Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Première
par Sophie Grassin
Inégal mais passionné, écrit au présent du vindicatif, doté d'une interprétation perpétuellement à la limite du "hors-jeu", C'est beau une ville la nuit retrouve souvent en grâce ce qu'il a perdu en vigueur. C'est estimable, un réalisateur qui n'a pas peur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La sincérité et le réel talent d'acteur du personnage (...) tentent d'un bout à l'autre de masquer la part la plus émouvante du film, nullité littéraire, musicale et absence totale de propos.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Hélène Villovitch
(...) On ne le voyait plus beaucoup. Injustice réparée avec ce film (...) interprété par un Richard en grande forme. (...) L'histoire? il n'y en a pas et c'est très bien comme ça.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Le film est empreint d'instants de poésie, même si le fil conducteur nous échappe.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Cocktail frappé (...), le film cahote, maladroit, naïf et sincère avant de prendre de l'ampleur sur la fin (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Moins noir que le best-seller, ce road movie des coeurs égarés glissera sur les armures modernes et transpercera les coeurs simples.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Hybride, brut de décoffrage, souvent bancal mais toujours intègre, C'EST BEAU UNE VILLE LA NUIT en deviendrait presque un film concept !
Paris Match
par Alain Spira
Si vous êtes ensible à sa sincérité; à sa naïveté de poète écorché mort ou vif, à sa soif de liberté et d'amour, vous fermerez les yeux sur les imperfections de ce film tripal et tribal (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
(...) Bohringer (...) continue d`ajouter des morceaux au puzzle d`une existence aussi chaotique que généreuse et poétique.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
(...) Toutes les composantes de cette mini-épopée intime (...) paraissent dépassées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Il manque quand même à ce périple un fil conducteur qui lui donnerait un but et un sens. Il faut donc se satisfaire de l'énergie communicative et de la chaleur humaine qui en sont le carburant.
Télérama
par La rédaction
Malgré la ferveur de beaux comédiens (Romane Bohringer entourée de Robinson Stévenin et François Négret), ça ne prend jamais.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
(...) Ce qui passe bien en littérature ne s'accorde pas forcément avec le cinéma. (...) D'ailleurs, de scénario, il n'est point question ici puisque les différentes séquences s'enchaînent sans réelle logique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par La Rédaction
A ce niveau d'exploitation du filon, on se demande s'il ne serait pas temps de passer à autre chose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Score
par Vincent Guignebert
Si personne ne se déplace dans les salles, sûr qu'on entendra encore le refrain de l'artiste maudit !
La critique complète est disponible sur le site Score
Première
Inégal mais passionné, écrit au présent du vindicatif, doté d'une interprétation perpétuellement à la limite du "hors-jeu", C'est beau une ville la nuit retrouve souvent en grâce ce qu'il a perdu en vigueur. C'est estimable, un réalisateur qui n'a pas peur.
Chronic'art.com
La sincérité et le réel talent d'acteur du personnage (...) tentent d'un bout à l'autre de masquer la part la plus émouvante du film, nullité littéraire, musicale et absence totale de propos.
Elle
(...) On ne le voyait plus beaucoup. Injustice réparée avec ce film (...) interprété par un Richard en grande forme. (...) L'histoire? il n'y en a pas et c'est très bien comme ça.
Le Figaroscope
Le film est empreint d'instants de poésie, même si le fil conducteur nous échappe.
Le Monde
Cocktail frappé (...), le film cahote, maladroit, naïf et sincère avant de prendre de l'ampleur sur la fin (...).
Le Parisien
Moins noir que le best-seller, ce road movie des coeurs égarés glissera sur les armures modernes et transpercera les coeurs simples.
MCinéma.com
Hybride, brut de décoffrage, souvent bancal mais toujours intègre, C'EST BEAU UNE VILLE LA NUIT en deviendrait presque un film concept !
Paris Match
Si vous êtes ensible à sa sincérité; à sa naïveté de poète écorché mort ou vif, à sa soif de liberté et d'amour, vous fermerez les yeux sur les imperfections de ce film tripal et tribal (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) Bohringer (...) continue d`ajouter des morceaux au puzzle d`une existence aussi chaotique que généreuse et poétique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(...) Toutes les composantes de cette mini-épopée intime (...) paraissent dépassées.
Ouest France
Il manque quand même à ce périple un fil conducteur qui lui donnerait un but et un sens. Il faut donc se satisfaire de l'énergie communicative et de la chaleur humaine qui en sont le carburant.
Télérama
Malgré la ferveur de beaux comédiens (Romane Bohringer entourée de Robinson Stévenin et François Négret), ça ne prend jamais.
aVoir-aLire.com
(...) Ce qui passe bien en littérature ne s'accorde pas forcément avec le cinéma. (...) D'ailleurs, de scénario, il n'est point question ici puisque les différentes séquences s'enchaînent sans réelle logique.
Libération
A ce niveau d'exploitation du filon, on se demande s'il ne serait pas temps de passer à autre chose.
Score
Si personne ne se déplace dans les salles, sûr qu'on entendra encore le refrain de l'artiste maudit !