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    Bande à Part
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 668 abonnés 12 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2013
    Jean-Luc Godard revint plusieurs fois au prètexte policier dans ses films notamment en 1964 avec le cultissime "Bande à part", oeuvre mèlancolique sur l'amour et la mort! Mais plus le style très personnel du rèalisateur s'affirme, plus on est tentè de dire, devant un tel film que c'est du Godard et non plus c'est du policier! il n'est pas facile de trouver dans le cinèma contemporain des histoires d'amour empreintes à la fois d'ironie mais aussi de profonde tendresse comme c'est le cas de celle qui nous montre Odile, la magnifique Anna Karina, et leurs adorables respectifs, les jeunes Samy Frey et Claude Brasseur en sympathiques voyous! Quelques scènes sont devenues mythiques comme cette visite express du Louvre en neuf minutes 43 secondes où le trio batte le record ètabli par un certain Jimmy Johnson de San Francisco! Un incontournable de Godard dont on ne peut qu'admirer l'originalitè de la mise en scène et l'ènergie des acteurs...
    ferdinand75
    ferdinand75

    546 abonnés 3 856 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2018
    Un Godard certainement pas majeur , on est loin de la poésie pure de " A bout de souffle" qui était aussi très littéraire , sans temps mort et totalement envoutant . Ici c'est plutôt une histoire de Pieds Nickelés, de voleurs à la petite semaine qui veulent organiser un braquage en soudoyant une employée trop naïve. Mais les malfrats son trop sympathiques et trop gentils..Un scénario un peu "light", mais de très jolis plans du Paris des années 60 , nostalgie quand tu nous tiens, Les acteurs sont très bons ; et le trio Brasseur, Sami Frey et bien sûr A. Karina fonctionne à merveille. Une poésie certaine, rehaussée par ce Noir et Blanc superbe . Un beau film tout de même , avec cette grâce personnelle que sait insuffler Godard , même dans ses films "secondaires".
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    236 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2010
    «Bande à part» (France, 1964) de Jean-Luc Godard ne se résume pas qu’à la séquence du record de la visite du Louvre la plus rapide. En s’ouvrant su une succession rapide des visages des trois jeunes adultes principaux (Claude Brasseur, Anna Karina, Sami Frey), Godard présente, comme en exergue d’un livret de théâtre, les trois protagonistes de son récit. Tandis que les deux hommes semblent sortir des films noir de série B américaine (typés comme ceux de la Monogram Picture, à laquelle était dédié «A bout de souffle»), la jeune femme, telle que l’interprète Karina, hérite, dans sa fragilité et par la délicatesse de ses actions, de la Marika Green de «Pickpocket». Sujet frêle, objet de manipulation et de passion, Odile Monod –nom de la mère de Godard- a un prix, le même pour tout (monod-prix, comme le dit Brasseur). Influencée par les deux loubards qu’elle a rencontrés en cours d’anglais, Odile est contrainte d’être complice avec eux du vol de l’argent de sa propriétaire. Charnière dans l’œuvre du cinéaste, comme le sont ses films du milieu des années 60, «Bande à part» se nourrit du beau prosaïsme de ses premiers films et tend vers ce «temps de la réflexion» auquel nous promettait déjà les premiers instants du «Petit Soldat». Moins capital dans le basculement réflexif de Godard que «Une femme mariée : Fragments d’un film tourné en 1964», «Bande à part» tient encore davantage de l’œuvre plastique. Réduit à un motif : la course, qu’on prête souvent au de la jeunesse de 64. Sociologue-cinéaste, Godard capte, à travers les élans et les virées des personnages, la fuite en avant d’une jeunesse lancée dans une société en mutation, déjà assise sur un culte renouvelé de l’argent. Et pour cela, la séquence dans la musée est symptomatique du regard que Godard porte sur sa jeunesse : des gens qui consomment, jusqu’à l’art, pour le seul amusement du prestige.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 avril 2014
    Quelle surprise ! une histoire de cambriolage chez Godard ? Mais serait-ce que cet imposteur du cinéma aurait compris qu'il fallait un minimum d'action dans ses films pour que les spectateurs ne décrochent pas ? Avec Columbia Pictures comme partenaire !? mais c'est qu'il a employé les grands moyens le Jean-Luc ! Allons-y, c'est parti pour la séance ! *Après projection*. Alors c'est ça votre braquage diabolique ? un film de pur amateurisme raté ( il y a du bon amateurisme n'oublions pas ) avec trois zouaves comme bandits de pacotille pour cambrioler une maison dont le mobilier se limite à une armoire ? Mais ... où est passé le budget ? dans les cafés et cigarettes que consomment les acteurs pendant leurs interminables discussions complètement creuses ? Non franchement, c'est devenu impossible d'établir une critique sérieuse d'un film de Godard quand on en a vu plusieurs. On peut avouer que Bande à Part ressemble aux petits films fauchés que font les jeunes quand ils s'ennuient, et c'est ce pourquoi il en est aberrant : un cours d'anglais où la prof fait une dictée d'un extrait de Shakespeare en français ( navrant ), une romance sans intérêt, un montage minable, des dialogues tellement pitoyables que Godard a utilisé la voix-off pour expliquer au spectateur ce qui ce passe ( savourons les moments où la voix-off empiète les dialogues ), un jeu d'acteur plus que passable, une bande-sonore qui confirme les compétences de l'équipe technique ... Il y a tellement à ajouter ! Dire que certains films sont exactement pareils que Bande à Part, sauf que leur aspect misérable prête à rire et est empreint de second degré, tandis qu'ici on ne fait qu'exprimer son sarcasme.
    Caine78
    Caine78

    6 683 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Je n'ai jamais été très attiré par le cinéma de Godard, n'ayant d'ailleurs vu que « Pierrot le Fou », à qui je reconnais de belle qualités tout en n'y étant qu'à moitié sensible. Pourtant, j'ai failli m'emballer pour cette « Bande à part ». Parfaite incarnation de la Nouvelle Vague, l'œuvre fait preuve d'une audace presque constante, transformant une banale histoire de vol en « trio amoureux existentiel » où le cambriolage est relégué au second plan, sans doute trop. Des scènes m'ont beaucoup plu, dont certaines sont restées mythiques (celle de la danse), d'autres avaient un gros potentiel mais sont peu exploitées (la traversée du Louvre en un temps record, bien que très connue également, et que Bernardo Bertolucci refera avec beaucoup plus de réussite dans son très beau « Innocents »). JLG tente énormément de choses, avec une grande intelligence et parfois une légère arrogance, à l'image de ces clichés revendiqués ou encore d'une voix-off alourdissant plus le récit qu'autre chose, même si elle peut apparaître éclairante par intermittences. Il y a un ton, une ambiance, une rupture avec les schémas narratifs classiques m'ayant séduit, donnant au récit un aspect imprévisible, surprenant, d'autant que niveau visuel, la photographie de Raoul Coutard fait merveille. J'aurais d'ailleurs sans doute été plus clément s'il n'y avait pas un problème majeur : le son. Autant tout ce qui est bruit d'ambiance est excellemment rendu, autant niveau dialogues, c'est la cata. Alors que le réalisateur y apporte beaucoup d'importance à l'écriture, c'est pas loin d'une réplique sur trois qui m'a échappé, voire parfois certains pans entiers d'échanges... Alors comme c'est Godard, on peut tout imaginer, analyser voire envisager que cela soit volontaire, mais qu'est-ce qui pourrait justifier un tel choix, à part perdre sans raison valable le spectateur ? Je l'ignore. Reste cette séduisante impression d'ensemble, évoquant à de nombreux égards le « Jules et Jim » de François Truffaut, sans laisser la même impression d' « éternité », à l'image d'un trio Anna Karina - Sami Frey - Claude Brasseur qui, sans démériter, ne m'a pas ébloui non plus, la jolie Anna en tête. À défaut d'être conquis, au moins ai-je été ici un minimum sensible au cinéma de Jean-Luc Godard : ce n'était pas gagné.
    JeffPage
    JeffPage

    39 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2013
    Après "Le Mépris", un film à gros budget, Godard revient à ce qui fait la base de son cinéma : un film peu coûteux, presque série B et réalisé assez vite avec Anna Karina. Ce film nous entraîne dans une histoire de vol d'argent sur fond d'histoire d'amour entre 3 amis. Devenu culte depuis sa sortie, notamment grâce à des scènes d'anthologie comme la traversée du Louvres en 9 minutes 45 ou la scène où les 3 personnages danse le madison. Godard renoue aussi ici à une mise en scène plus aventureuses et se rapproche, exception faite des jump-cut et autre technique, d'A bout de Souffle. Devenu une référence pour beaucoup, notamment Tarantino, ce film mérite d’être (re)découvert.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2014
    Après la magnificence monolithique du "Mépris", Jean-Luc Godard offre un long-métrage plus léger et plus modeste, mais toujours innovant et d’une grande liberté. L’histoire rappelle un peu celle de "Jules et Jim" de François Truffaut, même si "Bande à part" se prend moins au sérieux. Le trio d’acteurs est en tout cas très charmant et donne vie à de nombreuses scènes inoubliables. La scène de danse, la minute de silence ou la course dans le Louvre sont autant de grands moments de cinéma. Encore une fois, Godard prouve qu’il est un grand cinéaste populaire en même temps qu’un créateur : il adopte le genre criminel mais en détourne les codes, prolonge ses ambitions et façonne un objet qui n’appartient qu’à lui.
    stebbins
    stebbins

    499 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2011
    Bande à Part est peut-être le film le plus ludique de Jean-Luc Godard, l'éventuelle récréation de Claude Brasseur, Anna Karina et Sami Frey. On y retrouve les traits d'esprit de son réalisateur, du générique épileptique au dénouement annonçant une suite en passant par une séquence de danse virtuose. Davantage divertissant qu'un Mépris ou même qu'un Pierrot le Fou Bande à Part n'en est pas moins hanté par la Nouvelle Vague et ses fantômes : à l'image de cette visite express au musée du Louvre le film a le mérite de ne jamais se prendre au sérieux, toujours à mi-chemin entre la comédie burlesque et le polar de série B... Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si Jean-Luc Godard compare son long métrage à un roman de gare, sorte de genre populaire que le cinéaste semble avoir renié aujourd'hui. Bande à Part, par sa légèreté, son immoralité et sa liberté de ton se rapproche un peu du légendaire A Bout de Souffle..., faisant la part belle à trois désaxés qui n'auraient pas vraiment abandonné les pupitres écoliers. A voir pour Anna Karina, toujours aussi ravissante et pour Jean-Luc Godard, moins austère qu'à l'accoutumée...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mai 2019
    Œuvre de vitesse et de vitalité, Bande à part se saisit des bases du film noir américain pour les dynamiser en y soufflant de l’humain. Tout ici respire la liberté de penser et de mouvements venue ventiler un espace traditionnellement pesant : nos deux malfrats sont de grands enfants qui jouent à l’espionnage, font semblant de se tirer dessus jusqu’à ce que les dures lois de la réalité viennent les rattraper. Tout est en constant changement : on passe d’un bar à un autre, on drague assis sur une chaise de sa salle de classe, on danse sans retenue le Madison, on court dans la grande galerie du Louvre pour battre le record du monde. Le rythme soutenu s’avère pourtant brisé à quelques reprises mémorables, à la manière d’un sursaut de mélancolie qui se répand aussitôt dans l’ensemble du métrage : c’est surtout la grande âme romantique, avec ce que cela implique de tortueux, d’Anna Karina qui diffuse ce spleen des temps urbains, s’emparant d’un texte de Louis Aragon, auteur du merveilleux Aurélien et dont la puissance mélancolique semble se rejouer ici. Œuvre poétique et libertaire, Bande à part est une danse des corps et des décors qui chante la jeunesse dans ses élans insaisissables.
    Benjamin A
    Benjamin A

    709 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2014
    Frantz aime Odile, tout comme son pote Arthur mais c’est ce dernier, bien plus entreprenant et sûr de lui, qui fait les premiers pas. Les deux jeunes amis sont assez oisifs et lorsqu’Odile leur apprend qu’une vieille femme cache son magot dans un placard, ils vont préparer un coup…C'est le septième film de Jean-Luc Godard, tourné juste après « Le Mépris » alors que sa femme Anna Karina était en dépression. Le réalisateur phare de la nouvelle vague braque sa caméra sur ces jeunes un peu paumés et nous livre une histoire d’amour aussi belle et tendre qu’ironique avec un soupçon de mélancolie. Par moment drôle, il dresse le portrait d’une génération un peu naïve et attirée par l’argent. Les dialogues sonnent souvent justes et les personnages sont intéressants.Derrière la caméra, Godard fait les choses simplement mais de belles manières. La voix-off (qu’il assure) n’est jamais lourde et tous les cadrages semblent maîtrisés et justes, truffée d’idées et toujours axé sur le visuel au détriment de la parole. Certaines scènes sont mémorables à l’image de celle, totalement improvisée, au musée du Louvre. Il sublime Paris avec sa caméra, il insiste sur différents lieux et détails et c’est avec une certaine mélancolie qu’il nous montre la capitale.Les jeunes acteurs sont impeccables, que ce soit la femme de Godard, Anna Karina avec son inoubliable accent ou Samy Frey (comme souvent à cette époque, d’une incroyable présence) et Claude Brasseur en jeune voyous, amis aux caractères opposés.Un bon voire très bon Godard. Si dans ce que j’ai vu de sa filmographie (un peu plus d’une dizaine de films), l’ensemble est assez inégal avec de vrais pépites comme le contraire, celui-là fait partie des réussis. Il nous livre un récit tendre, nostalgique ou encore ironique, servi par de très bons comédiens.A noter que c’est un film qui aura eu une forte influence sur Quentin Tarantino qui déclara que ses personnages de « Reservoir Dogs » étaient influencé par ceux de « Bande à Part » et c’est le nom qu’il donna à sa boite de productions.
    Gonnard
    Gonnard

    240 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 novembre 2013
    Avec cet Ersatz de "Jules et Jim", Godard déçoit. Alors que l'on pouvait légitimement s'attendre à du grandiose, on se retrouve devant un polar de piètre qualité, assez soporifique et surtout sans âme. A aucun moment on ne ressent le même souffle tragico-épique qui parcourt l’œuvre de Truffaut. Les personnages n'ont pas vraiment d'envergure, la BOF ne présente rien d'emballant, l'intrigue se laisse suivre sans grand intérêt.
    Prad12
    Prad12

    91 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 avril 2014
    Ben non...... faut dire que j'insiste....... mais encore une vaguelette qui essaie très mal de ressembler à un nouveau Jules et Jim........ n'est pas Truffaut qui veut et certainement pas Godard....... plat, prétentieux, un gros navet.... seul Claude Brasseur s'en sort mais pas dans le film........ enfin dans le documentaire car il faut aussi se taper la voix de Godard qui parle avec une patate dans la bouche et nous prend pour des abrutis qui ne comprenons pas ce qui se passe sur l'écran, affligeant.......
    overlook2
    overlook2

    23 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2016
    Le film le plus aérien de Godard est pourtant teinté d’une bouleversante amertume : celle de du cinéma classique, perdu à jamais, qui se transforme ici en une succession d’improvisations endiablées par le trio principal, où sont convoqués le film noir, le western et même le muet (les œillades Griffithien d’Anna Karina). Constat amusé d’un impossibilité à retrouver cette grâce et cette pureté (et pourtant, il y aura bientôt « Pierrot le fou »…) ; constat aussi du fossé infranchissable qui semble se creuser entre masculin et féminin (tiens, tiens…), où la pulsion du désir et l’élévation romanesque semblent irréconciliables (Karina est amoureuse de Brasseur qui ne la comprend pas, et finira dans les bras de Frey qui la comprend mais ne l’aime pas). Pourtant, tous ces sujets, « Bande à part » les traite avec une déconcertante légèreté, préférant les morceaux de bravoure au cinéma sérieux. Et malgré quelques baisses de rythme, Godard nous en offre, des moments suspendus entre éblouissement et grâce enfantine : une minute de silence au troquet, une visite du Louvre sprintée, une éblouissante et soudaine danse partagée. Peu importe de leur résonnance désenchantée (la liquidation du passé, l’instant porté en aboutissement existentiel, l’abrutissement narcissique), tant qu’il y a l’ivresse… « Bande à part » ou comment danser au bord du volcan.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 058 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2009
    Godard s'attaque aux films de série B, si je n'ai pas été transcandé par Bande à part, la mise en scène reste parfaite, mais manque à mon goût d'un peu de voix off, que j'adore dans les films de Godard, ce qui donne un charme particulier au cinéma de Godard.
    AMCHI
    AMCHI

    5 780 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 juillet 2017
    Décidément Godard et moi ça ne marche pas, ça faisait un moment que je n'avais pas vu un de ses films (ni vraiment l'envie) cependant j'ai une occasion de découvrir Bande à Part qui fut un flop à sa sortie (environ 40.000 entrées) mais qui avec le temps s'est acquis une belle réputation pour autant j'ai trouvé tout cela ennuyeux à suivre.
    L'histoire est pas mauvaise (un hommage aux polars américains de série B) et les acteurs sont bons (Godard a spécialement tourné ce film pour sortir Anna Karina de la dépression en lui permettant entre autres de chanter ce qu'elle adorait) cependant le style du film, ce manque de vigueur, ce côté qui traîne inutilement malgré une fraîcheur indéniable qui se dégage de Bande à part ne m'ont pas plu.
    Bref encore une fois La Nouvelle Vague a du mal à me passionner.
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