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Synopsis
75 ans : c’est le temps écoulé depuis le premier plan officiel de partition de la Palestine en deux États, l’un juif et l’autre arabe. Ce film rassemble une série de 24 entretiens sur l'Etat Commun.
Bande-annonce
Etat commun, conversation potentielle Bande-annonce VO
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Critique Presse
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
État commun – conversation potentielle (1) aurait pu se contenter d'aligner successivement ou de croiser les vingt-quatre entretiens afin d'affirmer la réitération d'un discours politique partagé (celui qui valorise le projet d'un État commun). Mais il aurait alors refoulé l'articulation de l'existant (soit la réalité coloniale de l'État israélien et le morcellement historique des formes de vie du peuple palestinienne) et de ce qui ...
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Le thème de la Palestine et d’Israël a été précédemment exploré dans la filmographie d’Eyal Sivan à travers Jaffa, la mécanique de l’orange (2009) et Route 181, fragments d’un voyage en Palestine-Israël (2004).
Pour approfondir…
La sortie de ce film accompagne le livre qu’Eyal Sivan a co-écrit avec Eric Hazan, "Un état commun, entre le Jourdain et la mer" aux éditions La Fabrique. Les deux œuvres sont indépendantes l’une de l’autre, mais tout en explorant le même thème de l’état actuel de la Palestine et vers une possible évolution pour un Etat partagé.
La mise en scène
Eyal Sivan a choisi le procédé du "split screen", consistant à séparer l’écran en deux images (ou plus), pour confronter les intervenants palestiniens et israéliens. Cela permet aux spectateurs de voir les réactions des orateurs lorsqu’ils sont confrontés et obligés de laisser la parole à leurs opposants. Ce choix judicieux est justifié par le réalisateur pour démontrer que cette mise en scène de la parole repousse la barrière linguistique et red
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