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Synopsis
« Elle est où la cité des fantômes ? », demande l’enfant au gardien du parc d’attractions. « Elle est là, juste là. Mais elle a été bombardée… Tu veux la voir ? » C’est par ces mots que commence le film, balade impressionniste dans une Gaza dévastée, au lendemain de la guerre. La cité des fantômes, c’est Gaza…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Début 2009, un cessez-le-feu est proclamé à Gaza, c'est l'occasion durant laquelle le cinéaste Suisse Nicolas Wadimoff a décidé d'y introduire ses caméras pour mieux nous rendre compte de l'état de désolation dans lequel règnent les Gazaouis. Tout ou presque est détruit, les amas de maisons et d'immeubles se chevauchent, jonchant les routes où les enfants prennent un malin plaisir à grimper dessus pendant que les adultes tentent d'y ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 1 juin 2010
EMOUVANT! On est souvent manipulé par les médias, enfin un film qui raconte la réalité et rien que la réalité.
Louis65
1 critique
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5,0
Publiée le 20 mai 2024
Poétique, puissant traversé par une telle humanité, une magnifique parabole sur cette formidable résilience qui anime les habitants de cette terre trop souvent meurtrie. A voir absolument en ces temps plus que troublés.
Un visiteur
5,0
Publiée le 28 mai 2010
pas tout a fait d accord avec sa manière de filmer mais ça reste un film qu il faut voir...la corruption évidement et malheureusement existe mais c l occupation et le blocus qu ils l ont créé...
Même si, dans Aisheen (chroniques de Gaza), deux (jeunes) palestiniens évoquent leur désir de mourir en martyr en causant un maximum de dégâts au sein du camp israélien, Nicolas Wadimoff insiste sur le fait qu'à Gaza, la culture de la vie prédomine par rapport à la culture de la mort : la majorité des habitants de la ville ne demandent qu'à vivre en paix, ce qui ne veut pas non plus dire que la haine des juifs est une réalité passée sous silence
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Des "fixeurs"
L'équipe de tournage a travaillé avec des assistants, appelés "fixeurs", qui connaissaient très bien la région et qui, du coup, ont facilité les choses en ce qui concerne le choix des lieux et les rencontres avec les personnes filmées.
"Toujours vivant"
"Aisheen" est une expression arabe signifiant "toujours vivant". Le réalisateur souligne à quel point ces mots ont servi de fil conducteur à l'orientation qu'allait prendre son documentaire : aller à la rencontre de Palestiniens qui, au lendemain d'une catastrophe où certains d'entre eux ont tout perdu, continuent à vivre envers et contre tout... Exactement comme cette femme filmée par Nicolas Wadimoff cherchant, de manière digne et presque autom
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