Alors que le film commençait, je pensais voir un grand truc, ces gros plans sur le visage de la marchande d'allumettes rappelant ceux de Griffith sur Lillian Gish.
Et pour ça j'ai beaucoup aimé toute la partie qui se situait dans le monde réel, j'ai trouvé ça beau, tragique, sombre, triste, et pourtant Renoir ne noircit pas le tableau, le policier étant plutôt gentil avec elle, un homme était presque prêt à lui acheter des ...
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