Fainéant, paresseux, en roue libre. Avec L'Enfer de la violence, titre passe-partout, c'est comme si Bronson ne l'avait tourné que pour ses fans les plus hardcores. Comme s'il fallait absolument sortir un Bronson par an. Et en 1984, ce sera celui-là. Il a l'air d'en avoir rien à faire mais d'une force...D'ailleurs, au début, on le voit se la couler douce sur une île paradisiaque. On lui demande d'aider un vieux copain assassiné par un ...
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