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Synopsis
Jake Feldman, directeur d'une manufacture de fourrures, projette de confectionner le plus beau manteau jamais réalisé. Pour arriver à ses fins, il dérobe des peaux de ratons laveurs maudites qui bientôt vont se retourner contre tous ceux qui les convoitent.
J'ai adoré ce film, non en raison de la qualité de sa mise en scène ou pour les effets spéciaux, mais pour le sujet exploité dans ce moyen-métrage. En effet, tous les "méchants", braconniers sadiques, fourreurs, adorateurs de la fourrure et j'en passe,spoiler: se retrouvent massacrés, par eux-mêmes ou d'autres, exactemen
tspoiler: de la façon dont ils agissait envers les animaux
. Cela rend les massacres plus ...
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Malevolent Reviews
1 016 abonnés
3 207 critiques
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3,5
Publiée le 31 janvier 2012
Je l'avais déjà précisé : je ne suis pas un fanatique de Dario Argento. Je n'aime pas les giallo en général d'ailleurs, genre dont le réalisateur italien en est le maître. Cependant, j'avais ravalé ma salive après avoir revu le glaçant Suspiria et quelques uns de ses rares très bons films adoré ainsi que sa participation à la saison 1 de la série Masters of Horror. Son épisode intitulé Jenifer était foutrement bien foutu et ...
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Flibustier
3 abonnés
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4,0
Publiée le 31 août 2012
Dario Argento revient pour son deuxième épisode des Master of Horror ; le premier, Jenifer, était excellent, le deuxième, J'aurai leur peau, est très bon. Il est extrêmement gore, et assez engagé contre la vente de fourrure, et les pelletiers. La réalisation est parfaite, surtout quand on sait que le budget était très miséreux. Les acteurs, quasi inconnu, se défendent très bien.
Renaud de Montbas
30 abonnés
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3,5
Publiée le 14 décembre 2019
Moyen métrage Issu de la très bonne série "masters of horror", "j'aurai leur peau" est dans la droite ligne de cette série c'est à dire un conte de la crypte placé un cran au dessus dans le gore. J'ai eu la joie de retrouver dans cet épisode le sympathique Meat Loaf dont le hard rock symphonique a enchanté ma jeunesse. "J'aurai leur peau" est une histoire de malédiction que n'aurait pas reniée Stephen King (un peu dans la veine de ...
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