S21, la machine de mort Khmere Rouge : Critique presse
S21, la machine de mort Khmere Rouge
Note moyenne
4,5
21 titres de presse
Aden
Chronic'art.com
Cinéastes
L'Express
L'Humanité
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
MCinéma.com
Positif
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
Libération
Première
Synopsis
Ciné Live
Le Point
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Aden
par La rédaction
Ce documentaire bouleversant, remarquable en tout point, n'oeuvre pas seulement pour contrer le silence qui entoure encore ces faits. Il rend leur voix aux âmes des morts. Et nous laisse dans le vertige de questions sans âge (...).
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
S21, grand film, s'impose à l'esprit au-delà de toutes les évidences documentaires, celles que Rithy Panh précisément convoque, ressaisit et emporte.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Olivier Lehmann
Avec S21, (Panh) signe son travail le plus marquant. Car la force de ce documentaire n'est pas seulement de nous informer sur le génocide cambodgien. Elle est aussi de nous faire réfléchir plus globalement sur la nature même de l'Homme (...)
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
Le résultat est d'autant plus passionnant que le film évite l'écueil de l'image édifiante et unilatérale.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Des visages, des gestes, des mots, des lieux, un film essentiel, pas parce que Rithy Panh est un témoin, parce qu'il est un grand cinéaste.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) il s'agit d'un grand film de cinéma et il renvoie, en même temps qu'il contribue à l'inscrire dans la mémoire collective, à l'un des moments les plus tragiques de l'histoire de l'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Rithy Panh est dépassé par le dispositif qu'il a mis en place mais créé des moments de cinéma inouïs. On peut critiquer son système qui a aussi sa part de manipulation. Mais le film a un souci d'apaisement général (...).
Positif
par Sylvie Rollet
(...) un acte de foi dans le cinéma et la puissance de la parole (...).
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
D'une intégrité exemplaire, S-21, la machine de mort khmère rouge s'élève contre le pire des fléaux : l'oubli.
Télérama
par François Gorin
Rithy Panh procède en longs plans-séquences dépourvus de toute intention spectaculaire, et par leur dénuement même (ces salles-là du centre sont actuellement vides), ils sont d'une force d'évocation sidérante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
A sa façon, avec du film, de la durée et une idée du montage, il (Rithy Panh) devient acteur d'une histoire encore en cours. Sans leçon donner, c'est l'espace de l'avenir qu'il ose investir ici. Magistral, en impérative modestie.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) méditation sur le génocide cambodgien.
Les Inrockuptibles
par Jérôme Provençal
Avec une calme obstination, Rithy Panh démonte les rouages d'une machine de mort et apporte une pierre décisive à une mémoire en jachère.
Libération
par Antoine de GAUDEMAR
Deux heures impressionnantes pour tenter de répondre non pas tant au pourquoi qu'au comment : quels sont les mécanismes dans la machine à tuer qui permettent aux tueurs de rentrer chez eux le soir, de continuer à vivre, et de n'éprouver, un quart de siècle plus tard, aucun remords apparent, aucune culpabilité particulière ?
Première
par Olivier de Bruyn
Loin de toute complaisance, le dispositif réveille avec une violence précise et glaçante le processus de déshumanisation qui entraîne l'homme, devenu bourreau, à réduire en miettes son prochain. Edifiant et universel concernant les codes de la sauvagerie.
Synopsis
par Valérie Ganne
(...) le cambodgien Rithy Panh réussit l'impossible : confronter les bourreaux avec un survivant du centre, le peintre Vann Nath.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Aden
Ce documentaire bouleversant, remarquable en tout point, n'oeuvre pas seulement pour contrer le silence qui entoure encore ces faits. Il rend leur voix aux âmes des morts. Et nous laisse dans le vertige de questions sans âge (...).
Chronic'art.com
S21, grand film, s'impose à l'esprit au-delà de toutes les évidences documentaires, celles que Rithy Panh précisément convoque, ressaisit et emporte.
Cinéastes
Avec S21, (Panh) signe son travail le plus marquant. Car la force de ce documentaire n'est pas seulement de nous informer sur le génocide cambodgien. Elle est aussi de nous faire réfléchir plus globalement sur la nature même de l'Homme (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Le résultat est d'autant plus passionnant que le film évite l'écueil de l'image édifiante et unilatérale.
L'Obs
Des visages, des gestes, des mots, des lieux, un film essentiel, pas parce que Rithy Panh est un témoin, parce qu'il est un grand cinéaste.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) il s'agit d'un grand film de cinéma et il renvoie, en même temps qu'il contribue à l'inscrire dans la mémoire collective, à l'un des moments les plus tragiques de l'histoire de l'humanité.
MCinéma.com
Rithy Panh est dépassé par le dispositif qu'il a mis en place mais créé des moments de cinéma inouïs. On peut critiquer son système qui a aussi sa part de manipulation. Mais le film a un souci d'apaisement général (...).
Positif
(...) un acte de foi dans le cinéma et la puissance de la parole (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
D'une intégrité exemplaire, S-21, la machine de mort khmère rouge s'élève contre le pire des fléaux : l'oubli.
Télérama
Rithy Panh procède en longs plans-séquences dépourvus de toute intention spectaculaire, et par leur dénuement même (ces salles-là du centre sont actuellement vides), ils sont d'une force d'évocation sidérante.
Cahiers du Cinéma
A sa façon, avec du film, de la durée et une idée du montage, il (Rithy Panh) devient acteur d'une histoire encore en cours. Sans leçon donner, c'est l'espace de l'avenir qu'il ose investir ici. Magistral, en impérative modestie.
Le Figaroscope
(...) méditation sur le génocide cambodgien.
Les Inrockuptibles
Avec une calme obstination, Rithy Panh démonte les rouages d'une machine de mort et apporte une pierre décisive à une mémoire en jachère.
Libération
Deux heures impressionnantes pour tenter de répondre non pas tant au pourquoi qu'au comment : quels sont les mécanismes dans la machine à tuer qui permettent aux tueurs de rentrer chez eux le soir, de continuer à vivre, et de n'éprouver, un quart de siècle plus tard, aucun remords apparent, aucune culpabilité particulière ?
Première
Loin de toute complaisance, le dispositif réveille avec une violence précise et glaçante le processus de déshumanisation qui entraîne l'homme, devenu bourreau, à réduire en miettes son prochain. Edifiant et universel concernant les codes de la sauvagerie.
Synopsis
(...) le cambodgien Rithy Panh réussit l'impossible : confronter les bourreaux avec un survivant du centre, le peintre Vann Nath.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr