I Don't Want to Sleep Alone
?
poster du film Bande-annonce I Don't Want to Sleep Alone
6 juin 2007 en salle | 1h 58min | Comédie, Drame, Musical
|
Titre original Hei yan quan
Presse
3,7 17 critiques
Spectateurs
3,3 105 notes, 24 critiques
Mes amis
--
noter :
0.5 Nul
1 Très mauvais
1.5 Mauvais
2 Pas terrible
2.5 Moyen
3 Pas mal
3.5 Bien
4 Très bien
4.5 Excellent
5 Chef-d'oeuvre

Synopsis

Kuala Lumpur. Un sans-abri, Hsiao Kang, est attaqué un soir dans la rue. Des travailleurs bangladeshi le trouvent et le transportent chez eux, dans le bâtiment désaffecté où ils habitent. Il va être pris en charge par l'un d'eux, Rawang. Chyi, une serveuse de bar, va elle aussi tomber sous le charme de Hsiao Kang. Cet homme qui n'était plus rien, devient l'objet de toutes les convoitises...

Regarder ce film

Regarder I Don't Want to Sleep Alone sur ARTE FRANCE
ARTE FRANCE
Location dès 3,99 €
Regarder I Don't Want to Sleep Alone sur UniversCiné
UniversCiné
Location dès 2,99 €
Service proposé par Service proposé par le CNC Service proposé par le ministère de la culture
image de la news 1ères séances : un boulevard pour Tarantino !
News - Box Office
mercredi 6 juin 2007
image de la news 63e Mostra de Venise : c'est parti !
News - Festivals
De Lynch à de Palma, d'Oliver Stone à Oliveira, d'Aronofsky au fils Miyazaki, zoom sur la 63e Mostra de Venise, qui ouvre…
mercredi 30 août 2006
photo de Lee Kang-sheng
Rôle : Hsiao-Kang
photo de Norman Atun
Rôle : Rawang
photo de Shi Chen
Rôle : Shiang-chyi
photo de Lu Yi-Ching
Rôle : la mère

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

Critiques Spectateurs : ils ont aimé

Meilleures critiques les plus utiles
4,0
Publiée le 10 septembre 2007
Le cinéaste de "la saveur de la pastèque" revient à ses errances contemplatives après une récréation qui détonne dans son oeuvre très austère. Une fois de plus, des personnages qui ne parlent jamais vont se croiser, se laver et dormir pendant environ deux heures. Même si j'ai finalement aimé cette ambiance de fin du monde où aucun espoir ne semble possible, il faut bien reconnaitre que c'est long et très (très très) chiant. ...
Lire plus
4,5
Publiée le 1 décembre 2010
J’avais un souvenir persistant de ce film, de l’ordre quasi exclusif du ressenti: des sensations de chaleur, d’humidité, des impressions qui ont fini par me convaincre de le revoir. Ceci fait, j’ai pu apprécier toute sa richesse, de la maîtrise technique à la poésie fulgurante de certaines séquences, en passant par la problématique sociale. Tsaï Ming-Liang a une foi inouïe dans l’image, ce qui lui permet de se passer de ...
Lire plus
5,0
Publiée le 28 juin 2007
Une maîtrise parfaite du cadre, de la photo, de la respiration et du silence. Ce silence qui se fait si rare aujourd'hui, Joyce ! Se laisser emporter, ne pas essayer de tout comprendre, mais en revanche, partager la douleur des protagonistes dûe à la solitude, à la non-expression des sentiments, à la difficulté de communiquer. Etouffant, dérangeant mais totalement indispensable ! Merci M. Tsai Ming-Liang.
4,0
Publiée le 24 juin 2007
Tout en ayant aimé "Still life", d'un autre cinéaste asiatique en vogue en ce moment, j'ai raffolé de celui-ci, sorte de voyage assis, sans trop d'effort, car le réalisateur a le don de vous embarquer pour peu que votre cerveau droit soit encore en état de marche. C'est du fantastique plus que de la sordide réalité pour moi, quoique... Bref, je vous le conseille, mais faites une sieste avant pour que vos yeux s'écarquillent sur des images ...
Lire plus

Le choix de la Malaisie

Tsai Ming-liang , qui habite à Taïwan, a pourtant choisi de retourner en Malaisie, son pays natal, pour réaliser I don't want to sleep alone car la critique avait été très virulente à son égard lors de la sortie de The Hole en 1998, l'accusant d'avoir utiliser des fonds publics pour montrer Taïwan sous un trop mauvais jour. Le réalisateur a donc décidé de quitter son pays d'adoption pour continuer son travail.

Des problèmes de financement

Malgré son retour en Malaisie, Tsai Ming-liang n'a pas trouvé tout de suite de financement et a dû abandonner son projet jusqu'à ce qu'en 2005, à l'occasion du 250e anniversaire de Mozart on lui propose de réaliser un film. C'est ainsi que I don't want to sleep alone a vu le jour.

Lee Kang-sheng, son acteur fétiche

C'est le huitième long-métrage que réalise Tsai Ming-liang en compagnie de Lee Kang-sheng, qu'il considère comme la base de son travail son "matériau de départ à partir duquel [ il ] peut commencer à créer." Passionné de François Truffaut, Tsai Ming-liang semble suivre son exemple : "si François Truffaut était encore en vie, il tournerait sans doute encore avec son acteur fétiche Jean-Pierre Léaud !" a-t-il commenté.

Infos techniques

Distributeur CTV International
Récompense 1 nomination
Année de production 2006
Date de sortie DVD -
Date de sortie Blu-ray -
Date de sortie VOD 06/10/2007
Type de film Long métrage
Secrets de tournage 5 anecdotes
Budget -
Langues Bengali, Malais, Mandarin
Format production -
Couleur Couleur
Format audio -
Format de projection -
N° de Visa 115 390

Pour découvrir d'autres films : Meilleurs films de l'année 2006, Meilleurs films Comédie, Meilleurs films Comédie en 2006.