Même si elle n’a plus débordé depuis plus d’un siècle, la prochaine crue de la Loire pourrait inonder plus de 300 000 personnes. La catastrophe étant inévitable ne vaudrait-il pas mieux l’accepter et s’y préparer, plutôt que de tenter de maîtriser les colères d’un fleuve qui reste encore un peu sauvage ?
Depuis que les humains sont installés en Loire moyenne, entre Nevers et Angers, ils subissent régulièrement des crues qui détruisent les habitations et emportent des vies. Le dernier épisode, en 1866, est aujourd’hui oublié. Mais les scientifiques disent que l’eau reviendra dans les zones inondables où vivent aujourd’hui 300 000 personnes. En revenant sur les catastrophes d’hier, en envisageant celles de demain, ce film permet de comprendre pourquoi les moyens mis en œuvre pour maîtriser les colères du fleuve ont toujours échoué.
Depuis que les humains sont installés en Loire moyenne, entre Nevers et Angers, ils subissent régulièrement des crues qui détruisent les récoltes, les habitations et emportent des vies. Le dernier épisode, datant de 1866, est aujourd’hui oublié. Mais les scientifiques disent avec certitude que l’eau reviendra là où elle est déjà passée, dans des zones inondables où vivent aujourd’hui 300 000 personnes. En revenant sur les catastrophes d’hier, en envisageant celles de demain, ce film permet de comprendre pourquoi tous les moyens mis en œuvre pour maîtriser les colères du fleuve ont toujours échoué. Ne serait-il pas temps de réaliser qu’on peut vivre avec la Loire et non pas à côté d’elle ou contre elle ?