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Un visiteur
4,0
Publiée le 30 avril 2007
Même si ça reste une série B, ce petit film est une très bonne critique du jeux vidéo. Le scénario donne à réfléchir contrairement à la plupart des grosses productions américaines de ces dernières années. On regrette cependant les dialogues un peu bâclés du début et les 20 premières minutes peu accrocheuses où on s'ennuie un peu. Malgré cela la suite du film est passionnante.
Il faut retourner 10 fois l'histoire dans sa tête pour comprendre ce qui vient réellement de se passer : le scénario multiplie les fausses piste et les changements de direction. Un film qui fait réfléchir et très bien visuellement, mais qui risque de donner mal à la tête...
Vraiment bluffant. L'histoire semblait un peu trop extraordinaire, à la fois dans la réalité que dans le jeu. Mais la chute est grandiose, on en oublie le "trop fantastique" pour laisser planer le doute sur la réalité...
Un scénario remarquablement intelligent sur le thème des jeux vidéos et de la frontière entre le réel et la fiction. Un peu dérangeant au final, mais c'est fait pour !
De l'intéressant débat sur la réalité et la virtualité, Cronenberg ne souligne rien, et montre seulement des personnages incompréhensibles dans un univers glauque et laid. Pas l'ombre d'un parti pris, qu'il soit politique, philosophique, ou même viscéralement humain. Plat et ridicule.
Ce film repose sur une idée, l'un de ces fais de société problématisés dans les films de science-fiction. Un jeu? Oui, pourquoi pas. Faire comprendre dans le jeu lui même la dangerosité du jeu? Ca roule. Jouer dans le surréalisme en proposant des plans d'existence différents et absurdes? Ca passe. Mais avant-tout, Existenz est un film bâclé. Si l'idée est proche de celle de Matrix, là où le parcours de Néo rend pleinement compte de la terrifiante machination qu'est celle de la Matrice, David Cronenberg nous propose un film barbouillé, obscur. Peut-être était-ce le but artistique de Cronenberg ? Il n'empêche que c'est du plus mauvais effet. La lenteur de l'intrigue, conjuguée au mauvais jeu (intentionnel?) des acteurs et l'incompréhensibilité du scénario, juste entrevue par le spectateur, est marqué par un profond dégoût tout au long du film, un peu comme dans les bandes dessinées d'Enki Bilal. Ce film plaira probablement à certains, mais dans l'ensemble, Existenz est un échec.
eXistenZ n'arrive jamais à trouver son rythme et donc une certaine stabilité, pour un scénario au combien brouillon centré sur un duo Jude Law / Jennifer Jason Leigh qui ne fonctionne absolument pas pendant toute la durée du film. Les acteurs semblent montrer un véritable désintérêt pour ce film et semblent ne pas s'engager pleinement ; sauf peut-être pour Willem -Bouffon Vert- Dafoe qui est bien le seul à éviter à ce film un naufrage magistral et collectif de grande ampleur, mais qui n'est malheureusement présent dans le film que 20 petites minutes, ce qui est bien insuffisant et forcément une déception pour un acteur de cette renommée et de ce talent. Un film raté pour un Cronenberg peu inspiré qui nous avait habitués à beaucoup mieux avec Vidéodrome. Cronenberg avait pourtant entre ses mains la possibilité de nous offrir un bon spectacle avec un choix d'acteurs plutôt prometteur et un scénario original (Virtuel-Réel) et d'actualité (les jeux vidéos). Les quelques effets gores pourtant intéressants, n'apportent rien au film et ne sont même pas éblouissants, ce qui est quand même surprenant de la part d'un réalisateur comme Cronenberg qui, dans les années 80, était le roi des films d'horreurs. Un film qui passe donc inaperçu pour un Cronenberg extrêmement décevant.
Je n'ai pas terminé de regarder ce film, je n'ai pas du tout accrocher, pourtant depuis le temps que je voulais le voir, j'ai été très déçu. Je n'ai pas compris grand chose à l'histoire. Je n'ai vu seulement une petite demi heure de ce film alors je ne le juge pas, mais je n'ai pas eu le courage de le terminer, je m'ennuyais devant. Tant pis!
Ne pouvant détacher le réel et le virtuel, ce film laisse une étrange sensation difficile à décrire mais pas désagréable. En fait, je crois qu'il m'a laissé sur ma faim. Cependant malgré le scénar assez evident j'ai réellement apprécié, en tout cas, il ne laisse pas indifferent.
Un film injustement boudé à sa sortie, on lui prêtait des ambitions quil navait pas ! Au final, avec le recul, « eXistenZ » reste un petit film de SF sympathique, ludique et bien construit qui ne se prend pas au sérieux. Bien avant les jeux du type « SIMS » le film traitait également dune certaine réalité virtuelle. Le portrait quil fait des « gamers » et de leur tics est aussi assez bien vu.
Ce film mérite le prix du nanard pseudo intellectuel de ces 10 dernières années. On m'avait dit des échos positives à propos de ce film à la fois mélange de science fiction, d'action, voir d'humour. Or pour moi ce film n'est qu'un nanard pour ado avec une histoire totalement idiote et mal ficelée, des effets spéciaux dignes d'un film de série Z (c'est fou toute la sauce tomate qu'ils ont gaché. Tout ça ne serait pas grave si on ne faisait pas passer ce film pour un chef d'oeuvre.
Un film plutot intéressant qui sort du lot de nos film d'aujourd'hui. Dans la lignée de Matrix (en moins bien, je dois le dire) le sujet du film est pertinant. Une bonne réalisation, quoi qu'un peu trop sanglant a mon goût, et des acteurs plutot convaincants. On ne sait jamais si on se trouve dans la réalité ou dans le jeu, et c'est justement cela qui est intéressant dans ce film, malgré le dénoument qui laisse quelque peu sur la faim. Un bon film malgré tout!