Mélusine décide de partir seule avec sa vieille moto pour «aller le plus loin possible » en direction de l’est. On lui prédit qu’elle ne dépassera pas le périphérique parisien. 4 mois plus tard, elle arrive pourtant à Vladivostok, où seule la mer du Japon arrête sa route. À sa manière elle a trouvé ce qu’elle était partie chercher : sa liberté dans un monde qui paraissait infini. Mais ce voyage initiatique hors du commun, elle revient surtout avec de nombreuses questions sur la notion de liberté, différente d’un endroit à l’autre, et plus particulièrement pour les femmes.