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Votre avis sur Scarface ?
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AMCHI
Brian de Palma réalise là un grand moment de cinéma, Al Pacino y trouve un de ses meilleurs rôle dans la peau de l'antipathique mais fascinant Tony Montana dans sa montée dans le milieu du gangstérisme (une autre façon de voir le rêve américain). La mise en scène possède une véritable dimension accompagnée en cela par une très bonne B.O. Le final explosif est génial, un de mes films préférés.
J'entends par ci par là que ce film est un Chef d'oeuvre cultissime. Certains même possède dans leur appartement l'affiche du film sans même l'avoir vu. Mais le faciès de Pacino et la mise en avant du Caid de la Drogue suffisent pour certain à en devenir fan. Comme une mode, un style "Rebel de cité" qui fait tendance. Pour ma part, ce film que j'ai trouvé terriblement viellit et démodé, m'a laissé de marbre. L'Ennuie était aux premières loges avec ses pop corn. Aussi, la cerise sur la gâteau quand Terminator s'invite dans les derniers instants de ce "téléfilm". On a déjà vu mieux (Casino entre autres). Au suivant.
j'ai vu ce film à la télé hier soir, et je dois avouer que j'ai été très déçue. le personnage principal, on a juste envie de lui fouttre une tarte, il est tellement macho, orgueilleux, vulgaire, stupide.. je n'ai même pas regardé le film jusqu'à la fin .
la façon dont il monte dans ce milieu, ça paraît un peu trop facile.certes, il a de l'ambition, encore faut il avoir de l'intelligence; bref ça ne colle pas.
quant à la façon dont il s'empare de la nana tant désirée, ça m'a laissée assez perplexe . comment une fille comme elle, aussi jolie et élégante et pas trop débile, qui n'a que l'embarras du choix peut elle tomber amoureuse d'un mec comme lui, grossier et qui n'a que 3 mots de vocabulaire,tout ça pour se faire traiter n'importe commment par la suite.
je deteste comment il se conduit avec sa femme et sa soeur, j'espere que personne ne voit en lui un exemple à suivre ..
si je mets une étoile, c'est parceque j'ai bien aimé les costards, c'est tout.
la façon dont il monte dans ce milieu, ça paraît un peu trop facile.certes, il a de l'ambition, encore faut il avoir de l'intelligence; bref ça ne colle pas.
quant à la façon dont il s'empare de la nana tant désirée, ça m'a laissée assez perplexe . comment une fille comme elle, aussi jolie et élégante et pas trop débile, qui n'a que l'embarras du choix peut elle tomber amoureuse d'un mec comme lui, grossier et qui n'a que 3 mots de vocabulaire,tout ça pour se faire traiter n'importe commment par la suite.
je deteste comment il se conduit avec sa femme et sa soeur, j'espere que personne ne voit en lui un exemple à suivre ..
si je mets une étoile, c'est parceque j'ai bien aimé les costards, c'est tout.
Un film dont je ne comprends pas du tout l'engouement: il est lent, possède un scénario classique. Franchement, on peut se passer de ce film...
On m'a dit culte, je me demande ou. Je me suis beaucoup ennuyeux en regardant ce film,j'ai pas du tout accroché, tant pis
Je savais que c'était un film culte...mais pourquoi?
Le scénario n'est pas exceptionnel, c'est long, très long...et pourtant le scénario est assez pauvre...
Effectivement, les acteurs sont bons...Al pacino est parfait!!!!
Michelle Pfeiffer est pas mal non plus en femme totalement soumise à la drogue...
Moi pourquoi un tel engouement pour ce film??Un effet de mode??Une trop bonne publicité à l'époque de sa sortie??
Pour moi, ça mérite juste 2,5/5...
Le scénario n'est pas exceptionnel, c'est long, très long...et pourtant le scénario est assez pauvre...
Effectivement, les acteurs sont bons...Al pacino est parfait!!!!
Michelle Pfeiffer est pas mal non plus en femme totalement soumise à la drogue...
Moi pourquoi un tel engouement pour ce film??Un effet de mode??Une trop bonne publicité à l'époque de sa sortie??
Pour moi, ça mérite juste 2,5/5...
Cultissime, exceptionnel... Il n'y a pas assez de mot pour décrire Scarface. Al Pacino confirme son statut des meilleurs acteurs du Cinéma avec un rôle marquant une fois de plus ! Une histoire de gangster efficace marqué des scènes extra et cultes. De plus, la BO sublime de Giorgio Moroder pour rajouter une patte reconnaissable !
A l'époque de sa sortie, "Scarface" a été accueilli par des critiques assez mauvaises, avant de devenir le film culte que l'on connait. Ou comment passer d'une réaction extrême à une autre... Le scénario de Scarface est finalement extrêmement classique, et c'est bien normal puisqu'il s'agit d'une réadaptation du film éponyme de 1932. On sait pertinemment que l'on va nous raconter l'histoire d'une ascension puis d'une chute, le parcours d'un homme qui détruit tout ou presque (la façon dont on redonne une certaine humanité à Montana est d'ailleurs très artificielle) sur son passage. Classique, certes efficace, mais surtout prévisible et bourré de clichés, "Scarface" n'est vraiment pas un chef d'oeuvre, tout juste un film de gangsters assez opportuniste porté aux nues par une certaine jeunesse qui voit en Montana une sorte de héros moderne, ce qui n'est guère réjouissant. Sans doute Oliver Stone et Brian de Palma ont été dépassés par leur propre film : le scénario du premier est sans surprise, et la mise en scène du second, qui laisse pour le coup de côté toutes ses petites manies habituelles, est du même calibre. Quant à Al Pacino, il en fait des tonnes. "Scarface" est indéniablement plus à voir pour la façon dont il est devenu un fait de société que pour ses qualités cinématographiques.
Personnellement, ce n'est vraiment pas le genre de film que j'apprécie. Loin de là. Cependant, il a une vraie personnalité qui se dégage du personnage principal. Le scénario est bien composé avec plusieurs étapes en montée de puissance du personnage principal. Ce que je note particulièrement, c'est l'interprétation incroyable d'Al Pacino qui prends bien en sérieux son rôle. Le reste du casting est passable. Certaines scènes sont bien, d'autres sont plus ennuyeux. Pour moi, le film est bien trop long car il y a pas mal de petits lourdeurs ou de scènes inutiles. Néanmoins, le film se montre un poil intéressant car on peut voir toutes les difficultés qu'un immigrant devenant un baron de la drogue rencontre sur son chemin. Ce qui révèle d'un peu d’intérêt pour le film mais pas assez pour me satisfaire. Ce n'est pas le genre de film que je regarderai de nouveau mais je pense pour ceux qui aiment les films de gangster ou dramatiques, ce film peut vous satisfaire.
Objectivons
Un film culte. Tout simplement.
Le révélateur d'Al Pacino.
Le révélateur d'Al Pacino.
Bon,à écouter les spectateurs,c'est un pur chef d'oeuvre,c'est LE film à ne pas rater.Bien qu'il soit de 1984,ce film qui montre les débuts au cinéma d'un déja talentueux Al Pacino et n'est pas exempt de défauts.A commencer par une réalisation en dent de scie.Tantot on a droit a de belles scenes ,superbement travaillées (plans,jeux des acteurs);tantot on voit pas mal d'incohérences agacentes comme des scenes coupées alors qu'il aurait fallu démontrer comment Montana arrive si vite à cette ascension.On le voit quasiment du jour au lendemain acheter une Porsche,des costards à 800 dollars mais on ne le voit jamais se faire payer ni faire ses jobs non plus.Plus de détails ,de profondeur étaient attendus pour démontrer sa fulgurante ascension.Le point fort est certainement l'excellent jeu de role de Pacino ; à part ça ; la réalisation reste trés moyenne sans parler de la musique mollassonne ,répétitive et assez médiocre.On reste loin du Chef d'oeuvre quand meme...
Reconnaissons d'abord une chose : sans "Scarface", Al Pacino ne serait jamais passé à la postérité universelle. Dans l'inconscient collectif, il restera éternellement associé à Tony Montana et ce malgré les Michael Corleone, Carlito Brigante et autre Serpico qui jalonnent sa carrière... Il est celui qui porte le film de bout en bout, avec ce visage de bad guy cubain balafré, que la caméra de De Palma filme avec insistance. En fait, Scarface se résumerait presque à un long docu sur le comédien, tellement il est au centre de la mise en scène ou est constamment dans l'effort de tout ramené à lui. Cabotin Pacino ? Je ne le crois pas. Pas ici en tout cas. Ça sent trop le travail, la méthode, la transpiration... Le film maintenant : sans doute, ce n'est pas le meilleur de Palma mais le réalisateur de "Blow Out" fait preuve ici et là de sa virtuosité visuelle dans l'expression de la violence, créant les séquences d'anthologie (l'achat de la drogue, la fusillage finale, etc...) qui ont fait date. Les faiblesses du film résident plutôt dans le scénario d'Oliver Stone. Si son script s'avère assez documenté sur l'univers des trafiquants de drogues, l'histoire est loin d'avoir la profondeur du "Parrain"... En outre, il n'a pas le temps de développer la relation entre Tony et Elvira une fois mariés, cette dernière disparaissant du film avant la fin; enfin, l'aspect très schématique du lien obsessionel de Tony pour sa soeur qu'il veut garder vierge... Scarface est décidément bien un film de mecs, hélas. Cela dit, l'humour compense un peu ses quelques lacunes...Tony, par exemple, avec sa grossièreté et son arsenal de répliques cultes, fait souvent sourire. Et si Scarface avait été une comédie ? Sans doute n’aurait-il pas été aussi culte pour la génération des cités….
Attention, escroquerie! Ce film a souvent été présenté comme un bijou du polar sur fond mafieux. Je n'ai pas personnellement pas compris la passion de bon nombre de spectateurs pour cette réalisation. 2h45 d'ennui profond (excepté peut-être le dernier quart d'heure car ça flingue beaucoup), voilà ce que j'ai éprouvé. Beaucoup de baratin inutile extrèmement grossier pour ne pas dire ordurier, une histoire bidon d'un cubain réfugié devenant peu à peu un caïd de la drogue (cherchez pas la moralité car il n'y en à pas!), un Al Pacino ressemblant plus à un gugus hystérique avec son accent latino à deux sous qu'à un vrai caïd (c'est-à-dire froid et calculateur comme il devrait être), une Michelle Pfeifer ici complètement insignifiante, un Robert Loggia totalement égaré. Il ne reste qu'une très bonne réalisation de Brian de Palma (c'est pour ça que je mets une malheureuse étoile). Pacino, déjà, je ne t'aimais pas beaucoup, mais là je ne t'aime plus du tout...va donc voir Robert De Niro, il te donnera sûrement quelques conseils pour interpréter autrement un caïd un peu psy, mais cette fois avec l'art et la manière.
Le Scarface de Howard Hawks, scénarisé par Ben Hecht, avec Paul Muni dans le rôle principal, s’inspirait de la vie d’Al Capone, immigré italien devenu roi du trafic d’alcools pendant la Prohibition. Le Scarface de Brian de Palma, scénarisé par Oliver Stone, avec Al Pacino dans le rôle principal, adapte l’histoire originelle au contexte des années 1980. L’immigré cubain remplace l’immigré italien. Le trafic de drogues remplace le trafic d’alcools. Cette transposition est intelligente et intéressante, plus riche que son modèle en matière de critique sociopolitique (le capitalisme, la corruption…). La première moitié du film, consacrée à l’ascension du personnage central, Tony Montana, est assez classique et a pris un petit coup de vieux, tant dans l’expression d’une certaine frime virile que dans son style (quelques zooms appuyés, la musique de Giorgio Moroder…). Al Pacino en fait aussi beaucoup. Mais on se laisse emporter par la narration et la réalisation, qui ont leur moments de bravoure. Et la seconde partie du film, sur la décadence de Tony Montana, avec un Al Pacino un peu moins survolté, plus ravagé, trouve une puissance peu commune, entre fureur et folie, avec une certaine grandeur tragique. Le film aligne quelques compositions et scènes marquantes jusqu’au dénouement, apocalypse de feu et de sang, qui influencera de nombreux réalisateurs (Tony Scott, Quentin Tarantino…) dans un registre d’ultraviolence.
Grand classique du cinéma, Scarface touche à la perfection sur tous les volets. Une écriture intelligente et fine, une réalisation formidable, des acteurs et actrices impeccables... Scarface reprend les thèmes classiques du film de mafia : le rêve américain et sa facticité, la lutte des classes, les travers du modèle capitaliste. Au travers des yeux de Tony Montana, c'est un regard très critique qui est posé sur la société étasunienne et ses dérives. Un chef d'œuvre qui reste intemporel, si on ne tient pas compte de certains décors qui font un peu factices.
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