Moins vulgaire et abominable qu'un Lauzier de la même époque, "L'amour propre..." associe la remise en cause du potentat masculin sur la jouissance masculine avec la conscience qu'ont les femmes de l'appétit sexuel des hommes. C'est assez caricatural, mais pas mal joué, réalisé mollement mais sans fautes graves- et si vous ne connaissez pas l'histoire du petit singe qui trempe ses couilles dans le whisky, ne comptez pas sur moi pour vous ...
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