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Synopsis
En créant l’agence Elite dans les années 70, John Casablancas invente le concept de « super Top model ». Si des noms comme Naomi, Cindy, Linda, Iman, Gisèle ou Kate font aujourd’hui partie de la culture populaire, c’est en grande partie grâce à lui. Il a vécu la vie dont beaucoup rêvent, entouré de glamour et de beauté. Il raconte ici son histoire.
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Casablancas, l’homme qui aimait les femmes Bande-annonce VO
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
La curiosité, ce moteur qui m'anime chaque jour qui passe. S'intéresser à l'autre, à la raison pour laquelle il en est arrivé là, aux méthodes qu'il a employé pour parvenir à ses fins dans le domaine qui l'inspire le plus.
Aujourd'hui, c'est à la vie d'un bellâtre qui éveille mon intérêt, celle de John Casablancas.
D'abord, son nom a quelquechose de romanesque. Son physique s'apparentant un peu à celui de Don Johnson, toujours ...
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Hubert Woroniecki a, pendant ses études, travaillé dans des agences de mannequins. Le metteur en scène confie avoir toujours trouvé ce métier intéressant. Il a donc eu envie de montrer la réalité des agences de mannequin et mettre en avant les supermodels via un film. "Aujourd’hui encore, si je prononce les prénoms Cindy, Naomi et Linda, des images viennent immédiatement en tête. D’un point de vue plus personnel, je viens d’une école de cinéma po
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A Ibiza dans les années 80
Lorsque Hubert Woroniecki avait 16 ans au milieu des années 1980, il a passé des vacances à Ibiza dans un village. John Casablancas avait fait construire une maison dans ce même village et y a séjourné avec sa jeune compagne Stephanie Seymour (qui avait le même âge que le futur réalisateur). Le réalisateur se rappelle : "J’étais un petit lycéen parisien et je dois dire que passer le mois d’août avec cette jeune fille a transformé ma vision de la
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Angle, archives et mort
Hubert Woroniecki n'a pas voulu faire un documentaire classique pesant le pour et le contre de cette personnalité hors du commun mais plutôt se centrer sur son ascension. Entre 2009 et 2012, le cinéaste a ainsi obtenu un accès illimité à ses archives personnelles – vidéos, photos... C'est lorsque John Casablancas l'a appelé pour lui dire qu'il lui reste six mois à vivre que les choses se sont accélérées et que le film a pu voir le jour.