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    Géronimo
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    DX333
    DX333

    11 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 août 2024
    Film ambitieux avec une belle production, des costumes, des décors, une photographie de qualité. Mais un scénario assez vide et une réalisation très molle et sirupeuse. Aucun personnage ne tient le récit. Et l'acteur qui joue le rôle titre, littéralement, et qui a le plus de temps à l'écran, n'est crédité qu'en 4eme position...
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2023
    « Geronimo : an American Legend » est western sous la forme d’une évocation historique, proposé par Walter Hill, un honnête réalisateur qui sait parfois être efficace et spectaculaire. Son incursion dans le domaine du western est plutôt intéressante même si je ne l’ai pas trouvée passionnante. Je n’ai rien contre la lenteur dans un film, mais elle doit vous tenir en haleine entre deux scènes de « fight ». Le sort du peuple amérindien n’a pas réussi à m’émouvoir. La charge contre la pouvoir d’en-haut et contre l’armée, complice des promesses non tenues, est vraiment molle. L’injustice vécue contre les éclaireurs Chiricahuas en fin de film méritait un meilleur traitement. Le casting est impeccable, mais la réalisation manque d’ambition. N’est pas John Ford qui veut.

    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    Maximus56 *v*
    Maximus56 *v*

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2023
    c'est l'un de mes films préférés et qui m'as fais vraiment aimé les westerns je vois beaucoup de critique sur sa lenteur mais moi elle m'apaise j'aime a chaque fois connaître de nouveau cette histoire et revoir ce guerrier apashe si charismatique souvent j'essaie de voir si ça concorde avec le roman de sauerwein et c'est le cas bref j'aime inconditionnellement ce film
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2022
    Walter Hill nous narre les derniers moments de l'apache Géronimo et de son peuple. Une belle leçon d'histoire montrant la violence des blancs dont le seul but était d'exterminer les amérindiens. Une honte pour le peuple américain que Walter Hill étale sans vergogne dans son long métrage. Le réalisateur met en images la monstruosité de leurs actes mais aussi de leur lâcheté en raison de promesses de liberté après la paix qui n'ont pas été tenues . Beaucoup de mensonges ont été proféré pour que les apaches se rendent et cessent tout combat. Pas de quoi pavoiser....Wes Studi dans la peau de Géronimo est très bon acteur dans le rôle principal mais les seconds rôles ne déméritent pas rien que Gene Hackman, Matt Damon (tout jeune) et Robert Duvall. Un moment de cinéma agréable et de beaux paysages de l'Arizona. Malgré tout, pas beaucoup de fun dans "Géronimo", le film est uniquement une retranscription historique.
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2021
    Attention, “Geronimo” n’est pas un biopic sur le célèbre chef Apache. Le film s’intéresse plutôt à sa traque dans les années 1880, les protagonistes étant des militaires chargés de le capturer. Walter Hill lorgne ici clairement du côté des classiques du western et de l’aventure, avec une certaine ambition. Notamment, le tournage a été effectué dans des paysages naturels somptueux, largement mis en avant par les plans panoramiques. Le film s’appuie aussi sur plusieurs têtes bien connues. Gene Hackman et Robert Duvall (rien que ça !) apportent de la prestance à leurs personnages, ou Wes Studi qui s’avère impérial en Geronimo. On sera en revanche plus mesuré devant Matt Damon (alors dans l’un de ses premiers rôles), car si l’acteur livre une prestation convenable, son personnage ne sert pas à grand-chose à part faire de la narration ! Par ailleurs, s’il a clairement de l’allure, Jason Patrick en fait un peu trop en officier au grand cœur, stoïque au regard d’acier. Ce sont d’ailleurs quelques symptômes des maladresses du film, qui propose un rythme et une narration étrange (Geronimo se rend et se rebelle à plusieurs reprises, les transitions entre scènes sont parfois décousues). Néanmoins, son portrait nuancé des Amérindiens est intéressant. Geronimo est à mi-chemin entre un rebelle légitimement écœuré du traitement des Apaches par les Blancs, et un bandit violent qui aime trop se battre. L’armée est présentée comme contenant plusieurs officiers qui respectent les talents des Apaches, et goûtent peu à l’hypocrisie du gouvernement. De bonnes intentions donc, pour un résultat plaisant mais qui manque du souffle qu’il recherchait.
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 545 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Western très atypique, "Geronimo" porte assez mal son nom puisqu'il centre l'histoire sur les militaires qui l'ont poursuivi et non pas sur le célèbre indien. C'est un film qui contrairement à "Danse avec les loups" n'essaye pas de valoriser la culture indienne à travers une démarche immersive, mais qui parle de la fin d'un temps, d'une culture, d'un peuple, et c'est d'ailleurs une thématique qui revient souvent dans les dialogues. Il est aussi dans la nuance, car il va montrer la réalité d'une guerre sale avec son lot d'exactions commises par un camp comme par l'autre : les chasseurs d'indiens qui massacrent femmes et enfants pour de l'argent, les indiens qui tuent les passagers d'une calèche juste pour voler les chevaux. Et au milieu de tout ça il y a des hommes d'honneur et de conviction (Geronimo, un général, les deux lieutenants) qui seront vaincus par la politique de dirigeants prêts à renier leurs propres promesses et traités. C'est donc un film désabusé qui se focalise sur les hommes plutôt que sur l'action. On va les suivre dans des paysages magnifiques qui en deviennent parfois irréels par l'usage de filtres de couleur, et cette lente course poursuite sera ponctuée de brefs moments de violence très graphique qui feront comprendre toute la sauvagerie des belligérants. "Geronimo" n'est donc pas un western très accessible, son rythme globalement lent pourra en rebuter certains, mais moi je me suis laissé emporter et l'ai trouvé passionnant.
    Agnes L.
    Agnes L.

    165 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    C'est un grand film par de nombreux aspects et pourtant, je ne peux le qualifier de chef d'oeuvre car la centration n'est pas assez sur Geronimo comme le titre le laisse supposer. En fait, la voix off est celle du second lieutenant Davis joué par Matt Damon. C'est donc lui ou le lieutenant Gatewood qui sont au centre de l'histoire. On ne connait presque rien de la culture apache après avoir visionné ce film et c'est quand même dommage. Il reste que le réalisateur Hill et les scénaristes Milius et Gross ont fait un travail de qualité pour faire comprendre les enjeux des deux camps.
    Mathieu O
    Mathieu O

    20 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2021
    western sympathique. on suit un jeune officier de l'armée américaine après la guerre contre les apaches. les acteurs sont bons et c'est un plaisir de voir Matt Damon si jeune. un bon film.
    Jeremyromain81
    Jeremyromain81

    4 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 août 2021
    Un terrible ennui... Un scénario nullissime et complètement inventé. Ceci n'est pas un film historique, juste une fiction minable qui présente les américains comme des gentils sauveurs façon hollywoodienne et patriotique. Tout est faux dans ce navet. Trop long, le genre de film soit-disant à grand spectacle mais d'un misérabilisme total, autant par ses anachronismes que par ses longueurs et ses clichés. Mauvais, très mauvais comme les différentes critiques de l'époque l'avaient souligné. Pas étonnant qu'il soit tombé dans l'oubli....
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    686 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2021
    Le temps fait parfois bien les choses. Découvrir le Geronimo de Walter Hill après Hostiles de Scott Cooper révèle à la fois la paternité revendiquée par ce dernier, prolongeant la reddition de l’Indien ennemi sous la forme d’un retour à la terre natale de laquelle il fut chassé – et cette chasse n’est autre que celle orchestrée par le long métrage de 1993 –, ainsi que l’humanisme d’un récit mettant en scène les exactions des deux camps en présence pour mieux chanter une paix qui n’est possible que dans l’au-delà. Geronimo pose les bases esthétiques d’Hostiles : une mélancolie générale qui se heurte à des scènes de sauvagerie, un lent crépuscule teinté de déceptions, la peinture d’une humanité fantomatique dont la soif de vengeance s’avère insatiable et stérile, comme en témoigne le guerrier apache en clausule, dans une séquence de dialogue que reprendra, presque à l’identique, Scott Cooper. Notons que Wes Studi assure la transition entre les deux. Ce qui frappe dans le western de Walter Hill, c’est que les combats ne constituent pas le cœur des préoccupations ; ils sont d’ailleurs filmés de façon interne, les plans donnant l’impression d’avoir été captés au milieu de la mêlée dans laquelle s’affrontent pêle-mêle amis et ennemis. L’essentiel se joue ailleurs, dans les discussions entre les peuples et en leur sein qui doivent organiser la paix entre eux, mais dont chaque proposition se voit aussitôt soldée par un échec sanglant. Le cinéaste recourt à de nombreux gros plans sur les visages de ses acteurs : il scrute leur regard, fait parler pupille et iris, invente une communication non-verbale qui dit tout, soit la position de spectateur de personnages n’ayant aucune prise sur un affrontement racial de nature politique et bureaucratique – les ordres viennent d’en haut, les gradés se suivent et se ressemblent, unis par le service rendu à la nation et l’uniforme. La terre indienne devient un lieu de passage : on y stocke des garnisons, on y tue, on y traque celles et ceux qui refusent de se plier aux lois imposées par le gouvernement américain. Aussi les protagonistes principaux apparaissent-ils tels des gardiens d’une mémoire territoriale, ils sont ceux qui connaissent la terre et son histoire, qui s’entretiennent avec les autres peuples de manière ou compatissante ou autoritaire. Ils sont autant d’avatars de ce « rêveur », chamane fusillé pour avoir prédit la trahison de l’homme blanc. Même Al Sieber, dont l’hostilité à l’égard des Apaches est explicite, éprouve du respect pour des ennemis qui, en d’autres circonstances, auraient pu lui être chers. En d’autres termes, Geronimo pense ses personnages comme des pions animés par des forces supérieures, une force politique, vindicative, religieuse ; il peint la disparition d’un mode de vie vieux de plus d’un millénaire comme une trahison étendue à tous ses acteurs, peu importe le camp qu’ils défendent ; il atteste la fin d’un genre, le western, qui semble s’éteindre avec les derniers mots du chef rebelle, « mon temps est terminé ». Un immense film, à réévaluer d’urgence.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2020
    Artistiquement parlant ce n’est pas un mauvais film. Ce Geronimo profite d’une belle photo, d’un bon découpage et d’une troupe d’acteur concernée. Il est en revanche beaucoup plus discutable sur ce qu’il nous raconte. Car non content d’évoquer l’anéantissement des des indiens d’Amérique de manière très édulcorée, il montre le personnage de Geronimo du point de vu des hommes blancs. Du coup on a pas une meilleure compréhension de ce personnage mais juste une sorte d’image d’Epinal fausse et inintéressante. C’est vraiment une impression de gâchis de la part de Walter Hill qui se fait prendre au piège du Western à l’ancienne alors que c’était la l’occasion d’offrir une vision plus moderne et novatrice; dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Une page de l'histoire américaine mise en avant avec une belle distribution et une belle interprétation. Des paysages magnifiques.
    J'aime ce film qui aborde un sujet important.
    orlandolove
    orlandolove

    134 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2019
    "Geronimo" est un western de 1993, un peu tombé dans les oubliettes et mal-aimé, qu'il convient pourtant de réhabiliter. On suit le destin du chef Apache entre ses deux redditions (1984 et 1986). La narration est fluide, pédagogique et plaisante. Le point de vue se place le plus souvent du côté des blancs, un défaut dans le sens où la personnalité profonde de Geronimo nous échappe. D'une tonalité généralement très classique, certaines séquences apportent également une mélancolie touchante (c'est la fin d'un monde et une page de l'histoire qui se tourne). Côté casting, Matt Damon semble un peu tendre. Wes Studi est convaincant bien que sous-employé. Mais ce sont bien les vétérans qui emportent le morceau : Gene Hackman et Robert Duvall, ce dernier interprétant à la perfection le mercenaire Al Sieber, le personnage le plus ambigu du film, et donc le plus passionnant.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    589 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2016
    Il ne faut pas comparer ce film à des westerns plus anciens, plus proches de l’art cinématographique que de la vérité historique. Walter Hill n’est pas Ford et il est le premier à le savoir ; aussi traite t-il son sujet autrement. Il en fait un documentaire et utilise raisonnablement les procédés à la mode dans les années 90. Comme le thème est sans doute le plus important qui soit, il prend son temps pour bien nous faire comprendre les raisons différentes qui poussent chaque personnage à agir. Le résultat est magnifique, on en sort édifié particulièrement les spectatrices qui y découvrent la nature des hommes. Certes, Géronimo est un sauvage mais comment faut-il qualifier ses ennemis ? C’est à chacun de nous d’y répondre. Quelques scènes d’actions imaginaires classiques parsèment le film, afin de nous permettre nous détendre. Je retiendrai le superbe combat entre un chiricahua illuminé et Gatewood. Les chevaux y jouent un rôle comparable à ceux des tournois du moyen âge. Tous les acteurs sont excellents en particulier Duval et Patric et c’est un plaisir que de découvrir comme narrateur Marc Damon à ses débuts. La lenteur du film est une nécessité qui permet à chacun de nous de réfléchir profondément aux évènements passés et à ceux d’aujourd’hui dans d’autres pays que la France. Ce film se regarde comme un témoignage, ce n’est en aucun cas un film d’aventures conçu pour nous distraire. Il est indispensable de le savoir pour l’apprécier.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2015
    Un western magnifique qui traite des faits dramatiques et réels de l'histoire de l'Ouest. Geronimo était vraiment un personnage fascinant, il est très bien interprété par Wes Studi, les autres acteurs sont parfaits même les apaches. Les paysages très bien filmés sont magnifiques. La musique de Ry Cooder est sublime. Ce film m'a marqué.
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