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Béatrice G.
82 abonnés
458 critiques
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4,5
Publiée le 30 mai 2014
Un film de science-fiction de haute volée comme on en a rarement fait. A l'instar des protagonistes on est plongé dans le mystère et le doute (sont ils bienveillants, malveillants, que veulent-ils?) jusqu'au boût grâce à une mise en scène solide et efficace qui nous fait osciller entre émerveillement et inquiétude spoiler: (la séquence de l'enlèvement du garçon est mémorable) , Dreyffus et Truffaut sont parfaits et la musique est mythique; c'est peut être un peu longuet à un moment ou deux mais ce final renversant, fascinant, d'une beauté et d'une poésie inouies compense au centuple le moindre de ces petits défauts! Magique, magnifique, époustouflant, grandiose...
Avec le temps j’apprécie de plus en plus Spielberg et notamment ces premiers long métrage. On suit Rencontres du 3ème type comme une enquête, on cherche à comprendre ce qui ce passe comme les protagonistes de l'histoire. J'étais intrigué du début à la fin, d'ailleurs cette fin conserve une partie du mystère. Richard Dreyfuss est fantastique et perturbant, François Truffaut est bon comédien aussi mais le casting féminin ( comme souvent avec Spielberg, pas le plus doué pour filmé les femmes ) laisse à désiré, en demi-teinte ...
Un classique du maitre Spielberg, un film prenant et divertissant, impressionnant au niveau des effets spéciaux pour son époque. La bande son est très bonne et reste dans la tete. Un film à voir. 14/20
Du très bon Spielberg, bien qu'un rythme assez lent. En plus d’être un très bon divertissement et un grand film de science-fiction le film dresse un portrait des États-Unis vers la fin des années 70. Il faut également souligner la très bonne prestation de François Truffaut qui y est juste et attachant.
un chef d'oeuvre ! ce film est un chef d'oeuvre. si une critique devait être fait sur ce film ce serait sur son rythme. en effet il est très lent et il se passe peut de chose entre les 20 1er minutes et les 20 dernière (le film dure 2h00). mais ça vaut vraiment le coup d'attendre la fin est une des meilleurs de l'histoire du cinéma !
Impressionnant de maitrise pour l'époque, Spielberg réalise un film qui encore aujourd'hui parait totalement crédible au niveau des effets spéciaux, chapeau.
"Rencontre de troisième type" est le premier film de science-fiction d'un des maitres du genre, Steven Spielberg. Sa réalisation est très bonne, j'ai vraiment aimé sa mise en scène. Les acteurs sont pas au top mais cela reste bon. Le film a beau avoir quelques longueurs, il y a beaucoup de bonnes scènes, certaines comiques, d'autres plus chargées en tension. Mais ce film nous fais ressentir un sentiment que bon nombre de film de Spielberg nous fais procurer : l'émerveillement. On suit cette étrange histoire avec des yeux d'enfants. De plus la scène finale est magnifique et culte.
Rencontres du 3ème type, un mythe ce film, enfin dans ma culture ce film fait parti des monuments de la SF et pourtant une fois visionné c'est pas dingo dingo, certes le truc est bien foutu, les trucages sont top de chez top, la réalisation est bonne, le casting n'est pas dégueux et l'histoire est intéressante, elle se laisse suivre sans soucis même si sur la fin la lenteur est un peu assommante, et je n'ai pas saisi le but ni le message du film, ok les E.T veulent prendre contacte avec la terre mais certains trucs me chiffonne encore mais bon c'est à voir au moins une fois.
Le film de référence sur les extra-terrestres. Je ne l'avais jamais vu, c'est merveilleux, envoutant, fascinant. Un film qui n'est pas prêt de vieillir.
Steven Spielberg a réalisé plusieurs incursions dans le domaine des extraterrestres : Le Chef d’œuvre ET et le très moyen remake de la Guerre des mondes. Dans le 1er ET est le gentil et le hommes les méchants. Dans le 2nd c'est l'inverse. Celui là, ce n'est plus la confrontation entre 2 mondes qui est à l'honneur mais la rencontre avec les peurs, les doutes et l'émerveillement. A tous les niveaux ce film est une réussite, mis à part que la rencontre véritable a lieu au dernier quart du film. Cela peut être un peu déroutant si on n'a pas envie de suivre les tranches de vie de plusieurs protagonistes et à quel point leur vie c'est métamorphosée par une force étrange. Néanmoins, il s'agit d'un film plein de poésies et à la frontière entre science-fiction et réalité. Un incontournable de Spielberg.
"Rencontres du 3ème type" est le troisième film de Spielberg (si on considère "Duel" comme un téléfilm). Et force est de constater que son film précédent, le chef-d'oeuvre "Les Dents de la Mer", n'était pas qu'un simple coup de chance. Car une nouvelle fois, Spielberg réalise un film fascinant, plein de suspens. Il aborde pour la première fois un thème qui lui tient à cœur, il y reviendra à plusieurs reprises avec notamment "E.T. l'extra-terrestre" et "La Guerre des Mondes", celui bien sûr des extra-terrestres. Et "Rencontres du 3ème type" joue sur l’ambiguïté des intentions de ces êtres venus de l'espace jusqu'à la fin. On ignore tout de ces nouveaux arrivants, de ce qu'ils comptent faire et le suspens s'installe progressivement. La peur monte légèrement mais on reste intrigué par les étranges phénomènes qui se produisent. En effet, à différents endroits sur la planète, de surprenantes découvertes ont lieu. De plus, des OVNI sont aperçus par plusieurs personnes en même temps et au même endroit. Certaines personnes se mettent également à avoir des visions. Avec son final très coloré et sa musique, composée évidemment par John Williams qui créa les célèbres notes du film, "Rencontres du 3ème type" marque le spectateur, d'autant plus que les effets sont, encore aujourd'hui, d'une belle qualité.
Des vieux avions datant de la Seconde Guerre mondiale redécouvert, des chants indiens qui sembleraient signifier quelques choses de particulier, des objets volants non identifiés apparaissent, des objets électriques s'allumant tout seul... voilà bien des phénomènes aussi bizarres qu'inquiétants et surprenants, mais pour une poignée de scientifique, le constat est clair...
Après avoir croqué le box-office avec "Les dents de la mer", Spielberg se lance dans la science-fiction, genre qui le poursuivra tout le long de sa carrière, avec "Rencontre du troisième type". Débutant son récit par quelques phénomènes inexplicables, Spielberg met en place une atmosphère à leurs images, c'est-à-dire inquiétante, mystérieuse ou encore inexplicable, et c'est là toute la réussite du film, Spielberg nous intrigue et l'on est captivé voire fasciné par le récit, qu'il maîtrise à merveille.Il transmet à travers "Rencontre du 3ème type" sa curiosité et son émerveillement, pour notre (mon) plus grand bonheur.
Spielberg se fait assez sobre et opte pour un point de vue d'abord réaliste mais avec toujours une ombre fantastique et inexplicable. Il met en place un cadre adéquat où l'on suit plusieurs personnes dont la plus saisissante reste dans la banlieue américaine, venant de divers milieux et on observe leurs réactions, parfois opposés mais dominé par la peur de l'inconnu mais aussi une sorte de fascination (dans certains cas) pour l'inexplicable. Spielberg quitte peu à peu le cadre réaliste mais dresse toujours un portrait intéressant et parfois tendre des personnages et notamment celui de Roy Neary (Richard Dreyfuss) qui va toujours être fasciné, curieux et croire que ce qu'il voit.
C'est en effet sur ce personnage-là qu'il va vraiment braquer sa caméra mais aussi aborder un des thèmes qui lui est cher à savoir la famille. Spielberg nous montre son évolution au sein de sa famille au fur et à mesure que les effets surnaturels se font présents pour tendre vers un renfermement sur soi-même et un père incapable de tenir sa famille. Portrait saisissant, renvoyant directement à l'enfance du cinéaste qui fut marqué par le divorce de ses parents, et personnage fortement intéressant dont Spielberg en fait ressortir toute l’ambiguïté, l'intérêt et l'émotion. Il s'attache parfois à de simples scènes banales de quotidiens, notamment lorsqu'il représente la façon de vivre dans les foyers des banlieues, mais qu'il inclut à merveille dans son récit et ne faisant que renforcer l'intérêt et l'émotion pour les enjeux et personnages. Le film ne manque pas non plus de tensions qui monte crescendo plus on avance vers les péripéties importantes.
Spielberg se montre aussi brillant par son utilisation des couleurs et de la musique. Que ce soit de jour ou de nuit, la photographie est magnifique et Spielberg orchestre des ballets visuels lors de l’apparions d'effets extra-terrestres (que ce soit lors de simples lumières ou du passage d'OVNI). Il utilise ses couleurs pour tour à tour nous faire ressentir de l'émerveillement ou de l'angoisse. Certaines scènes sont inoubliables, à l'image de toute la finalité du film. Et puis, comme il l'avait déjà démontré dans "Jaws" et comme il continuera à le faire par la suite, il sublime la partition de John Williams qui fait partie intégrante du film.
Un film qui n'a rien perdu de sa puissance au fil des années. Une oeuvre aussi belle qu’intrigante, parfois angoissante et envoûtante où Spielberg démontre tous ses talents de metteur en scène.
Les années passent mais les émotions restent... que dire alors du magnifique final de Rencontres du 3ème type! Le reste du film a prit un incontestable coup de vieux, ce qui normal 40ans après. Mais pour autant, cette séquence finale est et restera inoubliable tout comme l'ambiance et la magie que crée le film de Spielberg.
Film de science-fiction et d’anticipation. Il y en a qui disent que les extra-terrestres sont déjà là, mais que nous ne sommes pas équipés pour les voir, pauvres mortels que nous sommes. Spielberg prend le contrepied et dit : Ils viennent d’arriver, et sont bienveillants, ils ont même des choses à nous apprendre. Et ce n’est pas du manichéisme premier degré, il y croit, ça se voit. Le seul truc qui fait film pour enfants, c’est la soucoupe volante aux couleurs acidulées, sinon tout le reste est majeur et fier de l’être. C’est plein de scientifiques qui étudient les signes qui nous sont envoyés, et de militaires prêt à agir au cas où. Il a même embauché une icône de la nouvelle vague en guest-star française, François Truffaut en personne, pour bien montrer que son film c’est du sérieux, et qu’il va le rester. Pour une fois il ne se fait pas avoir par son amour du tout visuel, sa mise en scène tient le suspense jusqu’au bout. Quoi ? Ces extra-terrestres si évolués, choisiraient un père de famille stupide comme celui joué par Richard Dreyfus pour le premier contact ? Sans doute qu’ils voient en lui un truc que nous on ne voit pas. Ce postulat donne-lui a un superbe jeu onirique, tel qu’on ne peut voir qu’au cinéma. Quand il joue avec la purée, à table devant ses enfants et sa femme éberlués, on plane avec lui, on le comprend. Il est obsédé par le lieu du contact, il a l’image en tête, mais n’arrive pas à l’exprimer. On touche à quelque chose de rare chez Spielberg. Et les enfants sont très bien coachés ! Ils sont beaux àvoir jouer. Quand la femme et l’enfant sont cernés en pleine campagne, on ne voit que les meubles qui bougent, et une lumière venue du ciel, on flippe quand même, on a un soupçon d’angoisse, c’est un modèle de mise en scène, cette scène ! Il y a de gros moyens, et un nombre de figurants à la hauteur de l’évènement. Le scénario est linéaire, ça ne gêne pas, au contraire, il est sert de long prélude à ce que sera la rencontre finale. PS : je sais, je viens de donner 4.5 à Steven Spielberg. Ça prouve bien que je n’ai rien contre lui. Par contre, après ce film, il a dut mal tourner.