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Votre avis sur eXistenZ ?
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c'est un peu comme une catastrophe naturelle devant laquelle je suis resté impuissant. Un film d 1h30 qui ont Parait 4, un jeu d'acteur stupéfiant dans la médiocrité et le manque d'émotions, un film que j'ai payé d'occasion un euro, c'est-à-dire 50 centimes trop cher par rapport à son prix ... bref une grosse déception!! la jaquette est la meilleure partie du film. le scénario et le casting etait pourtant intéressant!! je m'en sors avec un goût amer au fond de la gorge et une tumeur aux yeux. Je vous souhaite une bonne expérienzzz!!!!!!
Encore un superbe film de Cronenberg, où réalité et monde virtuel se mêle. On s'interroge vraiment sur le monde dans lequel on vit . Un vrau régal.
Jamais un film n'abordant le thème des jeux vidéo n'a fais aussi bien qu'eXistenZ. Réalisation et scénario au top, acteurs convaincant (heureusement tellement l'intrigue est alambiqué). On en redemande à la fin.
eXistenZ est sans doute le film le plus marquant qu'il m'ait été donné de voir sur le jeu vidéo. L'univers d'abord est totalement singulier, un genre de "Dark City" version organique cyberpunk. Le jeu vidéo est ici un véritable fétiche, que l'on s'insère de manière tout à fait dérangeante et qui a pris une place considérable dans la société. Il change la vie des joueurs et devient pour eux une véritable obsession.
Les scènes "à l'intérieur du jeu vidéo" sont remarquables. Le "game design" est si prenant qu'on en vient à lui pardonner tous ses défauts, juste pour jouer un peu plus.
Les acteurs quant à eux sont remarquables. Jude Law "le Noob" et Jennifer Jason Leigh "la Game Master" dominent le jeu, bien entourés. Les rôles secondaires sont exploités à des fins bien précises, façon film noir.
On reprochera à eXistenZ un scénario parfois simpliste, mais il n'empêche que c'est pour le moment le film qui est le mieux parvenu à capturer mes sensations de "gamer", à donner une image du jeu vidéo à la fois désirable et profondémment repoussante. A revoir peut-être dans une dizaine d'années !
Les scènes "à l'intérieur du jeu vidéo" sont remarquables. Le "game design" est si prenant qu'on en vient à lui pardonner tous ses défauts, juste pour jouer un peu plus.
Les acteurs quant à eux sont remarquables. Jude Law "le Noob" et Jennifer Jason Leigh "la Game Master" dominent le jeu, bien entourés. Les rôles secondaires sont exploités à des fins bien précises, façon film noir.
On reprochera à eXistenZ un scénario parfois simpliste, mais il n'empêche que c'est pour le moment le film qui est le mieux parvenu à capturer mes sensations de "gamer", à donner une image du jeu vidéo à la fois désirable et profondémment repoussante. A revoir peut-être dans une dizaine d'années !
Voilà un film pour lequel j'aurai mieux fait d'aller me coucher.
Un film de science-fiction où l'on vit dans un jeu vidéo ou plutôt le jeu vidéo entre dans notre vie...
Bref, le scénario avait l'air plutôt bien!
Ce que j'ai vu personnellement, c'est une succession de scènes glauques, illogiques, bizarres, me donnant un mélange de vertiges et de nausées qui m'ont donné envie d'éteindre la télé. Et d'un ennui mortel! Le film passe et il ne se passe rien...
Mais, étant cinéphile jusqu'au bout des ongles, j'ai voulu voir la fin, me répétant qu'il devait y avoir un sacré rebondissement à la fin, une chute mémorable qui valait le coup...
J'ai récolté un navet, sans queue ni tête avec une fin si stupide que je ne savais pas si je devais rire ou pleurer d'avoir perdu 97 minutes devant cette daube indigeste.
Vous l'aurez compris, je le déconseille vivement!
Un film de science-fiction où l'on vit dans un jeu vidéo ou plutôt le jeu vidéo entre dans notre vie...
Bref, le scénario avait l'air plutôt bien!
Ce que j'ai vu personnellement, c'est une succession de scènes glauques, illogiques, bizarres, me donnant un mélange de vertiges et de nausées qui m'ont donné envie d'éteindre la télé. Et d'un ennui mortel! Le film passe et il ne se passe rien...
Mais, étant cinéphile jusqu'au bout des ongles, j'ai voulu voir la fin, me répétant qu'il devait y avoir un sacré rebondissement à la fin, une chute mémorable qui valait le coup...
J'ai récolté un navet, sans queue ni tête avec une fin si stupide que je ne savais pas si je devais rire ou pleurer d'avoir perdu 97 minutes devant cette daube indigeste.
Vous l'aurez compris, je le déconseille vivement!
eXistenZ : Un film a l’univers et au scénario pour le moins original mais bizarre. De part une ambiance assez glauque et dérangeante. Avec cette histoire de jeu vidéo qui est relié à la moelle épinière et cette espèce de manette vivante… Enfin, David Cronenberg nous plonge dans un labyrinthe entre la réalité et le jeu vidéo. Car, c’est lors de la présentation d’un jeu révolutionnaire, sa créatrice se fait attaquer et poursuivre par des tueurs… Et donc, en compagnie de son « garde du corps » (directeur du marketing), elle doit échapper à tous ça en voyageant dans son nouveau jeu. Quel est la réalité et le virtuel ?... Donc, le film est assez précurseur de ce qui pourrait arriver dans un avenir proche : on l’espère pas ^^. Bon ensuite, malgré que le scénario soit captivant et orignal. Il en reste pas moins assez prévisible, surtout vers la fin. Et, c’est une histoire et un univers qui ne plaira pas a tous le monde car c’est assez spécial. Mais, l’univers est maitrisé tout comme son scénario (qui est pas s’en rappelle « Inception » pour ces différents embranchements… mais ça s’arrête la). Sinon, la réalisation signé David Cronenberg est correcte et efficace même si il a fait beaucoup mieux. Tout comme les acteurs, le casting est solide : Jude Law, Jennifer Jason Leigh, Willem Dafoe, Ian Holm… : mais ils ont eu de meilleurs rôles. Donc voila, pas le meilleur de Cronenberg mais c’est toujours aussi original et quand et si on accroche au scénario et a l’ambiance : ce film se voue être réussit.
Roub E.
Dans EXistenZ Cronenberg continue son exploration de la chair et de l esprit. Ici on navigue dans un labyrinthe qui nous interroge sur les jeux vidéo leur rapport à la réalité, voir même plusieurs couches de réalité et sur les évolutions de l esprit que cela entraîne : baisse de la rationalité face à un développement de la réfection et de la créativité. Si le film aurait gagné selon moi à être un peu plus poussé dans sa réflexion eXistenZ est un film qui donne a réfléchir et c est plutôt plaisant.
bsalvert
Enfin un vrai film qui vous transporte, vous génère des émotions (qui aurait envie de se brancher?).
PLV : déconnectez-vous de la réalité et laissez-vous aller.
PLV : déconnectez-vous de la réalité et laissez-vous aller.
7eme critique
David Cronenberg nous propose l'évolution du jeu vidéo, et nous la partage sous forme de thriller haletant ! Entre monde réel et fictionnel, le film tentera lui aussi, de jouer avec le spectateur. Ce concept agréable laissera planer une curiosité permanente, semant le doute dans notre tête à certains passages, tout en nous laissant savourer cet ambiance dans laquelle on prend plaisir à évoluer.
ExistenZ est très certainement le film le plus compliquer qui m'ait été donner de voir, si vous pensez que Inception est une torture pour le cerveau, regardez ce film et la je pense que vous ferez une rupture d'anevrisme. Histoire pourtant simple au début sur une femme qui présente son nouveau jeu, ExistenZ, qui se joue avec ce que l'on appel des Game Pod ou les joeurs entrent dans un monde virtuelle hyper étrange ou la réaliter se confond avec le monde virtuelle à telle point que nous spectateur on en vient à se perdre et à se demander si ils sont encore dans le jeu. La fin est encore plus troublante avec l'un des plus surprenant Twist qu'il m'ait été donner de voir. Le film nous pousse à réfléchir sur les jeux virtuelle, c'est une version Cronenberg sur, Est-ce que les jeux vidéos sont vraiment bons pour nous ou pas ? surtout que le film est sortie en 1999 alors que les jeux vidéos étaient de plus en plus présent dans la vie des jeunes.
Encore une fois un coup de génie de la part du grand David Cronenberg dont décidemment je ne me lasserait jamais.
Encore une fois un coup de génie de la part du grand David Cronenberg dont décidemment je ne me lasserait jamais.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
L’atmosphère de ce film est absolument déroutante. Le secret d'eXistenZ découle d'une version métaphorique de l'existence humaine: un monde parallèle pourtant pas si différent du monde réel avec ses apparats et sa monotonie. Un espèce de pod cyborganique relié directement à la moelle épinière permet la transition. Le concept ici mis en avant par David Cronenberg est extrêmement intelligent, on pourrait éventuellement faire allusion à Inception de Christopher Nolan, sauf qu'ici les neurones surchauffent par manque d’objectivité et on a tendance à pédaler dans la semoule. En gros on voit où il veut en venir mais cela reste assez brouillon et peu explicite et c'est très dommage car un scénario de ce genre mérite bien plus. 3/5
"eXistenZ" film réalisé par David Cronenberg et sorti en 1999, comporte une idée de base plutôt attrayante et bien penser : Dans un futur proche, les joueurs de jeux vidéo sont reliés à un monde virtuel grâce à une console appelée pod, amphibien génétiquement modifié qui se connecte au système nerveux du joueur au travers d'un bio-port, un trou percé à la base du dos du joueur. La démonstration du tout dernier jeu d'Allegra Geller tourne au cauchemar par l'intervention d'un groupe de Réalistes, fanatiques opposés à la « technologisation » de l'homme. Malheureusement ce film est loin de tenir ses promesses et malgré des acteurs tels que Jude Law ou Jennifer Jason Leigh qui sauve se film de la noyade, les décors sont bâclés le jeux des acteurs secondaires pathétiques et une logique dans le déroulement de l'histoire quasi inexistante. "eXistenZ" est tellement mauvais qu'il ferait presque passer "Batman et Robin" pour une perle du septième art.
Film bizarrement assez apprécié alors qu'il peut presque se résumer à un gros ramassis de n'importe quoi tellement y'a presque jamais de logique dans l'enchaînement des scènes, mais qui soulève quand même quelques problématiques intéressantes comme le rapport à notre corps et au virtuel, voire la logique et le raisonné dans ce dernier. Le twist final rattrape pas mal le tout et le film s'achève sur une question intéressante après toutes ces mises en abyme du jeu, on dirait qu'ils y sont coincés éternellement. Mais bon, ça n'empêche que toute ces questions sont vraiment très bizarrement présentées, avec un jeu d'acteur tournant parfois au nanar.
Un très bon thriller signé Cronenberg. Il nous offre là un monde futuriste mais sans les voitures volantes ou les cyborg qui marchent dans la rue. Ce monde ne semble en réalité pas si lointain du nôtre. Je pense que c'est l'un des films qui a inspiré Nolan pour Inception. Les personnages sont plongés dans un jeu qu'ils ne maîtrisent pas. Ils ne voient plus la différence entre la réalité et la fiction tant le jeu est réaliste. Les jeux sont reliés aux Hommes par l'esprit. Ce ne sont pas les Hommes qui plongent dans un jeu mais un jeu qui pénètre l'esprit des Hommes. C'est pourquoi ces derniers ne font plus la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Les créateurs de jeux se prennent pour Dieu en créant un monde et les personnages associés. La première et la dernière scènes se déroulent dans une église : ce n'est pas hasardeux. De plus, il y a cette idée de créer la vie. D'un point de vue religieux, c'est Dieu qui crée la vie. Ici, les jeux ont l'apparence de foetus et sont reliés aux Hommes par un cordon qui fait penser au cordon ombilical. Allegra protège son jeu comme s'il s'agissait de son enfant. Même si la fin est attendue, elle est excellente et on l'accueille à bras ouverts. Un excellent thriller que je conseille vivement !
eXistenZ, un film de science-fiction sorti en 1999 et réalisé par David Cronenberg. Film étrange et surprenant de la part du réalisateur qui donne un voir un univers difficile à prendre au sérieux. L'intrigue est très longue à venir. Le doublage français est pitoyable - à voir inévitablement dans sa version originale. Le twist final relève le niveau du film, sans pour autant faire la lumière sur le sens réel à lui donner. On ne joue pas avec le réel ? mouais...
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