“Ocean Hill Drive” explore le rare phénomène du “shadow flicker” qui se manifeste dans une banlieue aux alentours de Boston. L’installation par erreur d’une éolienne a déclenché le “flicker”, un effet faisant écho au cinéma expérimental structuraliste et relaté dans ces images documentaires du paysage et de l’architecture de ce village côtier du Massachusetts. Le film se concentre sur la qualité visuelle des ombres pulsantes. Il s’intéresse à la manière dont ces dernières empiètent sur la sphère domestique de banlieue en troublant l’équilibre social et psychologique de la communauté en question.