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Synopsis
Harlem, dans les années 70. Tish et Fonny s'aiment depuis toujours et envisagent de se marier. Alors qu'ils s'apprêtent à avoir un enfant, le jeune homme, victime d'une erreur judiciaire, est arrêté et incarcéré. Avec l'aide de sa famille, Tish s'engage dans un combat acharné pour prouver l'innocence de Fonny et le faire libérer…
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Avec Moonlight et maintenant Si Beale Street pouvait parler, Barry jenkins possède déjà sa carte de grand réalisateur. Attention quand même à une tendance qui s'affirme encore davantage dans son dernier film, celle d'un certain esthétisme qui n'est pas loin de toucher au maniérisme, en particulier dans des passages qui ne requièrent aucun effort de beauté formelle, a priori. Ceci posé, Si Beale Street pouvait parler est un somptueux ...
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dominique P.
844 abonnés
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5,0
Publiée le 4 février 2019
J'avais beaucoup apprécié le précédent film de ce réalisateur "Moonlight".
Et celui-là, son nouveau; est de tout beauté.
C'est vrai qu'il est lent mais c'est ce qui fait toute sa force et tout son charme justement.
C'est une histoire bouleversante, parfaitement traitée, maîtrisée.
spoiler:
Les gens qui critiquent en disant que c'est trop lent, n'aiment que la vitesse, le rythme trépidant et c'est vraiment triste.
Dans notre ...
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Hotinhere
570 abonnés
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3,5
Publiée le 18 mars 2020
L'histoire d'amour contrariée mais inconditionnelle de deux afro-américains à Harlem dans les années 70 sur fond de ségrégation raciale. Un film délicat et émouvant à la mise en scène sublime et magnétique.
Cinéphiles 44
1 388 abonnés
4 208 critiques
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3,5
Publiée le 30 mars 2019
Oscarisé en 2017 pour son film « Moonlight », Barry Jenkins adapte le roman publié par Baldwin en 1974 « Si Beale Street pouvait parler ». Tish est enceinte de Fonny. Mais ce dernier est en prison suite à une erreur judiciaire. Chaque jour les amoureux se parlent donc à travers une vitre. Au fil des flash-back, le film décrit les circonstances qui ont mené à l’arrestation de Fonny. Si l’action se déroule dans les années ...
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Si Beale Street pouvait parler est adapté du roman de James Baldwin, auquel le film est dédié. Il s'agit de l'auteur préféré du réalisateur Barry Jenkins : "Ces livres m’ont permis de mieux comprendre ce qu’était la masculinité, et ce qu’était la masculinité noire. Je n’ai pas eu de révélation grâce à l’un de ses propos en particulier, mais plutôt grâce à la manière dont il s’exprimait et à la qualité des recherches qu’il menait quand il s’intére
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Harlem
Pour l'équipe, il était impensable de ne pas tourner à Harlem. Il s'agissait de rendre hommage aussi bien à la ville qu'au texte de James Baldwin. Une partie du tournage s'est déroulée à St. Nicolas Avenue, que Barry Jenkins connaît bien pour avoir longtemps vécu dans le coin, sur la 145ème rue. Le chef-décorateur Mark Friedberg y a déniché un immeuble de type "brownstone" vidé car en pleine rénovation. C'est là qu'a été construit l'appartement.
Influence photographique
Les clichés de photographes tels que Gordon Parks, Jack Garofalo et Paul Fusco ont permis de restituer l'ambiance des quartiers de la ville à la fin des années 60 et au début des années 70. Les photographies des "Tombs" (prisons new-yorkaises) de 1973-74 signées Bruce Davidson se sont également avérées inestimables.Pour la lumière, Barry Jenkins et le directeur de la photographie James Laxton se sont penchés sur l’oeuvre de Roy DeCarava : "Nous v
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