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Marc Taton (Belgique)
32 abonnés
635 critiques
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3,5
Publiée le 15 octobre 2024
Juste après "un éléphant sa trompe énormément" Yves Robert remet le couvert avec les quatre comparses que sont Claude Brasseur, Jean Rochefort, Guy Bed et Victor Lanoux pour un nouveau classique de la comédie française.La bonne humeur et est toujours au rendez vous, ce n'est pas hilarant mais on s'attache aux personnages et on passe un bon moment.
Merveilleux film sur l amitié plein de douceur et de subtilité des comédiens qu on pourrait prendre pour nos potes tout est parfait la musique aussi accompange bien un vrai moment d humanité
"Nous irons tous au Paradis" fait partie des rares comédies dont la suite parvient à être aussi drôle que le précédent film.
S'ils utilisent les mêmes ressorts comiques, on ne tourne pour autant pas en rond grâce à une inversion des rôles. Cette fois le personnage principal ne tente pas de tromper, il soupçonne de l'être.
Un pitch succulent qui permet de transformer Etienne Dorsay en inspecteur Gadget ou en Panthère Rose, au choix, tentant de se camoufler derrière son trench pour mener une enquête avec les pieds.
Évidemment, les personnages ont un capital sympathie hérité du premier film et a priori intact. Les nouveaux venus sont d'ailleurs de bons ajouts, notamment le personnage incarné par Josiane Balasko.
C'est drôle, c'est bien exécuté et on passe un bon moment. Le contrat est rempli.
Ca fait longtemps que je n’avais pas ri d’aussi bon coeur! Merci! Et hommage a tous ces acteurs maintenant disparus qui ont tant donné au cinéma français 🥰
Un peu en dessous du premier volet, on retrouve ici avec plaisir cette bande de potes aux aventures amoureuses et professionnelles rocambolesques. Mention spéciale pour Etienne Dorsay (Jean Rochefort), qui devient ici une sorte d'Inspecteur gadget teinté de La Panthère Rose. L'acteur est aussi de service à la voix off, lisant un texte somptueux, aux tournures de phrases subtiles et souvent en décalage avec les images, créant un effet comique délicieux. Il est vivement conseillé de voir auparavant Un Éléphant Ça Trompe Énormément pour planter le décor de cette suite. Sur un plan plus personnel, revu en 2024, je m'étonne d'y avoir trouvé plusieurs messages en écho à ma vie (Bérénice de Jean Racine, Granville qui mène à recherche des ancêtres, Dalloz, etc.). Les anges sont facétieux, pour nous guider vers le paradis !
affligeant .c'est ringard c'est bavard pour rien les répliques sont ridicules les acteurs bafouillent pas toujours c'est fortement démodé . les situations sexistes aujourd'hui ça passerait pas du tout. ce vieux film poussiéreux est à laisser au Grenier.
Voilà une suite réussie à « Un éléphant ça trompe énormément ». On retrouve le même quatuor à l’amitié impérissable où cette fois-ci la dame en robe rouge a été remplacée par un monsieur en veste écossaise. Avec les mêmes interprètes, le spectateur se replonge avec délectation dans les aventures (extra) conjugales et affectueuses dans une mise en scène toujours aussi dynamique. Le plaisir s’est prolongé avec succès.
On prend les même et on recommence. Il manque Anny Duperey et c'est dommage. Je n'avais que modérément apprécie "Un éléphant.."ici on est en-dessous. D'abord parce que l'intrigue de départ est vraiment très mal exploitée, et puis certaines scènes sont ratées, comme cette interminable scène avec lspoiler: e faux amant de Delorme, ou cette longue embrouille sur le cours de tennis. Il faut ensuite se farcir les hurlements hystériques de Marthe Villalonga et autres digressions. Quant à la scène spoiler: de la mort de la mort de la mère de Bedos , qu'on m'en explique l'intérêt ? Il y a aussi un problème avec les dialogues, la plupart du temps ils paraissent spontanés mais pas toujours à l'instar de Rochefort qui demande à Delorme "A qui téléphonait-tu ?"Ben non dans le langage courant seuls quelques pinces à sucre s'expriment ainsi, "tu téléphonais à qui ?" c'est peut-être moins correct mais c'est quand même plus naturel. Deux ou trois bonnes scènes quand même notamment spoiler: Bedos et sa patiente avec un clin d'œil à Objectif Lune ! Et on appréciera le cynisme final. Les acteurs sont bons du moins les premiers rôles mais tout cela reste pour moi assez moyen
Sans doute désireux de ne pas abandonner les attachants personnages d' "Un éléphant, ça trompe énormément" sans les approfondir davantage et exploiter leur indéniable potentiel comique, Yves Robert et Jean-Loup Dabadie imaginent une suite qui élargit le rôle des comparses de Jean Rochefort, personnage principal du premier volet racontant leur amitié. Cette amusante comédie de personnages, pleine d'idées drôles, sait se faire, au besoin, plus amère pour donner un dimension plus vraie aux quatre copains. Elle s'appuie un portrait de groupe juste et consistant d'adolescents attardés, chacun préoccupé par ses troubles sentimentaux ou affectifs. Jean Rocherfort, pris de jalousie, Claude Brasseur et son spoiler: homosexualité contraignante, Guy Bedos, toujours traumatisé par sa mère possessive, et Victor Lanoux, le dragueur à la vie familiale bien compliquée, sont autant de figures masculines à la fois comiques et humaines. On sent tout au long de la comédie la complicité qui unit les comédiens. Chacun d'eux parvient à marquer sa propre originalité, à exister séparément des autres. Parfois, il est vrai, au prix d'un manque de cohésion, en l'absence d'une intrigue structurante.
ce film fait partie de ceux que j'apprècie parce que le cinéma est avant tout pour moi un moyen de me détendre sans me prendre la tête mais sans pour autant tomber dans l'humour trop lourd . c'est ce que j'ai trouvé dans cette histoire qui met en relief des comportement excessifs qui peuvent être ceux qu'on peut rencontrer dans la vie courante
Un film super sympa qui suit le premier ! Il est drôle est le style d'humour reste le même ! Je conseille de voir "un éléphant ça trompe énormément" avant lui !
« Nous irons tous au paradis » de Yves Robert (1977) reprend les 4 personnages du film « Un éléphant ça trompe énormément » sorti en 1976 : Étienne (Jean Rochefort), Daniel (Claude Brasseur), Boulifet dit « Bouly » (Victor Lanoux) et Simon (Guy Bedos) avec l’inoubliable scène de la superbe maison avec un terrain de tennis achetée pendant une grève des aéroports ! Etienne qui n’est pas insensible au charme de sa collaboratrice, est cette fois persuadé que sa femme (Danièle Delorme) le trompe suite à la découverte d’une photo qui se révélera être une photo prise lors d’une répétition d’une pièce de théâtre… même si. Daniel dont l’homosexualité avait été révélée à la fin du précédent film, va a priori se marier avec sa patronne d'âge mûr mais … Bouly compose avec sa nouvelle fiancée, son ex-femme et tous les enfants qu’il garde. Quant à Simon, il est toujours sous l’emprise de sa mère (Marthe Villalonga) qui ne veut absolument pas voir sa petite amie avec une superbe scène de jalousie dans le couloir de l’hôpital où Simon travaille. Dans ce film ces 4 amis pourtant inséparables font se fâcher après une sévère engueulade sur le terrain de tennis de leur maison et c’est la mort de la mère de Simon qui va les réconcilier à jamais. Un film de la même teneur que le précèdent, toujours commenté en voix off par Étienne avec un décalage intéressant entre ce qui est dit et la réalité. Ce film aura le même succès auprès du public (plus de 2 millions d’entrées) au point que Yves Robert avait envisagé un troisième volet des aventures de ces 4 quadragénaires mais Jean Rochefort refusa de se laisser enfermé dans ce personnage. Une comédie culte baignée par la musique de Vladimir Cosma, à voir et à revoir !
Une suite plus mélancolique mais toujours aussi savoureuse et pleine de tendresse, avec toujours les dialogues irrésistibles de Dabadie et un quatuor de comédiens aussi complice qu'attachant
"Nous irons tous au paradis" dépasse en qualité le premier opus des ces quadragénaires des années 70. Les situations sont plus cocasses et un peu plus drôles. La scène avec un inconnu costaud (Jean-pierre Castaldi) et Jean Rochefort coincé dans sa voiture est mémorable et reste dans nos mémoires. Claude Brasseur prend un peu plus d'importance, ceci donne un vrai intérêt au film. La voix Off de Jean Rochefort avec son ton décalé est succulente et contribue au rythme du film. A noter dans les petits rôles, Josiane Balasko à ses débuts. Merci Yves Robert pour cette belle conclusion