Liv Ullmann se raconte simplement. Elle évoque sa relation hors du commun, riche et parfois douloureuse avec Ingmar Bergman. Le film explore la complexité d’une passion qui couvre plusieurs décennies entre deux êtres intimement liés, tant sur le plan artistique que personnel.
En 1957, à l’aube de ses quarante ans, Ingmar Bergman entre dans une période de productivité sans précédent. Cette année-là, il tourne pas moins de trois films, met en scène quatre pièces de théâtre et conjugue travail acharné avec vie de famille tumultueuse…
Le Chelsea Hotel, temple de l’art et repère de la contre-culture à New York depuis plus d’un siècle, se transforme en hôtel de luxe. Coincés entre un passé mythique et un futur incertain, ses derniers résidents tentent de se réinventer, malgré le chaos du chantier.
Nommée sept fois aux Oscars, Ingrid Bergman y fut récompensée trois fois. Elle fut une des actrices les plus talentueuses de l’âge d’or du cinéma hollywoodien et ses rôles dans des films comme CASABLANCA (1942), HANTISE (1944) et SONATE D’AUTOMNE (1978) sont inoubliables.
Les uns après les autres, plusieurs Finlandais se dévoilent dans l’intimité du sauna : ils sont jeunes, vieux, seuls ou entre amis, et se livrent sous l’œil de la caméra sur des sujets tels que l’amour, l’amitié, la paternité ou la mort. Dans ces saunas, plus que les corps, ce sont les émotions qui transpirent.