Le pacte faustien revisité par John Farrow en 1949, comme il le fut par Tourneur père ou le sera l'année suivante par René Clair: une curiosité, dans le sens où le fantastique voisine avec le film noir et par le milieu dans lequel évoluent les protagonistes (la politique). Ray Milland prête ses traits au malin avec une vraie consistance, lui qui avait joué jusqu'alors beaucoup de personnages positifs chez Wilder, De Mille, Leisen ou ...
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