Le jeu des comédiens est si peu naturel, si faux, qu'il faut lutter pour aller jusqu'au bout de cette adaptation de Zola par un cinéaste pourtant très estimable. Les séquences où Serge, amnésique, est entraîné dans les jardins de l'Eden par Albine, sont pourtant fort belles et un souffle rousseauiste laisse espérer une bifurcation vers un autre univers, celui du meilleur Pagnol, par exemple. Cet élan n'est, hélas, que passager et le ...
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