Cette fois-ci, Maya Deren dirige nettement plus son esthétique vers celle de la danse. Les chorégraphies, reflets d'un certain sentiment de perdition aussi bien mental que spatiotemporel, sont d'un intérêt remarquable ; en plus d'être belles, elles semblent soulever des questions pertinentes sur le nature du mouvement au cinéma ; est-ce là l'essence d'une représentation au cinéma ? Une image fixe peut elle aussi bien évoquer, montrer, ...
Lire plus