Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Film de guerre, bien sûr, mais aussi film d'apprentissage, Lebanon est surtout un très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Lucie Pedrola
Un huis-clos maîtrisé, superbe et étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Obscurité, promiscuité, chocs sonores, étroit champ de vision sur des gens massacrés ou à massacrer. Lion d'or du festival de Venise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Gérard Lefort
Cette intimité est un point de vue physique et moral : la guerre fait du bruit, la guerre fait du mal. La question ethique est celle de la monstration de l'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Il y a plus à voir dans Lebanon que la seule prouesse narrative. Le coup de force coupe le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Rania Hoballah
Lebanon est avant tout une expérience sensorielle qui nous plonge littéralement aux côtés des soldats.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
En pointant le canon de sa caméra vers son propre passé, Samuel Maoz signe un extraordinaire film d'horreur de la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Après Beaufort et Valse avec Bachir, Lebanon forme une trilogie sur la première guerre du Liban qui restera comme un témoignage artistique et humain d'une qualité exceptionelle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Brazil
par Franck Unimon
Avec Lebanon, nous pouvons une nouvelle fois remercier l'Art en général d'exister.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Peu de films auront atteint un tel degré d'intensité à partir d'un si maigre dispositif (...), et il n'est pas impossible de voir en Lebanon, déjà, l'un des meilleurs films de guerre de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Film expérimental nourri d'un authentique cauchemar, Lebanon offre une stupéfiante vision de l'homme dans l'urgence de la guerre, dessaisi de son libre arbitre, écrasé entre instinct de survie et révolte morale...
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) des scènes très intenses de huis clos dramatiques (...). Ce dispositif d'exeption est parfaitement maîtrisé, avec acteurs et mise en scène irréprochable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Lebanon peint l'épreuve initiatique, traque l'expérience humaine, la découverte de l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
Le cinéaste, qui signe ici son premier film, donne au scénario une forme dramaturgique d'une intense efficacité.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
le jeune cinéaste, (...) parvient grâce à un travail entre réalisme et surréalisme sur les images (...) et le son à nous claquemurer sensoriellement dans cet habitacle anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
(...), Samuel Maoz réussit à incarner ses cauchemars pour les affronter, enfin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
La limite du film, c'est que cette gémellité entre guerre et cinéma débouche sur par grand-chose de neuf, cinématographiquement ou philosophiquement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Jean Roy
(...) que de réchauffé là-dedans tant la notion de huis clos impose de conventions dans le traitement. Que d'artifices ont été nécessaires pour nous faire croire au naturel.
Le Parisien
par Marie Sauvion
On comprend bien le propos de Samuel Maoz, (...) mais le trop démonstratif Lebanon se heurte vite aux limites de son dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Bernard Achour
Lebanon faisait donc partie de ces films que l'on a l'impression d'aimer avant même de les avoir vus. Sauf que cet a priori enthousiaste subit au fil des minutes un pénible morphing qui, à l'arrivée, affiche tous les traits d'une déception.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Les larmes versées par des soldats israéliens " condamnés à tuer " mystifient la guerre, la représentent comme naturelle, inévitable, et d'une certaine façon la justifient.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
Film de guerre, bien sûr, mais aussi film d'apprentissage, Lebanon est surtout un très beau film.
Excessif
Un huis-clos maîtrisé, superbe et étonnant.
Le Figaroscope
Obscurité, promiscuité, chocs sonores, étroit champ de vision sur des gens massacrés ou à massacrer. Lion d'or du festival de Venise.
Libération
Cette intimité est un point de vue physique et moral : la guerre fait du bruit, la guerre fait du mal. La question ethique est celle de la monstration de l'horreur.
Marianne
Il y a plus à voir dans Lebanon que la seule prouesse narrative. Le coup de force coupe le souffle.
Metro
Lebanon est avant tout une expérience sensorielle qui nous plonge littéralement aux côtés des soldats.
Paris Match
En pointant le canon de sa caméra vers son propre passé, Samuel Maoz signe un extraordinaire film d'horreur de la guerre.
Positif
Après Beaufort et Valse avec Bachir, Lebanon forme une trilogie sur la première guerre du Liban qui restera comme un témoignage artistique et humain d'une qualité exceptionelle.
Brazil
Avec Lebanon, nous pouvons une nouvelle fois remercier l'Art en général d'exister.
Chronic'art.com
Peu de films auront atteint un tel degré d'intensité à partir d'un si maigre dispositif (...), et il n'est pas impossible de voir en Lebanon, déjà, l'un des meilleurs films de guerre de l'année.
L'Express
www.lexpress.fr
La Croix
Film expérimental nourri d'un authentique cauchemar, Lebanon offre une stupéfiante vision de l'homme dans l'urgence de la guerre, dessaisi de son libre arbitre, écrasé entre instinct de survie et révolte morale...
Le Journal du Dimanche
(...) des scènes très intenses de huis clos dramatiques (...). Ce dispositif d'exeption est parfaitement maîtrisé, avec acteurs et mise en scène irréprochable.
Le Monde
Lebanon peint l'épreuve initiatique, traque l'expérience humaine, la découverte de l'autre.
Le Point
Voir le site du Point
Ouest France
Le cinéaste, qui signe ici son premier film, donne au scénario une forme dramaturgique d'une intense efficacité.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
le jeune cinéaste, (...) parvient grâce à un travail entre réalisme et surréalisme sur les images (...) et le son à nous claquemurer sensoriellement dans cet habitacle anxiogène.
Télérama
(...), Samuel Maoz réussit à incarner ses cauchemars pour les affronter, enfin.
Les Inrockuptibles
La limite du film, c'est que cette gémellité entre guerre et cinéma débouche sur par grand-chose de neuf, cinématographiquement ou philosophiquement.
L'Humanité
(...) que de réchauffé là-dedans tant la notion de huis clos impose de conventions dans le traitement. Que d'artifices ont été nécessaires pour nous faire croire au naturel.
Le Parisien
On comprend bien le propos de Samuel Maoz, (...) mais le trop démonstratif Lebanon se heurte vite aux limites de son dispositif.
Première
Lebanon faisait donc partie de ces films que l'on a l'impression d'aimer avant même de les avoir vus. Sauf que cet a priori enthousiaste subit au fil des minutes un pénible morphing qui, à l'arrivée, affiche tous les traits d'une déception.
Cahiers du Cinéma
Les larmes versées par des soldats israéliens " condamnés à tuer " mystifient la guerre, la représentent comme naturelle, inévitable, et d'une certaine façon la justifient.