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WinslowLeach666
34 abonnés
359 critiques
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5,0
Publiée le 21 octobre 2006
Excellent comestible. Joyeux bordel que cette suite au cultissime Wayne's world, film hard rock. C'est pour moi du grand art (du grand hard?). Drollissime avec des répliques tordantes (pourquoi il marche mal votre oeil bizarre?) un must.
Un an seulement après le phénoménal succès de Wayne's World, Mike Myers et son comparse Dana Carvey remettent le couvert pour une suite de haute volée. Désormais mis en scène par Stephen Surjik (issu de la télé), cette nouvelle aventure entraîne Wayne et Garth dans une quête pour organiser l'un des plus gros festivals de rock de tous les temps, le Waynestock, avec rien que Aerosmith, Van Halen et même Pearl Jam. De quoi faire jalouser le nouveau producteur antipathique de Cassandra, la copine de Wayne, et permettre à ce dernier de faire quelque chose d'important de sa vie...
J’avais aimé le délire un peu nounouille du 1, j’ai aimé le délire un peu nounouille du 2. L’état d’esprit est le même, les gars sont toujours aussi bons. Je dirais presque que ce second opus est un peu plus mature et abouti… mais bon. Peut-on vraiment qualifier un « Wayne’s World » de mature ?
Wayne's World II souffre du syndrome typique des suites de comédie à succès: le copiage/collage de certains principes ayant marchés dans l'original (caméo de stars du rock, coup de foudre de Garth, concurrence amoureuse pour Cassandra, fausses fins...). Malgré tout, on prend un réel plaisir à retrouver Wayne, Garth et leur univers décalé. Un monument de débilité à consommer sans modération entre potes.
Convenablement drôle pas autant que le premier mais ça allait le réalisateur a réussi a conserver le fil sans que ça s'essouffle. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Deux ados attardés ont bricolé un studio de télévision dans la cave de papa-maman... Wayne et Garth enthousiasment, paraît-il, le potache américain. Maiss le charme de cette comédie farfelue a du mal à passer l'Atlantique. le film n'est pas fameux du tout, et même vraiment ennuyeux.
Une sacrée torture ! Humour, ou plutôt tentative d'humour déconcertante, histoire bas-de-gamme, jeu écœurant, têtes-à-claques omniprésentes, "Wayne's world" inflige un mal de crâne insupportable, et provoque un certain dégoût face à ce duo médiocre, et à ce concept incompréhensible. Douloureux !
Tout aussi drôle et délirant que le premier opus. Du rock, beaucoup de gags que du bonheur en résumé. Les personnages ont bien évolués en gardant leurs charmes et leurs bêtises.
Avec l'immense succès de "Wayne's World", il était normal qu'une suite voie le jour. Malheureusement, le succès ne fut pas au rendez-vous, ce qui est fort dommage car cette suite est bien meilleure. Wayne continue d'apparaître à la télé avec son meilleur ami, Garth, dans leur émission mais Wayne aimerait faire quelque chose de mémorable. Une nuit, Jim Morrison lui apparaît et lui révèle sa destinée: monter un grand concert de rock. Wayne et Garth vont devoir trouver et convaincre des groupes de venir... La réalisation n'est pas très originale mais elle est efficace: le cadrage est bon, les prises de vues fonctionnent, bien que la mise en scène soit assez bateau, les mouvements sont fluides et la profondeur de champ est bonne. Le scénario est bien meilleur, il est bête mais le sait, et nous donne des scènes bien plus drôles où différents genres cinématographiques sont parodiés et on approche un humour plus nonsense comme celui d'Édika ou de Fmurrr (si vous ne connaissez pas, cherchez-vous-mêmes bande de feignasses). Il y a cependant des longueurs, des facilités mais l'humour est donc bien meilleur et les clichés sont volontairement amusants. Les acteurs sont meilleurs, ils sont plus crédibles et plus impliqués. Les personnages sont encore assez faibles niveau écriture mais restent attachants. Les dialogues sont moins marquants mais il y a quand même de bonnes répliques. La photographie est de qualité, la lumière est très bonne et les couleurs bien trouvées. Le montage est un peu trop simple et n'offre pas grand-chose d'original. Les décors sont assez bons, les costumes réussis et la musique offre toujours de bons morceaux de rock comme on n'en fait plus mais ils sont moins nombreux. "Wayne's World 2" est une suite qui fait plaisir à voir ou à revoir.
Grosse comédie à l'humour crétin revendiqué, "Wayne's World 2" ne fera peut-être pas rire tout le monde. Trop à la "con", trop n'importe quoi, trop énorme, trop burlesque même par moments... Et alors ? Il s'agit d'un film de fans conçu pour des fans ayant horreur de la demie-mesure, ne cherchant pas à plaire au public le plus large possible, juste à toucher la catégorie de spectateurs à laquelle il s'adresse (avec un esprit "si ça ne vous plaît pas, cassez-vous") sans taper plus haut. Un film possédant une relation directe avec ses spectateurs, rien de plus. Alors peu importe s'il est mal réalisé, mal doublé, que l'image est laide ou que les gags ne fonctionnent pas tous car les quelques délires sur lesquels l'équipe s'est véritablement attardée (les passages récurrents avec Jim Morrison notamment) sont pour la plupart hilarants. Avec l'énorme potentiel comique du surdoué Mike Myers, celui qui deviendra quelques années plus tard l'emblématique Austin Powers. Grosso modo le même type de vannes.
En 1993, soit un an après le succès du premier, Mike Myers donne une suite à "Wayne's World", en confiant la réalisation à Stephen Surjik. Une suite qui se situe globalement dans l'esprit du premier. On retrouve donc Wayne et Garth qui n'ont pas changé ni bougé de leur chambre, continuant leurs émissions hebdomadaires. L'esprit est aussi incarné par les parodies de la culture pop, toujours aussi nombreuses. Mais on se situe clairement un cran en-dessous, avec une dynamique qui s'essouffle. Le synopsis alléchant du film devient très vite décevant avec des personnages souvent surfaits. On compte nettement moins de scènes cultes par rapport au premier volet qui en livrait une toutes les dix minutes. Myers a aussi cru bon d'ajouter deux guests star très mal utilisés que son Kim Basinger et Christopher Walken : l'une ne fait que jouer la femme fatale, l'autre reste statique et c'est à peine s'il esquisse quelques pas de danse. Sans plus.