« Jicop le proscrit » est typique de ces très films de années 50 (souvent en noir et blanc) qui sont construits à partir d’une histoire originale qui privilégie la psychologie à l’action. Jack Palance, dans un rôle à contre-emploi, est génial en ex-hors-la-loi tourmenté, torturé et rongé par un sentiment de culpabilité. Anthony Perkins, vu la même année dans le très bon « Du sang dans le désert », donne brillamment le ...
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