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    Conte d'automne
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    3,3
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    35 critiques spectateurs

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     Kurosawa
    Kurosawa

    585 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2019
    L'automne est une saison que l'on pourrait qualifier d'intermédiaire; se situant entre l'euphorie estivale et la tristesse hivernale, elle n'a d'ordinaire pas de grande fonction. Mais pour Magali, viticultrice, l'automne est une saison capitale, celle des vendanges : il faut alors cueillir les raisons mûrs qui serviront à la fabrication du vin. L'automne doit ici être perçue comme une saison vitale, symbole d'un renouveau et de promesses relancées; pour Magali qui vit seule, isolée dans ses vignes, c'est la rencontre avec un homme qui est souhaitée, mais son manque de confiance en elle lui fait dans le même temps redouter le "marché de la séduction". Après un début poussif où l'écriture rohmerienne d'habitude si fluide apparaît comme ampoulée, le film trouve son rythme idéal et les dialogues particulièrement travaillés questionnent avec pertinence la naissance du désir : peut-il exister malgré la différence d'âge ? son éclosion provient-elle d'un coup de foudre ou se fait-elle dans la durée ? À coups de rencontres arrangées et de savoureux quiproquos, le film agence ses couples avec une bienveillance salutaire, même si l'absence de cruauté fait de "Conte d'automne" un film légèrement en deçà de ce que pouvait habituellement faire Rohmer. Mais la combinaison entre l'économie de la mise en scène, l'intelligence des situations et la singularité de l'interprétation – mention spéciale à l'épatante Béatrice Romand – suffit à rendre le long-métrage digne d'intérêt.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 070 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2019
    Dernier des quatre contes que je n'avais pas vu, Conte d'automne arrive à capter quelque chose de formidable : les amours des femmes dont la beauté, bien qu'encore tenace, semble en train de s'estomper au fur et à mesure qu'elles vieillissent.

    Et rien que pour avoir réussi à faire, ça c'est un film formidable, parce que mine de rien Béatrice Romand qui devait avoir environ 45 ans au moment du tournage garde un charme certain qui finalement n'a pas grand chose à envier à Alexia Portal, toute jeune à l'époque. Pour une fois la préoccupation principale du film ne sera pas les amours de la jeune, mais bel et bien celle de la femme plus mûre. Bref un parti pris intéressant.

    La beauté du film réside également dans sa saison, l'automne. Je veux dire qu'on filme une saison sublime, on y voit la province, le travail de la terre, le moment où les feuilles tombent... Disons que non seulement j'apprécie fortement l'ancrage territorial du film, mais en plus ça va parfaitement avec le thème du film, comme si c'était la dernière chance, l'automne, pour tomber amoureux.

    Après évidemment ce qui est fabuleux chez Rohmer c'est les dialogues, je dois avouer que beaucoup m'ont réellement mis mal à l'aise, notamment les scènes entre Marie Rivière et Alain Libolt. En effet Rivière donne un rendez-vous amoureux en se faisant passer pour son amie et on est dans le pur marivaudage, mais je ne comprenais pas l'idée, on voyait que le personnage galérait à se faire passer pour son amie... et tout ça c'est très étrange... c'est des choses absolument gênantes car on n'aimerait pas les vivre et je ne comprends pas qu'on puisse se mettre volontairement dans des embarras pareils. Bref, j'étais à fond.

    Mais ça apporte quelque chose, puisque Marie Rivière sans réellement dire qu'elle s'intéresse à ce personnage va elle aussi goûter à nouveau aux frissons de l'amour, donnant ainsi une fin assez douce amère et mélancolique.

    J'aime beaucoup la narration, le fait de commencer par ce couple qui va se marier, qui est au cœur de son amour et qui n'a pas encore connu les affres de la vie, tranche assez radicalement avec le reste du film, ces personnages plus âgées, qui ont moins de temps, des responsabilités et plus le temps de batifoler.

    Bref, il y a tout dans conte d'automne. Et je crois que j'avais limite oublié le plaisir qu'il y a à écouter un film de Rohmer et ses dialogues, son phrasé un peu ampoulé peut-être, mais qui dit de très belles choses sur l'amour et sur la vie.
    Jonathan M
    Jonathan M

    132 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2019
    Maintenant que j'ai apprivoisé les 3 premières saisons, on quitte cette réflexion autour du sentiment amoureux par l'automne. Eric Rohmer transpose un dialogue quasi scolaire à ses acteurs. Un schéma de sentiment et de persuasion de l'autre. On cherche ce qu'il y a derrière l'attirance d'autrui : un vrai désir ou une pensée malveillante ? Les thématiques sont modernes : la différence d'âge, la séduction après un divorce ou un deuil, la quête du bon regard et de la bonne personne. Le cinéaste film les prémisses d'une histoire, pourquoi on s'engage avec une certaine catégorie de personne, pourquoi on tient à sa fidélité. Le dernier chapitre de ce tétraptyque montre à quel point le cinéaste use de son verbe pour mettre des mots sur les maux amoureux universels. C'est brillant.
    aldelannoy
    aldelannoy

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 janvier 2019
    Cinématographiquement, ce film, si c'en est un, est sans intérêt. En outre, il est malsain avec des personnages détestables tels que l'étudiante qui court son prof de philo et le fils de son amie en attendant la longue liste des "suivants", comme chantait Jacques Brel. On connaît, en voyant cette "oeuvre", d'où sort l'inspiration des scénaristes de Plus belle la vie. On a ici une illustration de la guimauve des sitcoms fleur bleue telle que les aiment les classes qui se croient plus intelligentes que celles qui se contentent d'Amour, gloire et beauté.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    205 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Je me souviens avoir salué à l'époque de sa sortie le seul "Conte des Quatre Saisons" à renouer avec la veine des meilleurs Rohmer, celle du marivaudage amoureux et des mensonges maladroitement manipulateurs? Le revoir près de 20 ans est un petit choc, tant se succèdent les moments de grâce absolue, tant le plaisir du spectateur est immense devant l'Art exquis du grand réalisateur quand il s'agit de traquer la vérité dans la parole dissimulatrice, de lire derrière la façade des yeux de ses personnages. Si nous ajoutons ici une ample et sensuelle peinture de la nature (sublime vallée du Rhône, gâchée par le Tricastin) qui porte le film vers une beauté formelle finalement inhabituelle chez Rohmer, le charme de ce "Conte d'Automne" est absolument irrésistible. Maintenant, il convient de pointer les singularités du film, puisque pour la première fois, Rohmer abandonne ses jeunes gens pour peindre une sorte de "crise de la quarantaine" (à travers le retour touchant de deux de ses actrices emblématiques, Béatrice Romand et Marie Rivière, toutes deux parfaites), ce qui teinte le film d'une gravité, voire d'une légère angoisse qui lestent une fin assez douloureusement suspendue. On pourra aussi remarquer que, fidèle aux principes de la cinéphilie originelle de la "Nouvelle Vague", Rohmer ne tranche pas ici entre Hitchcock et Hawks, se plaçant tour et tour dans la lignée de l'un et de l'autre : la double intrigue retorse génère un joli suspens, tandis qu'on admirera une femme forte qui parle avant tout de son travail, qui est sa raison d'être… Et si "Conte d'Automne" était aussi une leçon de cinéma ?
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2016
    La visite de l’expo Scorsese à la Cinémathèque méritait de s’y arrêter un peu plus et de voir le film de l’après-midi.
    Revoir du Rohmer, cinéaste qui a enchanté ma jeunesse avec Ma nuit chez Maud pourquoi pas ? A la fin des deux heures, le « conte » était bon, on ne m’y reprendra pas de sitôt. Le sujet de comment (re)bâtir une relation homme-femme n’est pas nouveau, mais aurait pu donner lieu à d’infinies variations. Ici, tout m’a paru traité sur le mode intello. Et les acteurs ne sont pas poussés à nous faire vibrer d’émotions intenses, comme on peut l’attendre dans une relation amoureuse, naissante ou finissante d’ailleurs. Nous sommes à des années-lumière du Mélo d’ Alain Resnais. Ces babillages se déroulent dans la belle région sud de la Drôme, attirante quand on l’a connait, malheureusement le metteur ne souhaite pas (ou ne sait pas) mettre en valeur ses qualités photogéniques. Sentir une bonne intention ne suffira à sauver de l’oubli auquel est promis ce conte qui passera mal l’hiver en ce qui me concerne.
    Janvier 2016
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2015
    Conte d'automne est un film très agréable. Les dialogues et les personnages sont bien écrits et sonnent tout à fait naturels. Le travail sur la photographie magnifie les décors de la Drôme et le tout sonne plutôt léger tout en étant travaillé et de qualité.
    labellejardinière
    labellejardinière

    85 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juin 2015
    Le dernier des "Contes" (1998) de Rohmer, celui "d'automne". Sur fond de vendanges, Marie (sa meilleure amie, depuis l'enfance) et Rosine, la petite amie de son fils, se proposent l'une comme l'autre de (re)marier Magali, une viticultrice (en appellation Côtes-du-Rhône), une veuve quadra. Les prétendants sont Gérald (Alain Libolt), un cadre qui a beaucoup voyagé, et Etienne (Didier Sandre), un prof de philo, amateur de tendrons. C'est mis en place assez laborieusement, poursuivi souvent de même, mais il y a quelques scènes de marivaudage réussies. Au négatif, les rôles féminins, tenus par des actrices ayant résolument oublié tout naturel de jeu... Décidément, ces "Contes" saisonniers ne sont pas un grand cru rohmérien...
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 novembre 2013
    Magalie est viticultrice et deux de ses amies cherchent à la caser. Le dernier Conte des quatre saisons de Rohmer est parfois drôle et fin mais rien de palpitant.
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2013
    Une fois de plus beauté et simplicité sont au rendez vous de ce bijou Rohmerien.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 juin 2012
    Deuxième conte que je vois de lui, après la déception Conte d'hiver. Assez bizarrement je vais commencer par les reproches, enfin il n'y en a qu'un, qui d'ailleurs n'en est pas vraiment un, on peut trouver ça niais (en fait c'est surtout les critiques que j'ai vues). Mais là je l'ai pas trop trouvé. Même si, un peu comme toujours avec Rohmer j'ai envie de dire, si l'ensemble est profondément juste, il y a toujours une scène ou deux où l'on peut avoir cette impression, que ça se passe mal, et effectivement c'est dérangeant (j'avais eu ça pour Conte d'hiver).
    Mais là, ça passe bien j'ai trouvé. Déjà il y a les paysages, que j'ai trouvés fabuleux. C'est pourtant ultra-classique, en témoigne l'intro, le début de l'automne dans un petit village français, c'est rustique, mais voilà la campagne française c'est splendide je trouve, et Rohmer parvient à la sublimer, j'ai adoré d'ailleurs les premières scènes dans les champs.

    Pour ce qui est de l'histoire elle-même, si le début est plutôt banal, habilement Rohmer créé une sorte de "jeu", entre 4 personnages, j'ai trouvé ça intelligent et bien fait, même si ce n'est pas extraordinaire. Par ailleurs toute la séquence qui se passe au mariage est vraiment magnifique, très réussie, et donc cette idée que des personnages se cachent entre eux, puis se retrouvent...

    Peut-être rien de géant là-dedans mais c'est simplement beau, intelligent, l'ambiance est là, j'ai plutôt bien aimé les acteurs/actrices, c'est du beau boulot de la part de Rohmer, il me tarde déjà de voir Conte d'été de la même série.
    Outburst
    Outburst

    123 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2012
    Second film de Rohmer que je subis et également second volet des "contes des quatre saisons". Le bilan est le même que pour "Conte d'été", pitoyable. Je me demande comment on peut oser appeler ça du cinéma, et comment après avoir vu deux films comme ça on peut continuer de définir Rohmer comme l'un des plus grands cinéastes français. Si je sortais un film comme celui-ci je crois que j'irai me cacher après. L'histoire est d'une niaiserie sans nom, honnêtement je crois que même le couple de Twilight parait plus crédible que l'ensemble du film. Ce qui est quand même remarquable, c'est que tout est si mauvais, et en particulier le jeu d'acteur, que ça en devient ridicule et pathétique. On ne rigole pas des quelques blagues du film, qui d'ailleurs tombent toutes à plat, mais bien de la nullité de celles-ci. Aucune technique particulière, aucune originalité dans le scénario (et on se demande même s'il y en a un), et absolument aucun intérêt ne se dégagent du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    CELUI LA JE ME PERMET DE LE CRITIQUER :
    " Conte d'automne " est et restera à jamais un film terriblement niais. Oui, dans le genre comédie de mœurs à deux francs six sous, voilà le must! Sans rire, quelle dobe ! Rohmer tombe bien bas avec ce navet genre feuilleton pour pré-ado. Loin de nous donner la nausée car très amusant et regorgeant de bêtises, " Conte d'Automne " agit comme un film burlesquo-pathétique sorti en salle pour faire chier les étudiants en cinéma. Histoire dénouée de sens et de logique, on n'entre jamais vraiment dans le "film. "
    Rohmer n'aura en tout cas pas daigné de s'excuser " après cet échec monumental et on pourra retenir de lui " L'anglaise et le duc. " Nouveau bémol : Le jeu d'acteur est tellement pitoyable qu'on les dirait atteint d'une diarrhée passagère quand ils essayent de communiquer entre eux. Le réal nous sert cette chose vide et laide sur un plateau et " Amusez-vous ! "
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    56 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2011
    Comédie de mœurs, tout le contraire de comédie romantique. Le talent d’Eric Rhomer est d’éviter la mièvrerie inhérente au genre. Il faut dire qu’il a un style bien à lui, une façon de filmer les situations et les gens, qu’on sent toujours une pensée derrière, un œil acéré et des choix précis, sans aucun flou artistique. Des dialogues avec des mots de tous les jours, des situations simples, qui deviennent on ne sait trop comment complexes. D’ailleurs cette façon de dire les textes, teintée de théâtralité, ce phrasé ce n’est pas la première fois que je vois ça chez Romer. C’est assez étonnant quand on sait qu’il ne demande pas aux acteurs de parler comme ça. Je pense que son dispositif impose une façon de faire quasi mimétique, qui fait que les acteurs doivent se dirent : « On est chez Romer, on dit des choses simples sérieusement ». Mais là je m’avance un peu. L’image est très belle, une lumière chaude et naturelle, l’automne filmé comme ça, on en redemande, le jeu d’ombre te de lumière à travers les feuillages, le vert des vignes, les murs clairs et chauds comme une peau.
    Deux femmes, Isabelle et Rosine, une femme mûre et une plus jeune, cherchent à caser leur amie commune, à l’insu l’une de l’autre, je ne suis même pas sûr qu’elles se connaissent. Le résultat cherché n’est évidement pas à la hauteur de leur espérances.
    On navigue dans le marivaudage le plus distrayant qui soit, et on apprend comment un homme et une femme peuvent se rencontrer sur la terre de France, ça peut aussi se faire par petite annonces. Déroulement sans conflit majeur, juste des situations possibles et probables, et cette fin ouverte avec ce regard fuyant rempli de non dit, pour le moins problématique. Jusqu’au bout on ne saura pas si Isabelle a craqué sur cet homme trouvé par petites annonces pour sa copine, et s’est donc faite piégé par son propre jeu.
    Des fois cela fait du bien de voir un film sans un seul coup de poing, sans un meurtre, pas même une petite gifle, je vous dis. Enjoy!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 octobre 2010
    Film moyen d'Eric Rohmer (un des mecs des Cahiers de la grande époque, rédacteur en chef en même temps que les Truffaut, Godard ou Chabrol) dont le thème n'est autre que les relations interhumaines, avec deux vigneronnes amies, la quarantaine, dont l'une cherche un mec à l'autre via des annonces, et dont l'autre ne sait pas ce qu'elle veut. Avec une étudiante amoureuse-enfin-je sais-pas-trop-ça-c'était-avant-maintenant-je-sais-plus de son prof de philo, qui lui sait bien ce qu'il veut (son étudiante, qui pourtant sort de manière étrange, asexuée et sans intérêt avec le fils de la vigneronne qui ne sait pas ce qu'elle veut...). Bon je me résume : malgré des décors sympa, des dialogues soignés puisque le réa était prof de lettres (faut bien des points positifs ; le problème c'est que les acteurs ont du mal à s'y retrouver, et ils ne comprennent pas toujours ce qui s'y trame ; en plus ils ont presque tous le charisme d'un navet, ça aide pas forcément), ça donne finalement l'impression d'un cliché incroyable sur le film d'auteur français. Ce n'est pas palpitant, ce n'est pas intéressant, il y a juste de quoi (dans le scénario) ne pas arrêter de mater le film sous peine d'ennui profond. C'est chiant, mais c'est chiant... A force de vouloir filmer la vraie vie, les vrais gens, la vraie modernité, on fait un vrai fiasco intellectuel. Le but n'est décidément pas le réalisme. Sorry Jean-Marie Maurice : 9/20.

    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's cine :
    http://tchingscine.over-blog.com/
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