Un film-essai, qui fait le funambule entre autodérision et finesse d’analyse. Olivia pleure beaucoup, surtout en regardant « Les Parapluies de Cherbourg » de Jacques Demy. Elle ne supporte pas l’idée que l’on soit à jamais séparé de ceux qu’on a aimés. Le film met en scène la recherche dans laquelle elle se lance pour découvrir la vraie raison des larmes, ce fait universel et symptomatique de l’identification de chacun au film regardé.