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    Dead or Alive 2: Birds
    Note moyenne
    3,4
    17 titres de presse
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • L'Ecran Fantastique
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Aden
    • L'Humanité
    • Le Point
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Positif
    • Première
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Chronic'art.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    17 critiques presse

    aVoir-aLire.com

    par Richard Vantielcke

    Avec DOA 2, Miike accepte de rentrer dans le jeu mercantile des suites, tout en livrant son film le plus personnel, le meilleur épisode de la trilogie, sans doute son meilleur film, et un film important... tout simplement.

    Cahiers du Cinéma

    par Antoine Thirion

    DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.

    Ciné Live

    par Marc Toullec

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    L'Ecran Fantastique

    par Nathalie Bougon

    DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.

    Le Figaro

    par La Rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Monde

    par Jean-François Rauger

    Avec ces deux séries B déjantées (Dead or Alive 2 et 3), Takashi Miike continue de jouer avec les conventions et les clichés du film de genre qu'il s'emploie à exacerber, à exagérer, à dynamiter ou à déjouer dans le déchaînement d'une imagination nihiliste et enfantine.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    Même le plus sage DOA 2, est lardé de flash-backs clippés et de gags zinzins (l'enterrement d'une bite géante). C'est un feuilleté de tendances, intégrant tous les arts mineurs de notre temps (y compris l'infographie) avec en tête le manga.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Aden

    par La rédaction

    Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    S'il subsiste des dérapages iconoclastes (l'enterrement d'un sexe géant), des incongruités poétiques (des ailes poussent dans le dos des héros), DOA 2 est un film presque romantique, un film noir inondé de soleil.

    Le Point

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Libération

    par Philippe Azoury

    Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !).

    MCinéma.com

    par Camille Brun

    (...) le réalisateur fou a su garder des éléments qui lui étaient propres et qui font le charme de ses réalisations et de ce DEAD OR ALIVE 2 (...) Alors ce DEAD OR ALIVE a peut-être un peu moins de charme que le premier, mais il donne tout de même très envie d'aller voir le troisième...

    Positif

    par Hubert Niogret

    La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.

    Première

    par Estelle Ruet

    Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Bernard Achour

    Entre sensibilité nostalgique et chaos futuriste, les éclairs d'inspiration cohabitent toujours avec le n'importe quoi absolu.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    Chronic'art.com

    par Guillaume Loison

    D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
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