C'est sa technique si fantastique qui rend ce petit conte suédois si surprenant, bien plus que son humour, qui malheureusement se perd quelque peu sur la durée, car des trois chapitres qui découpent sa narration, notre préférence ne va qu'au premier. THE TALE OF LITTLE PUPPETBOY est une sympathique petite découverte de la Quinzaine Des Réalisateurs du dernier Festival De Cannes.