La 1ère chose qui vient à l'esprit à la fin de ce film c'est WTF!!!! Les films d'Adam Sandler ne brillent pas pour leur finesse et celui n'échappe pas à la règle. Néanmoins on se surprend à rire face à ce gentil benêt porteur d'H2O ^^ qui plaque tout ce qui bouge, de ces adversaires à son prof de sciences. Le plaquage final est vachement jubilatoire ^^
une comédie sans prétention qui se laisse regarder. adam sandler est une sorte de forrest gump qui déchire tout sur un terrain de football. l'histoire est tient sur un ticket de métro. kathhy bates est excellente en mère possessive avec son fils. a voir une fois.
Water dirty... Adam Sandler imbuvable en waterboy pour des joueurs de football américain et également joueur malgré lui, au main du coach Henry Winkler (Happy Days), et la mère du personnage d'Adam jouer par Kathy Bates perdu dans un trou au milieu d'une forêt avec des poules, des crocodiles et des grenouilles, elle en fait même des plats à cuisiner et voit les femmes comme des démons pour son fils. J'ai pas accroché du tout, c'est du navet qui s'exprime en beauté.
C’est tout de même consternant à quel point ce film peut être débile et crétin ! Affligeant à tel point que l’on en rit rarement, Adam Sandler coltiné aux rôles d’attardé mental après son impensable Billy Madison (1995), récidive une fois de plus avec Waterboy (1999), l’histoire d’un simplet (pour ne pas dire débile mental) qui passe du jour au lendemain de Waterboy (celui qui sert à boire aux joueurs) à joueur le plus réputé, voire même le meilleur de l’équipe. Scénario tristement plat et risible, répliques toutes plus insensés les unes que les autres, quant au jeu des acteurs, là ça frise l’arrêt cardiaque tant ils craignent !
Ce film se veut idiot à souhait, et moi j'adore cela ! Franchement, on rit bien devant la niaiserie de Waterboy et de sa si précieuse eau (ou de son H2O devrais-je dire). Adam Sandler est juste génial dans le rôle de Bobby Boucher, avec cette grimace hilarante qu'il conserve tout au long du film sur son visage. Tous les autres acteurs sont aussi bien drôles. Tantôt un peu lourd, tantôt touchant, ce film, qui ressemble tout de même fortement à une parodie de Forrest Gump, est bourré de très bonnes répliques et de situations absurdes. On ne s'ennuie, on passe un bon moment. Adeptes de comédies débiles, foncez !
La comédie américaine crétine par excellence, les personnages sont tous plus débiles les uns que les autres.C'est extrêmement faible dans l'ensemble et peu drôle.
Ah non non non, ceci n'est pas un chef-d’œuvre, loin de là, mais "Le garçon d'eau" est un film amusant dans son ensemble, dépassant les préjugés, bon esprit, et distrayant pour nous, européens, peu au fait du football américain. Si l'on ne rentre pas vraiment dans l'aspect technique de ce sport (combinaison de football avec du rugby, avec quand même une dominante rugby), on peut se réjouir ici de l'exotisme qu'il nous apporte, puisque c'est quand même l'environnement de cette histoire, tout en sachant qu'il est abordé d'une façon "survolée". Adam Sandler nous montre ici qu'il est tout à fait capable de jouer le rôle d'un type simple (c'est une boutade concernant cet acteur...). Ne vous emballez pas (ou ne fuyez pas) en lisant sur le casting d'Allociné que Rob Schneider est présent (en 3e position), c'est pour rire : son rôle est encore moins important que celui du personnage (pourtant comique) de l'entraineur adjoint - paysan profond, mais alors très profond - d'Adam Sandler.
Franck Coraci pour son premier long métrage offre un rôle sur mesure à Adam Sandler de qui il tombera à priori amoureux par la suite vu la quantité de film qu'il réalisera avec. Un rôle sur mesure certes mais pas franchement fin, Sandler se démène comme toujours mais la mayonnaise ne prend pas. Du début à la fin, ça reste très moyen humoristiquement, un rien débile et surtout pas vraiment drôle, en fait c'est plutôt lourd. Je n'y ai pas trouvé grand intérêt et au final cela s'avère à peine divertissant, dans le même genre, préférez lui "Happy Gilmore", vraiment drôle et très amusant. A éviter.
De l'humour potache aux cadrages mal aérés où la lumière du soleil louisianais paraît fausse, Waterboy semble émerger d'une sitcom trop longue qui se serait perdue en extérieur. Si Kathy Bates n'était pas là avec son éternelle bonne humeur bougonne, on n'aurait peut-être pas hésité à trouver à Waterboy, comédie sportive ultra-américaine dégoulinante, des allures de navets.
Il y a au moins autre chose qu'un Sandlers qui fait le pitre. Rien de fou, mais suffisamment d'attention est prêtée à son personnage de simplet pour ne pas que sa personnalité parte en lambeaux quand elle est arrachée de lui à de multiples reprises par une cohorte de lourdauds qui l'insultent.
L'illusion durera un temps : la rédemption des lourdauds en question sera glorieuse comme l'ô grand pays qui les a vus naître et tout ira vite pour le mieux dans le meilleur des mondes du sport. Une étincelle a tenté de l'éclairer, mais il est trop difficile de ne pas penser à la caricature du spectateur américain entouré d'emballages gras et de canettes de bières pour l'apprécier, et son audience déjà vieillissante est cloîtrée dans les frontières.
Tout d'abord commençons par les qualités de ce film : la débilité du film est totalement assumée, ça c'est sur.
Quelques acteurs sortent leur épingle du jeu, je nommerai Adam Sandler, d'abord horripilant, à la fin hilarant, Henry Winkler, Clint Howard, Jonathan Loughran. Fairuza Balk est totalement magistrale dans le rôle le plus casse-gueule du film. La bande-originale du film colle bien à l'ensemble et le film est court. Maintenant, passons aux défauts : le film ressemble beaucoup trop à Terminagolf, la réalisation de Dennis Dugan en moins, à l'image d'Adam Sandler, le film est ridicule au début pour bien finir, Kathy Bates est horripilante et beaucoup de gags sont tellement téléphonés que je n'ai pas ri une fois. J'ai quand même passé un bon moment, mais vraiment oubliable.
Avec un tel synopsis, on aurait pu faire tellement mieux que finalement c'est décevant et la note s'en ressent, vu la qualité d'Adam Sandler. Ah oui, j'oubliais, Lawrence Taylor, en deux répliques montre un talent certain d'acteur, que l'on reverra dans le chef d'oeuvre : L'Enfer du Dimanche.
Mon Dieu le beau nanard! Adam Sandler est meconnu en France et pour cause. Dans "Waterboy" il nous confirme qu'il a un humour bien particulier sans reelle finesse mais qui parvient a divertir a condition de se vider convenablement l'esprit. Des les premieres minutes, des qu'il commence a balbutier comme un debile, Sandler apparait comme une veritable tete a claque. Le sentiment s'estompe peu a peu lorsque l'on s'habitue au personnage et surtout au niveau raz les paquerettes du film. J'adore le foot US donc un certains nombre de situations m'ont vraiment fait delirer, mais je doute que le public francais s'y reconnaisse. Waterboy est vraiment le film popcorn ricain qui se regarde bourre... Je crois que l'on rit davantage de la betise du film en fait.
Je sais qu'il est un peu bebete mais j'adore ce film, mais la VO est bizarre car Adam Sandler a vraiment l'air débile. Sinon c'est une comédie sympa sur fond de football US