Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Positif
par Philippe Rouyer
Son film est un magnifique témoignage sur la condition humaine.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Claire Vassé
Avec intelligence et finesse, il mélange petite et grande histoire, l'enquête sur le suicide d'un père et la reconstitution de l'extermination d'un peuple. Le puzzle s'achève sur un point d'orgue flamboyant et émouvant dans lequel les liens de filiation renoués annoncent une communauté renforcée, une humanité retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Malgré, donc, la complication inutile du scénario, due sans doute au souci honorable de ne pas tenter de transcrire l'indicible de front, le film d'Atom Egoyan, honnête et courageux, reste passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
L'ampleur du sujet méritait peut-être un traitement encore plus fort émotionnellement. Mais la présence de Charles Aznavour ajoute au symbolisme de l'acte filmé, et Arsinée Khanjian réussit une composition bouleversante. Une oeuvre à la fois personnelle et universelle.
Cine Libre
par Vincent Lecordier
Toutefois, en cherchant à questionner dans un seul film, l'intime, le politique et l'artistique, Atom Egoyan épuise peut-être la force de résistance du spectateur en l'écartant de sa vraie réflexion..., la famille.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Isabelle Potel
Malheureusement, Egoyan ne va pas au bout, et pour cause, de la description de son empêchement cinématographique à répondre à ces questions, s'attardant sur des généralités sur la haine (et son mystère) qui conduit à la folie meurtrière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Grassin
(...) Atom Egoyan mêle - et c'est là l'atout majeur d'Ararat - le présent au passé, les fantômes aux vivants, et montre que l'Histoire procède de prises de position, de concessions et de volontés.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Malheureusement, autant l'analyse psychologique brille par sa finesse, autant la reconstitution déçoit par son pompiérisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Olivier Joyard
Alors que, pour la première fois, Atom Egoyan avait l'occasion d'être frontal et intimiste sur un sujet auquel il tenait beaucoup, parce qu'il rend compte de sa propre histoire familiale, il a pris peur.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La fameuse phrase de Duras -"tu n'as rien vu à Hiroshima, rien"-, mal digérée, accouche d'un lourd pensum passif et poussif. Pour "le" film sur le génocide arménien, il faudra attendre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'énoncé semble clair, l'interrogation sur la morale des images limpide. Mais un film n'est pas un problème de mathématiques. A l'écran, les images s'évadent du seul domaine de la démonstration logique pour pénétrer le champ de mines des émotions. (...) Les séquences spectaculaires finissent par polluer tout le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dommage pour Aznavour, embarqué dans cette aventure décevante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
Son film est un magnifique témoignage sur la condition humaine.
Zurban
Avec intelligence et finesse, il mélange petite et grande histoire, l'enquête sur le suicide d'un père et la reconstitution de l'extermination d'un peuple. Le puzzle s'achève sur un point d'orgue flamboyant et émouvant dans lequel les liens de filiation renoués annoncent une communauté renforcée, une humanité retrouvée.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Malgré, donc, la complication inutile du scénario, due sans doute au souci honorable de ne pas tenter de transcrire l'indicible de front, le film d'Atom Egoyan, honnête et courageux, reste passionnant.
MCinéma.com
L'ampleur du sujet méritait peut-être un traitement encore plus fort émotionnellement. Mais la présence de Charles Aznavour ajoute au symbolisme de l'acte filmé, et Arsinée Khanjian réussit une composition bouleversante. Une oeuvre à la fois personnelle et universelle.
Cine Libre
Toutefois, en cherchant à questionner dans un seul film, l'intime, le politique et l'artistique, Atom Egoyan épuise peut-être la force de résistance du spectateur en l'écartant de sa vraie réflexion..., la famille.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Malheureusement, Egoyan ne va pas au bout, et pour cause, de la description de son empêchement cinématographique à répondre à ces questions, s'attardant sur des généralités sur la haine (et son mystère) qui conduit à la folie meurtrière.
Première
(...) Atom Egoyan mêle - et c'est là l'atout majeur d'Ararat - le présent au passé, les fantômes aux vivants, et montre que l'Histoire procède de prises de position, de concessions et de volontés.
TéléCinéObs
Malheureusement, autant l'analyse psychologique brille par sa finesse, autant la reconstitution déçoit par son pompiérisme.
Cahiers du Cinéma
Alors que, pour la première fois, Atom Egoyan avait l'occasion d'être frontal et intimiste sur un sujet auquel il tenait beaucoup, parce qu'il rend compte de sa propre histoire familiale, il a pris peur.
Chronic'art.com
La fameuse phrase de Duras -"tu n'as rien vu à Hiroshima, rien"-, mal digérée, accouche d'un lourd pensum passif et poussif. Pour "le" film sur le génocide arménien, il faudra attendre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
L'énoncé semble clair, l'interrogation sur la morale des images limpide. Mais un film n'est pas un problème de mathématiques. A l'écran, les images s'évadent du seul domaine de la démonstration logique pour pénétrer le champ de mines des émotions. (...) Les séquences spectaculaires finissent par polluer tout le film.
Le Parisien
Dommage pour Aznavour, embarqué dans cette aventure décevante.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com