Mon compte
    Monte là-dessus
    Note moyenne
    4,2
    357 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Monte là-dessus ?

    36 critiques spectateurs

    5
    10 critiques
    4
    12 critiques
    3
    12 critiques
    2
    2 critiques
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    JamesDomb
    JamesDomb

    102 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    D'accord il y a dans ce long-métrage l'une des images les plus connues de l'histoire du cinéma : Harold Lloyd suspendu à l'aiguille d'une horloge. Image anthologique maintes et maintes fois mentionnées dans les livres de cinéma. Pourtant Safety last est une légère déception. Le rythme est assez lent, les cartons de dialogues nombreux et cassant le rythme de certains gags et Harold Lloyd n'a pas le charisme de Buster Keaton et de Charlie Chaplin. Harold Lloyd incarne l'homme de la rue, l'homme de tous les jours et non une icône comme ses deux comparses du cinéma muet. L'histoire est peu emballante mais certaines trouvailles visuelles et les gags font mouche quasiment à tous les coups. On ne rit pas autant que le laisser espérer sa réputation mais Monte là-dessus est un divertissement sympathique dont les scènes finales, bien qu'un peu longues sont délicieuses (et une réussite technique irréprochable). On peut y voir une métaphore où le personnage gravit les échelons de la vie sociale au risque de sa vie. Harold Lloyd mérite néanmoins d'être redécouvert car bien que moins connu, son personnage de maladroit romantique à lunettes est très sympathique. Lloyd est une sorte d'ancêtre de Jim Carrey quant à son élasticité et le petit frère de Keaton et Chaplin.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2018
    L'un des plus grands classiques du burlesque! Le plus cèlèbre numèro d'èquilibrisme à suspense comique est sans aucun doute celui de Harold Lloyd, en tête avec le vide dans une très longue sèquence d'anthologie de "Safety Last" (mot à mot, « la sècuritè ensuite »), rèalisè en 1923 par Sam Taylor et Fred Newmeyer! Cela ne se raconte pas, c'est indescriptible! Le hèros parviendra après de multiples souffrances (envers un public qui retient son souffle) au faîte d'un bâtiment : mais il respirera par inadvertance le contenu d'un flacon de chloroforme, et il retombera de plus belle [...] Le succès du film fut tel que Harold Lloyd en fit un « remake » sonore beaucoup moins heureux, malgrè les nouveaux èlèments dramatiques - soupirs, grincements, cris - acquis par le « sonore » . Un must du muet où Lloyd dèfie constamment les lois de l'apesanteur avec une horloge qui se dèglingue de partout! il faut croire que cet attachant acteur des annèes 20, avec ses drôles de lunettes et son chapeau de canotier, ètait un spècialiste des gratte-ciel qui lui procuraient le vertige...
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2022
    Si le nom de Harold Lloyd est beaucoup moins célébré aujourd’hui que celui de Buster Keaton ou Charlie Chaplin, son film « Safety Last! » est pourtant resté dans la mémoire collective, avec cette fameuse image de l’acteur pendouillant dans le vide à une horloge. Sauf que le film est rudement bien construit, au-delà de ce plan iconique. Lloyd incarne un jeune homme qui cache à sa fiancée ses échecs professionnels à la ville, ce qui sera la cause de divers rebondissements et quiproquo. Jusqu’à ce dernier acte où il escalade la façade d’un immeuble. « Safety Last! » est une comédie burlesque particulièrement inspirée, regorgeant de bonnes idées. Outre les pitreries millimétrées des acteurs, les cascades, et la gestuelle de Lloyd, la mise en scène propose de vraies idées. Avec notamment l’un des premiers plans, qui nous fait croire que notre héros attend la potence. Un gag manipulateur très réussi, doublé d’un portrait caustique de l’arrivisme citadin. Et évidemment, cette dernière partie bluffante, où l’acteur parait réellement escalader un building. Une séquence toujours efficace, même un siècle plus tard !
    this is my movies
    this is my movies

    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2018
    Si le film est surtout connu à travers son image emblématique du héros suspendu dans le vide et désespérément accroché à une horloge (reprise aussi bien par Zemeckis dans «Retour vers le futur» que par Yann Moix dans le navrant «Cinéman»), il vaut aussi pour ses autres immenses qualités : un rythme d'enfer, des acrobaties dantesques, un timing comique imparable, un scénario malin et une mise en scène virtuose. Ce qui frappe maintenant, surtout pour les spectateurs modernes, c'est de voir l'application mise par les scénaristes pour travailler chaque point du scénario. L'enchaînement des événements est parfaitement agencé, rien n'est artificiel, et chaque élément nouveau va dans le sens de la surenchère, contrairement à maintenant où on accumule des éléments disparates pour aboutir à une scène spectaculaire, presque déconnecté du reste. De même, on ne soulignera jamais assez l'inventivité des scénaristes, qui multiplient les gags imparables, obéissant autant aux lois du slapstick, de la screwball ou bien de l'absurde. Physiquement, Lloyd tient la comparaison avec ses deux grands rivaux de l'époque, Keaton et Chaplin, enchaînant les prouesses physiques avec décontraction. On retrouve cette même patte au niveau du romantisme surjoué, une certaine poésie en moins, mais il y a toujours cette petite critique acide de la société américaine en creux. Que dire aussi quant aux trouvailles pour imaginer un gag à chaque étage (avec la phrase en forme de running gag «Encore un étage, je dois semer le flic») tandis que le héros escalade l'immeuble. L'horloge bien sûr, mais aussi un filet, un chien, une corde, des ouvriers, un photographe et quelques autres. Du rire qui s'enchaîne sans temps mort. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    dai72
    dai72

    147 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juin 2012
    J'y suis allé à l'aveugle ne connaissant ni Harold Lloyd, ni ce film et après l'avoir vu, je pense que je vais en regarder d'autres. Un film muet non dénué de folies, de cascades, de gags simples mais vraiment réussis et d'un rythme effréné de bout en bout. C'est un petit bijou, un véritable cartoon cinématographique !!
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    290 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2012
    La scène époustoufflante pour l'époque de l'escalade du magasin vaut à elle seule le qualificatif de chef-d'oeuvre pour beaucoup. Pour le reste, on a affaire à un film d'un classicisme assez ennuyeux, malgré des moments assez drôles. Mais on reste loin de la grandeur des films de Chaplin.
    kray
    kray

    50 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2009
    Chef d'oeuvre incontournable , monte la dessus est l'un des joyaux du burlesque ,et harold lloyd l'un de ses etendarts les plus célèbres.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2018
    Film burlesque qui nous fait rire souvent mais qui manque parfois de souffle surtout vers la fin où l’ascension traîne en longueur. Quelques scènes sont toutefois drôles comme celle du mannequin au début et dans le bureau du directeur.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    750 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juillet 2010
    Certainement une des plus belles comédies du cinéma muet, Monte là-dessus ( Safety Last ) est un véritable régal du début à la fin.
    Harold Lloyd campe le personnage principal de la plus belle des manières, notamment sur la longue séquence de l'escalade de l'immeuble dans le dernier acte du film qui est aussi parfaite en terme de mise en scène.
    Les séquences burlesques sont nombreuses tout au long de l'oeuvre, le scénario est très riche en rebondissement et la photographie en noir et blanc de Walter Lundin est toujours aussi réussi bien que le film ait été produit au début des années 20.
    Le tout fait donc que l'on passe un super moment de cinéma et qu'il n'a rien a envier aux films de Charlie Chaplin et de Buster Keaton de la même époque.
    Une très grande réussite en tout point de vue et qui se doit d'être découvert par le plus grand nombre.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    295 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 avril 2010
    Encore une fois comment ne pas adorer Harold Lloyd et son prodigieux talent, et ou dans ce cas présent il doit débattre avec de bien pingres employeurs et finalement peu d'argent. Haletant, plein de suspense.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    141 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Je n’avais pas encore eu l’occasion de voir un film avec Harold Lloyd, c’est désormais chose faite avec son film le plus connu contenant la fameuse séquence de l’horloge. Résumer le film à cette séquence serait peut-être un peu injuste bien que ce soit vraiment le dernier quart d’heure (avec le passage de l’horloge donc) qui relève complètement le niveau pour ma part. Non pas que tout le reste soit nul mais c’est vraiment à ce moment qu’explosent réellement l’inventivité et le génie du film. Disons que pendant une heure le film se laisse suivre agréablement même si l’humour n’est pas forcément ce qu’il y a de plus inventif par moments avec quelques gags peau de banane un peu tirés par les cheveux (relativement rares ceci dit). Mais d’un côté j’ai aussi aimé cette simplicité et cette générosité, le film ne s’arrête jamais et Lloyd met tellement du sien que ça reste très captivant. Les séquences dans le magasin où il essaie de faire croire à sa fiancée qu’il est le gérant sont irrésistibles, à la fois au niveau du comique, du rythme et du découpage. Un cocktail efficace dans le burlesque muet tout simplement.

    Toutefois, comme je l’ai annoncé précédemment, c’est vraiment le dernier quart d’heure qui est époustouflant. Le film devient alors juste vertigineux dans tous les sens du mot. Je me demande d’ailleurs si un film a déjà réussi à me faire ressentir cette sensation de vertige avec autant d’intensité. Hitchcock peut aller se rhabiller pour le coup ! Les plans en plongée viennent appuyer ce sentiment que Lloyd risque de tomber de haut à tout moment et ça m’a vraiment pris aux tripes. Brrrh. De plus l’ascension semble incessante, tu ne sais pas comment tout ça va finir, tu ne sais quand ça va finir. Et malgré ce vertige, le comique ne stoppe jamais avec ce compère qui essaie tant bien que mal de prendre la place de Lloyd sans jamais y arriver. Je trouve cette séquence vraiment brillante, à la fois en terme d’humour et de mise en scène. Après je n’ai pas trouvé le film forcément hilarant de bout en bout mais ça reste quand même assez drôle et la simplicité de l’ensemble est aussi appréciable. C’est vraiment à voir en tout cas, encore une comédie qui a plus de 90 ans et qui ne vieillit pas (trop). Ça me donne d’ailleurs envie de poursuivre un peu la filmo de ce bon vieux Lloyd, star du muet, aujourd’hui presque oublié.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 935 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Enfin vu le film dans sa totalité ! Incroyable, je n’avais jamais eu l’occasion de le voir ; souvent des rendez-vous manqués. En soi, j’ai enfin découvert Harold Lloyd. Ma dévéthèque devrait s’en enrichir et l’acteur devrait rejoindre Charles Chaplin, Laurel et Hardy, Buster Keaton et autres courts métrages du muet. Evidemment, j’attendais la célèbre scène de l’horloge et incroyable j’ai tremblé durant toute la montée, je me suis surpris à craindre la chute et j’en ai souri aussitôt. Au-delà de cette scène iconique, il y a de bonnes trouvailles de mise en scène. Par exemple la scène d’introduction qui décrit des adieux déchirants : Harold derrière des barreaux, de l’autre côté, sa fiancée Mildred Davis et sa belle-mère, et en arrière plan ce qui s’apparente à une potence. Harold semble promis à la pendaison. Un homme le rejoint, assez austère puis… puis la fiancée et la belle-mère passent de l’autre côté des barreaux, le plan qui suit s’élargit. Nous somme dans le hall d’une gare ! La profondeur de champ nous révèle que la fiancée et la belle-mère étaient du côté accompagnateurs, elles sont autorisées à passer du côté quai. C’est bien pensé, d’autres scènes de cet acabit suivront notamment dans le grand Magasin. La comédie selon Harold Lloyd est comparable à celle de ses confrères, des gags d’une précision chirurgicale et pour cette époque d’une précision indispensable. C’est époustouflant de maîtrise et d’illusion. Un bijou.
    Maqroll
    Maqroll

    157 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juin 2009
    Ce film n'est pas seulement un chef d'oeuvre du burlesque, c'est un chef d'oeuvre tout court. Bien des réalisateurs d'aujourd'hui pourraient prendre des leçons de mise en scène devant ce joyau d'une perfection absolue. Sur une intrigue très simple, tout s'enchaîne sans un temps de repos avec une virtuosité jamais gratuite mais qui a pour but de nous égarer sans cesse sur des fausses pistes pour mieux nous étonner le plan d'après. La montée du gratte-ciel est un symbole de l'ascension sociale dans une Amérique grandissante et Harold Lloyd se montre, dans un style complètement personnel, l'égal de Chaplin et Keaton. Le dernier quart d'heure est un numéro d'équilibriste (à tous les sens du terme) à couper le souffle. Du très grand et du très beau cinéma pour un film sans précédent et sans postérité.
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2018
    Un classique du burlesque muet américain. Avec la célèbre scène d’Harold Lloyd, suspendu dans le vide à une aiguille d’horloge.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    La scène culte de l'horloge est dans ce film, l'escalade de la facade du building donne vraiment le vertige, mais le rythme n'atteint pas celui des films de Keaton et l'émotion celle de Chaplin. DVD octobre 2019
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top