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Synopsis
Paul et Marguerite s'aiment depuis cinq ans, leur amour est organique, visceral et fort, basculant sans cesse du reel a l'absolu et de l'absolu au tragique. Paul veut tout reconstruire et maitriser. Il cloisonne les etres et les choses et met tout dans des cases. Marguerite est romanesque et avance a decouvert. Il n'y a pas d'arriere-pensees dans ses actes. Paul s'inscrit dans un quotidien, il est dans la repetition des choses. Contrairement a Marguerite dont la trajectoire emprunte a la tragedie un sens de la purete et de la morale. Et evidemment un sens du destin.
Après vingt minutes de galère ce Quelque chose d'organique a trouvé le moyen d'éveillé ma curiosité, cela n'a malheureusement pas durée bien longtemps ... Les tourments et les méandres de ces êtres distants, leurs passions vides m'ont laissé de marbre aussi. Après, le film a bien un regard, Bertrand Bonello le formule comme une étude ... Paradoxal. Je suis pas très convaincu.
alexdelaforest
38 abonnés
206 critiques
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2,5
Publiée le 2 septembre 2013
J'ai du mal à m'en souvenir. beaucoup de choses agaçantes mais l'ensemble fonctionne bien notamment grâce à Romane Bohringer plus qu'à Laurent Lucas.
chrischambers86
13 955 abonnés
12 478 critiques
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3,0
Publiée le 26 juillet 2010
"Quelque chose d’organique" est un mèlodrame urbain où Paul et Marguerite s’aiment depuis cinq ans, leur amour est organique, viscèral et fort, basculant sans cesse du rèel à l’absolu et de l’absolu au tragique...Plus que le rècit, c'est l'atmosphère de ce conte intime qui touche et fascine! La ville de Montrèal et sa lumière hivernale, la partition orageuse et son montage aèrè sont particulièrement bien retranscrit à ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 30 novembre 2011
Film poétique qui se sent sans savoir pourquoi, qui d'abord nous glisse á l'insu et qu'á la fin on souhaite être transportés. Il se peut qu'il soit excessive parce qu'il m'a semblé qu'il atteint premier au suicide morale (sexe à la rue avec combien?) et finalement suicide physique (la première scène). Toutefois, ces scènes sont incontournables. Elles ferment le cercle bizarrement poétique.