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Artriste
130 abonnés
2 075 critiques
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2,5
Publiée le 19 septembre 2024
Suite parue seulement un an après le volet originel, cette fois-ci réalisé par Stephen Surjik, dont c'est le premier long-métrage, Wayne's World 2 est un film tout aussi moyen que son ainé. L'histoire nous fait suivre Wayne et Garth qui ont enfin quitté le domicile parental. Wayne file le parfait amour avec Cassandra, qui a engagé un nouvel agent, Bobby, dont le petit ami voit l'arrivée d'un mauvais œil. Une nuit, Jim Morrison et un indien un peu zarbi à moitié à poil dans le désert lui apparaissent en rêve et lui révèlent le véritable sens de sa vie. Il devra organiser, dans sa ville d'Aurora, le plus grand festival de rock de la décennie. Les deux amis préparent alors l'évènement non sans complications en se rendant en Angleterre. Ce scénario ne s'avère hélas pas très fameux à visionner pendant toute sa durée d'une heure et demie. On assiste pendant tout ce temps à une intrigue idiote n'ayant pas grand-chose à raconter. On retrouve le même état d'esprit déjanté et bas de plafond de son prédécesseur à travers des scènes peu créatives et molles répétant des gags déjà-vus. Les références à d'autres œuvres filmiques sont sympathiques tout comme celles à la musique rock. Mais cela n'est pas suffisant pour créer un semblant d'intérêt. Surtout que le ton stupide ne touche jamais sa cible à travers son humour débile porté sur le sexe. Résultat, on ne rigole pas et tout cela laisse à peine s'échapper quelques sourires de dépit. L'ensemble est porté par des personnages lourd et aucunement attachant, à commencer par les deux têtes d'affiches interprétés par Mike Myers et Dana Carvey. À leurs côtés, on retrouve la visage familier de Tia Carrere. Le reste de la distribution comprend Christopher Walken, Ralph Brown, Chris Farley ou encore James Hong, sans oublier les nombreux caméos appréciables de chanteurs, acteurs et autres personnalités publiques, même s'ils n'en font pas grand-chose. Tous ces individus entretiennent des rapports saugrenus ne procurant malheureusement aucun amusement. La faute en partie à des dialogues peu inspirés et très peu drôles. Sur la forme, la réalisation du cinéaste canadien se veut correcte. Sa mise en scène se contente du minimum et ne propose rien de transcendant. De plus, elle évolue dans des environnements sans plus-value. Ce visuel quelconque est accompagné par une b.o. énergique composée de nombreux titres de grands groupes de rock. Des morceaux plaisant à entendre forcément en adéquation avec le propos. Reste une fin sans idée à l'image du reste de cette intrigue venant mettre un terme à Wayne's World 2, qui, en conclusion, est une comédie peu divertissante largement dispensable.
Une suite directe au premier opus, un peu plus sympa mais toujours rempli de blagues lourdes et pas franchement drôles. A part les scènes dans le déserts, les multiples références à la musique (et une bo sympa), difficile de comprendre l’intérêt du film.
Nous retrouvons nos deux héros toujours aussi barrés, et cette fois décidés à mettre sur pied un festival de rock. Mais cette trame passe presque au second plan, devant un enchaînement de gags assez délirants. Certes, il y a quelques longueurs, mais entre des parodies amusantes, des guest stars étonnantes (Charlton Heston, Kim Bassinger, Drew Barrymore, etc.), et les deux personnages principaux toujours aussi sympathiques, le film se laisse agréablement regarder. En somme, une suite dans la lignée du premier volet.
Une suite bien feignante. Le film reprend laborieusement des vannes et des gags qui avaient fonctionnés dans le premier et peine à en lancer de nouvelles. On doit se contenter de quelques caméos (celui de Kim Basinger est plutôt sympa, ainsi que celui de Charlton Heston) et d un indien Zarbi à moitié à poil. Il y a moins de répliques complètement barrés comme dans le premier, il n'est pas Gigateuf comme annoncé sur l'affiche, reste de plaisir de retrouver Wayne et Garth deux personnages qui m'ont vraiment marqué à l adolescence une ambiance rock "cooool".
Après un premier épisode relativement correct, cette suite allait-elle suivre le même cheminement que la grande majorité des suites, à savoir rejoindre le placard des nombreuses suites sans saveur, qui ne sont qu'une pâle copie de la précédente ? Malheureusement, oui. Bien que l'humour soit toujours au rendez-vous, avec certains moments très drôles, allant jusqu'à s'inspirer des Hots Shots ! dans leurs gags, et à parodier Le Lauréat, cette suite a au moins le mérite de rassembler une véritable pléide de stars (Mike Myers, Christopher Walken, Kim Basinger, Aerosmith, Charlton Heston, Drew Barrymore, pour ne citer qu'eux), et de nous faire sourire par moment. C'est toujours aussi débile, à la Dumb et Dumber, très niais parfois, mais c'est tout ce qu'on leut demande.
Très déçu. Je l'avais vu ado et j'avais trouvé ce film branché et fandard. Hélas, les années passent et le film à terriblement souffert du temps qui révolu les modes et les styles cinématographiques. Du coup, les vannes tombent désormais à plat, les références et cameos sont désuets. J'aurai du garder cette comédie au tiroir des souvenirs adolescent...
Le soucis après un premier volet exceptionnel, c'est d'assurer la reléve. Les ingrédients du premier sont repris, mais parfois mal repris, certaines scènes qui auraient pu paraître délirantes par leurs taux d'humour deviennent des scènes lourdes et prévisibles. Le second volet démarrze pourtant très fort avec Aerosmith mais se noit trop vite dans les longueurs. Il reste néanmoins culte pour tous les accros au rock, au vrai rock.
Le premier était un classique de la comédie américaine, grâce au génial Mike Myers et à son alchimie parfaite avec Dana Carvey. La façon de filmer de Penelope Spheeris était parfaitement adaptée au film et les seconds rôles comme Lee Tergesen rendait le film plus drôle que prévu.
Cette suite faite un an après, est malheureusement très loin du niveau de l'original. En effet, cette suite, si elle garde les meilleurs personnages (Mike Myers, Dana Carvey bien sur, mais aussi Tia Carrere et Lee Tergesen), n'est malheureusement pas aussi drôle que son illustre prédécesseur. Ca en reste toujours très drôle, certaines scènes restent à pleurer de rire, comme celles avec l'impayable Kevin Pollak, Chris Walken est un super méchant et les scènes avec Aerosmith sont plutôt drôles. Mais Stephan Surjik est un très mauvais réalisateur et la folie a un peu quitté le navire, laissant place à un synopsis assez pourri, qui nous offre quand même une imitation de Jim Morrison à tomber de rire.
La bande-son est moins bien et les moments avec l'Extreme Close-Up ou la Bohemian Rhapsody de Queen manquent.
Une suite au scénario plus abouti que le premier. On perd malheureusement en spontanéité, et un peu en situations loufoques. Mais pour les fans du premier, celui là en fait un bon complément, car on prend toujours plaisir à suivre les péripéties de ce duo débile.
Suite logique d'un film dont j'ai pas vraiment l'envie de revoir , Wayne's World 2 s'en sort un poil mieux que le 1 . Plus d'éclats , mais toujours aussi lourd et débile , les 2 compères n'ont pas changés , et heureusement , parce que sans eux , le film n'existe pas . C'est ce genre de comédie que je n'aime pas , qui par moment peut me faire rire et puis tout d'un coup non . C'est un film assez connu , qui s'est fait un nom dans la comédie . Surtout pour Mike Myers qui voit sa carrière débutait à fond , puisque après il aura les rôles d'Austin Powers , qui là m'a grandement séduit .
Suite du film sorti en 1992, celui-ci suit Wayne et Garth dans l'organisation d'un festival à Aurora. Malheureusement moins bien que le premier, ce film reste un film rock culte avec des trucs débiles dans tout les coins. Le film multiplie les références au cinéma et au rock avec toujours autant de talent. Au final, bien qu’inférieur au premier, ce film reste une comédie culte et intemporel à se pisser dessus.
Absolument GÉNIAL!!! Tout autant que le premier, si ce n'est mieux!! Durant 1h30 on ne cesse de rire devant ces deux énergumènes que sont Wayne et Garth. Les moments où Wayne s'adresse à nous pauvres spectateurs et toujours cette histoire de "C'est notre film on fait ce qu'on veut " sont tout simplement grandiose! Du pur délire! N.B:Tia Carrere et Kim Basinger sont tout simplement SHWING! SHWING!
Oeuvrant habituellement pour le petit écran (il signe des épisodes pour de nombreuses séries), Stephen Surjik succède à Penelope Spheeris. Lors de l'intro, Wayne nous souhaite la bienvenue dans "Wayne's World 2". Changement de réalisateur mais pas d'état d'esprit donc, bonne nouvelle. Un an a passé, ils ne vivent plus chez leurs parents et Garth a désormais des poils pubiens, voilà pour les évolutions majeures dans l'univers de nos deux loustics au démarrage de ce deuxième opus. A partir de maintenant, c'est le producteur de Cassandra, Bobby Cahn (Christopher Walken), qui cherchera à l'éloigner de Wayne (jusqu'à le poursuivre dans une boîte gay pour l'un des passages les plus drôles du film). "Wayne's World 2" marque le questionnement existentiel de Wayne Campbell et trace le chemin vers ses réponses. Et c'est un Jim Morrison plausible jusque dans la dégaine qui le lui révèle. Cet objectif portera un nom : Waynestock ! Après un voyage à Londres (occasion d'un excellent gag visuel) commence donc l'organisation d'un gigantesque concert de rock en plein air, à Aurora, Illinois. Des paperasses administratives aux collectes de fonds (j'adore le concept de la fête communiste !), le défi est de taille. Ce second volet très plaisant fait fréquemment dans la parodie cinématographique. Que ça apporte un petit quelque chose à l'histoire ou non, c'est globalement réussi. Le long détournement de "The Graduate" ("Le lauréat") est d'ailleurs parfaitement intégré au récit. Preuve qu'il s'agit d'une suite d'un film à succès, les stars qui se prêtent au jeu ne sont pas insignifiantes : Kim Basinger (qui a de super scènes avec Garth dans une intrigue parallèle), Drew Barrymore (dont je ne dirai jamais assez de bien), Charlton Heston (sans fusil, ça fait plaisir) et bien entendu Steve Tyler ! A ce propos, la bande-son rock est légèrement moins intéressante que celle du premier, Aerosmith éclipse aisément le reste. Attention, ce film comporte un indien zarbi à moitié à poil.