Un érotisme esthétiquement superbe, les corps, les épidermes, sont magnifiquement éclairés, mis en valeur, photographiés, dans les scènes sexuelles comme dans les scènes de poses. Le problème est que le scénario, une histoire de manipulation et de chassé-croisé amoureux avec un photographe et ses modèles, est aussi artificiel que le jeu des acteurs.