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Synopsis
Le cinéaste est parti seul avec sa caméra dans un pays qu'il ne connaissait pas, le Rwanda, près de dix ans après le génocide : un voyage à travers l'inconcevable tel que le reconstruisent des rescapés par leur récit, des orphelins qui pratiquent les danses traditionnelles et leur mentor, Déo. Dans sa colline natale il remonte l'histoire d'une civilisation, d'un peuple d'éleveurs et d'agriculteurs mêlés, Tutsis et Hutus.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dix ans après le génocide, Denis Gheerbrant, réalisateur de La Vie est immense et pleine de dangers et de Grands comme le monde, est parti seul avec sa caméra au Rwanda, pour "comprendre ce que c'est que de revenir à la vie". "Il y avait aussi dans le désir de ce film celui de comprendre quelque chose de ce qui est toujours l'autre côté de notre monde, le Tiers-monde... le comprendre et le vivre. (...) Le projet d'aller dans le Tiers-monde s'est
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Premier contact
Denis Gheerbrant est tout d'abord passé par les réseaux de soutien aux rescapés, "les seuls à pouvoir tenir une parole sur ce qui est advenu. La parole de celui qui a tué n'est même pas énonçable".
Montage financier
C'est grâce à l'aide financière du producteur Richard Copans que Denis Gheerbrant a pu entamer son voyage au Rwanda. " Le tournage s'est fait rapidement, trois semaines pour le premier voyage et quatre pour le second, avec trois francs six sous, c'est-à-dire l'argent de la préparation, sans aucun financement préalable. Le montage a été une autre histoire ! Un an de travail financé par les Assedics, seul mais dans l'échange et sous le regard de Ri
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