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Synopsis
Ce documentaire revient sur la politique d'élimination systématique orchestrée par les Khmers rouges, au Cambodge, entre 1975 et 1979, et plus particulièrement sur le S21, principal "bureau de la sécurité" du régime, où 17 000 prisonniers ont été torturés et exécutés.
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Bande-annonce
S21, la machine de mort Khmere Rouge Bande-annonce VF
"Good bye Lenin !" triomphe aux European Film Awards 2003 avec six prix, dont ceux de Meilleur film, réalisateur et acteur.…
dimanche 7 décembre 2003
6 news sur ce film
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Un très bon documentaire, qui s'attache a décrire les impressions, quelques trente ans après, des anciennes victimes comme des anciens Khmers rouges. Très intéressant.
DarioFulci
107 abonnés
1 412 critiques
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5,0
Publiée le 23 avril 2012
Voilà un documentaire qui secoue les tripes. Un devoir de mémoire certes. Mais avant tout une démarche humaniste pour comprendre comment des gens qui étaient voisins ont pu se transformer en bourreaux du jour au lendemain. Une dissection de la nature humaine qui amène Rithy Panh à faire se confronter ces hommes qui ont renié leur humanité à leurs suppliciés dans les lieux où se sont déroulés les pires atrocités. Une épreuve ...
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Tupois Blagueur
66 abonnés
1 162 critiques
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3,5
Publiée le 19 novembre 2014
Film documentaire très intéressant et instructif, tant sur le plan technique que pour son contenu. Sur le plan technique car les cadrages, les plans, la lumière, la photographie, la place des personnages à l'écran, tout est maîtrisé avec une rigueur toute professionnelle : Rithy Panh est diplômé de l'IDHEC (auourd'hui Femis) et cela se sent. Pour le contenu, Panh exploite bien évidemment le leitmotiv récurrent de sa filmographie : la ...
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Henrico
168 abonnés
1 333 critiques
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5,0
Publiée le 12 septembre 2020
Un documentaire bouleversant où victimes et bourreaux sont face à face, nous racontant leur quotidien. A mesure que se précisent les questionnements et les témoignages, on ressent l’horreur invraisemblable du système communiste Cambodgien. Ce ressenti est d’autant plus fort qu’il nous est permis de comprendre concrètement l’idéologie qui a permis de transformer des hommes ordinaires en monstre. Il est pour le moins troublant de ...
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Rithy Panh a connu les camps de rééducation des Khmers rouges où il a été enfermé de 1975 à 1979 et y a perdu une partie de sa famille. L'ensemble de ses films, partagé entre fiction et documentaire, est consacré entièrement à l'histoire douloureuse du Cambodge. " Ma manière d'assumer ma part de travail de mémoire, c'est parler et donner la parole aux témoins du génocide, victimes et bourreaux. Je veux croire que chaque témoignage est une petite
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Réunir victimes et bourreaux
S 21, la machine de mort Khmer rouge a la particularité de confronter les 3 rescapés de S21 et leurs bourreaux. Le réalisateur explique comment il est parvenu à convaincre les intéressés. " Je leur ai expliqué que je n'étais pas procureur, que mon film n'était pas un tribunal. Que s'ils arrivaient sur le tournage avec la paix, ils repartiraient avec la paix. Que parler pouvait leur permettre d'être mieux avec eux-mêmes. Mais que pour autant, au r
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S 21, un lieu de torture transformé en musée
Le principal centre de torture polpotiste est aujourd'hui devenu un musée sur le génocide de Tuol Sleng. Seuls trois prisonniers rescapés sont encore en vie. Les tortionnaires du S21 ont, quant à eux, laissé des biographies qu'on peut consulter à Phnom Penh, au Centre de documentation du Cambodge, une fondation indépendante qui recense tous les documents concernant la période du génocide.