L’intérêt de Bright Victory tient à cette quinzaine de minutes durant lesquelles le soldat Larry Nevins prend peu à peu conscience de sa cécité, passant du déni à l’acceptation douloureuse d’une réalité à jamais différente. Sa révolte sourde, qui s’exprime par des mouvements d’impuissance et par des appels à l’aide étouffés, aurait dû occuper un film qui s’intéresse davantage à l’éloge de l’armée qui ...
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