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Synopsis
Paris, 1802. Napoléon Bonaparte organise sa conquête du pouvoir. Mais d'abord, il entend rétablir l'autorité de la France et l'esclavage à Saint-Domingue et en Guadeloupe. C'est le début de 1802, l'épopée guadeloupéenne.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un film provoc qui ne parvient pas à maîtriser son sujet, et qui ne laborde que superficiellement. Tombant dans le manichéisme primaire, voulant à tout prix « casser du Bonaparte », le film séloigne du réalisme historique pour tomber dans le fictionnel. Les acteurs sont quand à eux caricaturaux, les dialogues sont fades et sans saveurs. Pour ceux qui sintéressent de près ou de loin à lHistoire, ce film est à éviter.
1802, l'épopée Guadeloupéenne a été commandé par Lucette Michaux-Chevry et le Conseil Général de Guadeloupe afin de célébrer le bicentenaire de la résistance face à la volonté de Napoléon de rétablir l'esclavage. Le film ressort en salles en 2006, année où la France commémore pour la première fois l'Abolition de l'esclavage.
1802, l'épopée guadeloupéenne, en chiffres
9 caméras, 72 heures de rushes sélectionnées, 1520 plans montés, 67 pistes sonores, 200 coups de canon, 5000 tirs de fusil, 1080 figurants et 12000 costumes ont été nécessaires pour réaliser le film.
Un réalisateur concerné
Le réalisateur Christian Lara avait déjà abordé le sujet de l'esclavage dans son précédent film Sucre amer. Pour 1802, l'épopée guadeloupéenne, il retrouve plusieurs des acteurs du film dont Jean-Michel Martial et Luc Saint-Eloy qui incarnent les mêmes personnages historiques.