Sur le point de quitter le pensionnat britannique dans lequel elle se trouve, Dolápò est poussée à changer ses cheveux naturels ainsi que son nom pour trouver un travail en ville. Dolápò décide d’acheter une perruque mais cela la pousse à s’interroger sur ses origines incertaines, remettant en question ses propres hypothèses sur l’identité.