Cybèle ou Les Dimanches de Ville d'Avray : Critique presse
Cybèle ou Les Dimanches de Ville d'Avray
Note moyenne
4,5
4 titres de presse
Excessif
L'Humanité
TéléCinéObs
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Excessif
par David A.
Cinquante ans plus tard, le film possède toujours une force incroyable, une sorte d'aura cinématographique peu répandue. Tourné dans un noir et blanc hypnotique par les soins du directeur de la photo Henri Decae.Les dimanches de Ville d'Avray séduit par une grâce du sujet et du ton adopté.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Humanité
par La Rédaction
A revoir et, pour beaucoup, à découvrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
TéléCinéObs
par Serge Bourguignon
Ce très beau film (...) sera victime en son temps d'une chasse aux sorcières difficile à comprendre aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
On apprécie la peinture de paysage hivernal, digne d'une estampe japonaise, et les deux acteurs, singuliers (...) Mais le film intrigue par son audace tranquille. Est-il besoin de dire que plus personne aujourd'hui ne se risquerait à filmer un tel amour ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
Cinquante ans plus tard, le film possède toujours une force incroyable, une sorte d'aura cinématographique peu répandue. Tourné dans un noir et blanc hypnotique par les soins du directeur de la photo Henri Decae.Les dimanches de Ville d'Avray séduit par une grâce du sujet et du ton adopté.
L'Humanité
A revoir et, pour beaucoup, à découvrir.
TéléCinéObs
Ce très beau film (...) sera victime en son temps d'une chasse aux sorcières difficile à comprendre aujourd'hui.
Télérama
On apprécie la peinture de paysage hivernal, digne d'une estampe japonaise, et les deux acteurs, singuliers (...) Mais le film intrigue par son audace tranquille. Est-il besoin de dire que plus personne aujourd'hui ne se risquerait à filmer un tel amour ?