands films peupler la maison de Deux soeurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par François Gorin
Ce n'est pas tant l'effet de surprise qui opère sur les nerfs du spectateur. Plutôt l'intrication des fils psychologiques et narratifs. (...) Qu'on apprécie les plus grossiers (...) ou les plus fins (...), c'est une question de sensibilité personnelle. Le film, lui, refuse de trancher, et il y gagne une qualité " médiane " que ne gâte en rien son esthétique très soignée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Alex Masson
Au moment où tout le monde s'intéresse au cinéma coréen, le film de Kim Jee Woon montre les limites de son système avec cette histoire de fantômes absolument irréprochable d'un point de vue formel, mais résolument conçu pour un public international, en faisant de l'effroi une espèce de village global, un united colors of trouille.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce crescendo dans l'horreur très graduel - dont le substrat est le " famille je vous hais " de Gide, ou plutôt le " marâtre je vous abhorre " des contes de fée - ménage effroi et séduction aux bons moments et aux bons endroits.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Alexis BERNIER
Si elle ne livre pas tous ses mystères, cette angoissante fratrie coréenne ne se déballonne pas non plus comme un soufflé au fromage pourri en se forçant à accoucher d'un dernier quart d'heure explicatif et forcément déceptif.
Positif
par Adrien Gombeaud
Plus qu'un film d'horreur, Deux soeurs est un conte poétique qui parvient pleinement à réveiller les peurs de notre enfance : cette solitude qui nous prenait soudain la nuit, quand, la gorge nouée, tremblant sous un drap, on n'osait quitter des yeux une porte entrebâillée sur l'obscurité.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le manque de cohérence de Deux soeurs tient précisément à la volonté de faire assumer à l'un des personnages la responsabilité fantasmatique de ce qui a été montré, en insistant en même temps sur le dérèglement généralisé de l'univers où ils évoluent.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Adaptant un conte très populaire coréen, le cinéaste Kim Jee-Woon évite le gore, et fait plutôt la part belle à la terreur psychologique. Mais il multiplie tellement les rebondissements qu'il risque de lasser le spectateur de bonne volonté.
Les Inrockuptibles
par Vincent ostria
Elégant film de fantômes coréen un peu noyé dans les paradoxes spatio-temporels.
Première
par Gérard Delorme
Le spectateur est partagé entre deux options : soit il décroche parce que la multiplication des rebondissements l'empêche de reconstituer le puzzle, soit il se laisse emporter et savoure un voyage qui le promène sans arrêt entre réalitéet fantasme.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Malgré une mise en scène sophistiquée, à la limite du maniérisme, cette confusion entre folie et réalité est rendue avec beaucoup d'efficacité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Reposant sur une base solide, le film bénéficie de la profusion de thrillers horrifiques asiatiques qui nous sont parvenus depuis (...). Faute d'être arrivé avant, Deux soeurs essaie de reproduire le même schéma avec des moyens détournés. Mais ce n'est pas de l'opportunisme : Kim Jee-woon, formaliste de renom, cinéaste cinéphile, remet au goût du jour un thème éculé qui l'obsède depuis longtemps : le squelette dans le placard.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Et d'un oeil las, contempler ce morne jeu de massacre, et d'un oeil fataliste, se dire qu'une pareille arnaque a plus de chances de rencontrer le public que, par exemple, "Séance" de Kiyoshi Kurosawa, dont la modestie et la puissance, le moindre bruissement, en valent toutes les minutes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
Parce qu'il a une confiance indéfectible dans la spécificité de son histoire, et dans sa capacité à la raconter, Kim Jee-woon laisse d'innombrables fantômes de grands films peupler la maison de Deux soeurs.
Télérama
Ce n'est pas tant l'effet de surprise qui opère sur les nerfs du spectateur. Plutôt l'intrication des fils psychologiques et narratifs. (...) Qu'on apprécie les plus grossiers (...) ou les plus fins (...), c'est une question de sensibilité personnelle. Le film, lui, refuse de trancher, et il y gagne une qualité " médiane " que ne gâte en rien son esthétique très soignée.
Brazil
Au moment où tout le monde s'intéresse au cinéma coréen, le film de Kim Jee Woon montre les limites de son système avec cette histoire de fantômes absolument irréprochable d'un point de vue formel, mais résolument conçu pour un public international, en faisant de l'effroi une espèce de village global, un united colors of trouille.
L'Humanité
Ce crescendo dans l'horreur très graduel - dont le substrat est le " famille je vous hais " de Gide, ou plutôt le " marâtre je vous abhorre " des contes de fée - ménage effroi et séduction aux bons moments et aux bons endroits.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Si elle ne livre pas tous ses mystères, cette angoissante fratrie coréenne ne se déballonne pas non plus comme un soufflé au fromage pourri en se forçant à accoucher d'un dernier quart d'heure explicatif et forcément déceptif.
Positif
Plus qu'un film d'horreur, Deux soeurs est un conte poétique qui parvient pleinement à réveiller les peurs de notre enfance : cette solitude qui nous prenait soudain la nuit, quand, la gorge nouée, tremblant sous un drap, on n'osait quitter des yeux une porte entrebâillée sur l'obscurité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Le manque de cohérence de Deux soeurs tient précisément à la volonté de faire assumer à l'un des personnages la responsabilité fantasmatique de ce qui a été montré, en insistant en même temps sur le dérèglement généralisé de l'univers où ils évoluent.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Adaptant un conte très populaire coréen, le cinéaste Kim Jee-Woon évite le gore, et fait plutôt la part belle à la terreur psychologique. Mais il multiplie tellement les rebondissements qu'il risque de lasser le spectateur de bonne volonté.
Les Inrockuptibles
Elégant film de fantômes coréen un peu noyé dans les paradoxes spatio-temporels.
Première
Le spectateur est partagé entre deux options : soit il décroche parce que la multiplication des rebondissements l'empêche de reconstituer le puzzle, soit il se laisse emporter et savoure un voyage qui le promène sans arrêt entre réalitéet fantasme.
TéléCinéObs
Malgré une mise en scène sophistiquée, à la limite du maniérisme, cette confusion entre folie et réalité est rendue avec beaucoup d'efficacité.
aVoir-aLire.com
Reposant sur une base solide, le film bénéficie de la profusion de thrillers horrifiques asiatiques qui nous sont parvenus depuis (...). Faute d'être arrivé avant, Deux soeurs essaie de reproduire le même schéma avec des moyens détournés. Mais ce n'est pas de l'opportunisme : Kim Jee-woon, formaliste de renom, cinéaste cinéphile, remet au goût du jour un thème éculé qui l'obsède depuis longtemps : le squelette dans le placard.
Chronic'art.com
Et d'un oeil las, contempler ce morne jeu de massacre, et d'un oeil fataliste, se dire qu'une pareille arnaque a plus de chances de rencontrer le public que, par exemple, "Séance" de Kiyoshi Kurosawa, dont la modestie et la puissance, le moindre bruissement, en valent toutes les minutes.