Violons, cordes, se déploient en leit motiv les ailes d’un cygne. Pour peu, nous serions chez Tchaïkovski. Or nous sommes chez Artavazd Pelechian, bien moins porté sur le charme des passions. «Obibateli» (URSS, 1970) s’ouvre sur de gracieuses images, où la lumière dessine des contours aussi beaux que les effets d’un film de Bokanowski. S'esquissent les ailes d'un oiseau blanc, mais le grosseur du gros-plan donnerait presque à penser ...
Lire plus