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Biertan64
49 abonnés
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0,5
Publiée le 3 juillet 2017
Nicolas Cage qui communique en hurlant tout le long (insupportable), aucun moment de drôle - pourtant un américain illuminé en vadrouille au Pakistan ça devrait être facile de trouver une ou deux situations comiques, non?. Tout simplement sans intérêt et une perte de temps.
"Army of One", film américain réalisé par Larry Charles sorti en 2016. Un film inspirée de l'histoire plus ou moins vraie de Gary Brooks Faulkner, un américain au profil un peu instable qui s'était donné pour mission d'aller chercher Oussama Ben Laden et de le ramener. Selon Faulkner cette mission lui aurait été commandée par dictée divine. Un biopic réalisé par Larry Charles, le réalisateur de Borat et The dictator, dont on reconnait ici le style, pseudo-documentaire, décalé et bavard. Si Borat ou The dictator font un peu rire, "Army of One" se révèle assez vite être une purge. Avec Nicolas Cage (méconnaissable) dans le rôle de Faulkner, le personnage principal est le principal défaut du film, l'aspect bavard est insupportable, l'image donnée de Faulkner n'est pas attachante, il ne nous intéresse pas, il nous fatigue. Le film n'invite pas à suivre les aventures saugrenues de ce fou certainement imbuvable. Un mauvais doublage n'arrange rien. Laissons Larry Charles avec Sacha Baron Cohen et Nicolas Cage dans son registre.
Film inexplicablement sous-noté, donc je gonfle un peu ma note. Quoi que, pas tant que ça en fait. Le film est au minimum bien (3,5/5), c'est indiscutable. Pour le côté biopic, difficile de se prononcer, ce qu'on trouve sur le net est un peu flou. Concentrons-nous donc simplement sur l'aspect comédie. Je trouve que c'est une réussite: j'ai beaucoup ri, alors que je ne suis pas du tout adepte du genre, je n'en regarde que très rarement, j'ai fait une exception pour Cage et le pitch. Cette comédie ne souffre pas de l'écueil classique propre au genre qui veut qu'à la moitié de la durée, soit à la fin de l'exposition et une fois passées les premières scènes qui en découlent, il y ait une baisse de tension et que l'ensemble se tasse mollement jusqu'à sa conclusion. Pas dans Army of one, dont le rythme ne faiblit pas pendant 90 minutes et où cage est merveilleux: certes il est très bon en personnage de comédie mais aussi très touchant, le mec se donne à fond, on pourrait penser qu'il est content de jouer enfin dans un bon film... très généreux. Les gags ne sont jamais lourdingues, c'est du comique de situation qui s'appuie sur l'extravagance du personnage, puis sur les décalages avec son environnement, le Pakistan, sans jamais tomber dans le stéréotype méprisant. En fait on a un récit assez simple, qui laisse penser que le film ne doit pas être très éloigné de l'aventure de Gary Faulkner, et un acteur génial complètement investi qui porte le projet.
Vu la moyenne dépassant difficilement les 2 étoiles, comme souvent depuis un certain nombre d'années pour les films impliquant Nicolas Cage, je redoutais encore une déception. Hé bien, cela n'a pas été le cas ici. Même si je n'irai pas jusqu'à prétendre que "L'armée d'un seul homme" (ma traduction du titre, que je préfère à "Une armée à lui tout seul") est un bon film, il est globalement sympathique et assez souvent drôle en raison du côté que je qualifierais de "complètement barré" du personnage principal. Nicolas Cage, paraissant si vieux ici (il avait pourtant 52 ans à la sortie de ce film en 2016), incarne à merveille une espèce d'illuminé. Cela dit, et je conçois que cela ait déplu à un certain nombre de personnes, il parle trop fort (du moins dans la version française, qui n'est pas une "VFF" mais une "VFI", c'est-à-dire pas avec la voix française dont nous avons l'habitude pour cet acteur). En plus de ça, il a un sacré débit durant la première moitié du film. Mais on s'y fait. Ou, du moins, moi, je m'y suis fait...
A noter la présence de Russell Brand, incarnant (bien) rien de moins que Dieu, acteur que j'avais découvert dans l'amusant "American Trip".
"Army of One" avait tout pour être un bon délire (réalisateur de Borat, histoire de base ahurissante) mais s'apparente au final à un film très creux et ennuyeux. En effet, passé un démarrage plaisant dans la description de ce patriote fou et bavardspoiler: (les voitures fascistes, les douches et chiottes non fabriquées aux US dans le magasin) qui a des visions de Dieu (très amusantes dans l'ensemble), le scénario alterne les bons spoiler: (émission littéraire, les pro OBL qui le battent) et les mauvais gagsspoiler: (le médecin, le bateau et les moules, le voilier, l'épée) , offre une seconde moitié indigeste au Pakistan spoiler: (l'implication des flics est médiocre) et quelques séquences sans intérêt spoiler: (le passage par Las Vegas) et a des longueurs. Pas aussi déjanté qu'espéré, "Army of One" ne se rattrape pas avec le script, à la portée philosophique quasi-nulle, qui ne brille pas dans l'utilisation de Marci (vite réduite au néant) et qui se révèle assez peu pointilleux et concentré sur le plan de Gary Faulkner, à la crédibilité douteuse. Dès lors, tout repose sur la prestation de Nicolas Cage, à qui il faut reconnaître le talent de choisir des rôles spéciaux mais qui part dans des logorrhées interminables rapidement lourdes et soulantes. Bref, j'attendais une grosse poilade, j'ai eu beaucoup d'ennui!!!
Après avoir mis en scène, les folles aventures de Sacha Baron Cohen dans "Borat", "Brüno" et "The Dictator", Larry Charles s'intéresse à Gary Faulkner, un homme qui s'est mis en tête de trouver et capturer Ben Laden... Le pire, c'est que c'est inspiré d'une histoire vraie ce qui au fond n'est pas surprenant, car qui aurait pu imaginer un truc pareil... Si j'ai commencé en parlant de l'interprète de ces célèbres personnages déjantés, c'est parce que le réalisateur a fait son film dans le même optique que ceux que j'ai cités en mettant en avant l'absurdité de la situation et la folie du personnage au lieu de réellement raconter et creuser les faits. Il dresse le portrait d'un homme pourtant pas mentalement instable qui après avoir reçu une mission de Dieu fait tout pour accomplir sa tâche par tous les moyens et peu importe les risques. Je ne connais pas l'histoire donc je ne sais pas ce qui a été inventé, mais c'est un film très léger dans l'esprit avec beaucoup de scènes loufoques et un Nicolas Cage qui en fait des tonnes, mais que j'ai trouvé plutôt à son avantage et amusant. En gros, "Army of One" n'est ni un grand ni un bon film, mais c'est un film sympathique qui se laisse regarder sans problème.
Une étrange comédie sur la quête d'un homme à la recherche de Ben Laden. Il va chercher des moyens et beaucoup tourner pour trouver un indice visant à appréhender le célèbre revendicateur des attentats du 11 septembre. Nicolas Cage est totalement imbibé du personnage, c'est presque la seule chose qui fait plaisir ! A voir en VO pour mieux en ressentir les effets. Un assez bon moment et quelques images rapides du vrai "Gary" dans le générique final qui sont un plus.
Un homme sans limite sous le jupon de dieu. Un personnage facilement agaçant, déjà au détour de ce film. Mais le caractère, parfait pour un Nicolas Cage beuglant, justifie qu'on s'y intéresse. Sa quête, aussi extraordinaire soit-elle, peut-être drôle, inclassable d'évidence, mais pas plus recommandable qu'elle n'y paraît.
Army of One n’est pas au même niveau que les nanars habituels de Nicolas Cage. Ce n’est pas non plus le film du siècle et loin de là, mais c’est vrai que ce film ne vole finalement pas très haut. Si l’on retire le personnage barré de Gary Faulkner, que l’on enlève l’exagération poussée à l’extrême dans toutes les situations, finalement ce film ne sera qu’une coquille vide. C’est l’exagération loufoque qui fait que ce film arrive tout de même à tourner un peu rond. À côté de cela, on retrouve un Nicolas Cage en roue libre, qui en fait des caisses au point que cela en devient énervant et que l’on a vraiment du mal à supporter son personnage. Army of One est loin d’être un super film, cela se regarde, mais c’est sans plus, principalement pour ceux qui auront le courage d’aller plus loin que les premières minutes du personnage principal.
Un délire par le réal de Borat (mais bien moins drôle), qui vaut surtout pour l'interprétation hallucinée de Nicolas Cage en illuminé qui part chasser Ben Laden à la demande de Dieu !
Un film bizarre ou l'on retrouve un Nicolas Cage en très grande forme dans le rôle de Gary Faulkner, un bouseux patriotique qui se donne pour mission d'aller au Pakistan capturer Oussama Ben Laden. Ou plutôt c'est Dieu (Russell Brand) qui lui demande d'y aller. Le pire ? Cet homme existe vraiment et Cage est tellement investi dans son rôle que ça en devient effrayant. Est-il fou ? A-t-il était si affecté par le 11 septembre ? Les hallucinations ont-elles un rapport avec ses dialyses ? En tout cas, il est persévérant.
C’est un peu n’importe quoi quand même, tant sur l’aspect du réalisme, que sur l’aspect abstrait et philosophique du film. Larry Charles me déçoit, même si ce n’est pas totalement inintéressant. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
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1,5
Publiée le 25 janvier 2021
Le mari d'une blonde de 55 kilos est tué par la mafia. Elle a le meilleur entraînement au monde et tue un homme après l'autre. Vous savez dans le passé, si Stallone, Arnold ou Willis étaient ici ils avaient besoin d'au moins dix armes en renfort pour les faire tous tomber. Mais elle n'est d'accord pas d'accord de faire quelques pompes. Les créateurs de ce film devraient passer tous les examens d'une véritable école de cinéma après avoir terminé le lycée bien sûr. L'auteur du scénario doit lire quelques livres avant d'écrire à nouveau un scénario pour un film. J'irai cracher sur ta tombe de 2010 est un chef-d'œuvre comparé à ce film de collage...
Ce film est pas mal et l'idée de faire un film sur Gary Faulkner n'est pas forcément des plus simple . L'histoire est assez drôle (surtout quand on connait Oussama Ben Laden), quelque inattendus . Le scénario est déjanté. Le gros point fort du film est l'interprétation de Nicolas Cage (façon dont il parle ...)... Un acteur performant et heureusement pour tenir se rôle . Une fin très bien mais on est un peu dans le brouillard pour un élément .
Le personnage de Cage va soit vous faire arrêter le film au bout de 5 minutes ou alors vous allez vous habitué et apprécier le film.